Tout d’abord un chant d’un grand poète juif,
Chaim Nachman Bialik : Li’hvod Ha’Hanoucca (en l’honneur de ‘Hanoucca)
Le chant suivant est interprété en yiddish, en anglais et en hébreu !
Et enfin un peu d’humour, avec l’occasion aussi de manger quelques soufganiot (beignets de ‘Hanoucca) et quelques latkes !
Merci pour l’information
Shalom
Dominique
Ps: j’aime cette jeunesse juive qui chante pour l’Eternel
J’ai une menorah (qui m’avait été donnée par un ami messianique, que lui-même avait fabriquée en acier) cela déjà depuis 3 ans. Jamais, je n’ai allumé des bougies (car au placard).
Eh bien cette année, elle sera allumée pour Hanoukka.
Shalom
Dominique
Quelle bonne initiative ! Le seul problème est que pour la commémoration de ‘Hanoucca le chandelier (appelé ‘hanoucciah) a, non pas sept branches comme la Ménorah du Temple, mais 8+1 branches (en mémoire des huit jours de « miracles » pendant lesquels la petite fiole d’huile, retrouvée dans le temple pendant qu’on en fabriquait de la nouvelle pendant huit jours, avait suffi car les flammes ne s’étaient pas éteintes. La neuvième correspond au « shamash » qui est la bougie avec laquelle on allume les autres. Mais ce n’est pas grave si tu as une ménorah, tu peux rajouter à côté d’elle deux bougeoirs qui feront le compte ! Cette fête ne fait évidemment pas partie des Fêtes de l’Eternel, mais elle commémore de façon puissante la victoire que YHWH a accordé à Son peuple à travers la révolte des Maccabées contre les Grecs qui avaient gravement profané le Temple et interdit le culte hébraïque après avoir envahi le pays, une image de la victoire que YHWH veut accorder aujourd’hui encore à Son peuple, Israël, face à l’hostilité inchangée des nations qui se liguent contre lui et s’apprêtent pour la guerre de Gog et Magog. Chaque année, en Israël et dans le monde juif, on fête ‘Hanoucca avec la même foi, la même joie et la même détermination, malgré les persécutions, les attentats, les mensonges des média, les guerres… Gloire à notre Seigneur Tout-Puissant qui nous fait toujours triompher (en notre Mashia’h dirons-nous) !