Une bagarre a opposé jeudi soir des jeunes maghrébins de Castres à des militaires du 8e RPIMA de la ville, dont l’un venait de se faire voler sa moto, a-t-on appris vendredi de source proche de l’enquête.
D’après les premiers éléments de l’enquête, un militaire du 8e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMA) a découvert qu’il avait été cambriolé et que sa moto avait été dérobée.
Il appele à la rescousse des amis militaires pour tenter de retrouver l’engin volé.
Une bagarre a alors éclaté avec des jeunes maghrébins du quartier qui ont tiré sur les soldats avant que la police n’intervienne.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les racailles musulmanes sont revenus, et ont criblé de balles la façade de la maison du militaire cambriolé. Personne n’a été blessé.
La ville de Castres a déjà été le théâtre d’incidents où des musulmans ont attaqué des militaires du 8e RPIMA au point qu’il leur a été demandé d’afficher un profil humble devant le nouvel occupant : pas de sortie en uniforme.
Afin de ne pas heurter les sensibilités, il est recommandé de ne pas sortir en groupe, de baisser les yeux en croisant les nouveaux maîtres, et de ne pas s’attabler aux terrasses des cafés dans les quartiers de l’islam de Castres pendant ramadan.
En mars, le tribunal correctionnel de la ville avait prononcé une peine de huit mois de prison ferme à l’encontre d’un jeune musulman venu avec une quinzaine d’autres en découdre en juin 2011 à la caserne avec des militaires qu’ils tenaient pour responsables de l’attaque d’un bar à clientèle maghrébine. Les 8 mois fermes n’avaient certainement pas été exécutés.
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