Pas de pitié, pas de considérations internationales. Pas d’ONU ni de CIJ. Nous devons leur faire mal. Beaucoup. Puis reprendre Alei Sinai, Nisanit et Dugit.
Cette fois, ils doivent perdre. Vraiment perdre.
Au début des années 90, j’ai souvent entendu ce mantra de la part des gauchistes : “Nous allons leur donner un état et s’ils osent nous tirer dessus, nous les achèverons”.
Eh bien, Oslo a eu lieu. Et les bus ont commencé à exploser. Nous n’avons rien fait.
Puis, Rosh Hashanah 2000 : les Arabes “palestiniens”, y compris leur “police” (lire : des terroristes armés et en uniforme) ont tiré sur des communautés dans tout le pays. À Yerushalayim, des barrières de ciment de 3 mètres de haut ont été érigées, sur un kilomètre à Gilo, afin que les tirs en provenance de Bethléem ne tuent pas un Israélien.
J’étais dans une ambulance du MDA qui a évacué un touriste américain qui se tenait près d’une fenêtre dans le monastère de Tantur ; il avait été touché à la tête par une balle perdue provenant de Bethléem. Alors que nous le portions en bas des marches, la police nous a avertis de ne pas en parler à la presse qui entourait l’ambulance : “Vous voulez tuer l’industrie du tourisme ? De nombreux Israéliens ont été tués au cours de cette seconde Intafada, et le Premier ministre Ehud Barak ne les a pas “achevés”.
Le massacre de Netanya à Leil HaSeder (la première nuit de la Pâque) en 2002 a fait 30 victimes israéliennes et le Premier ministre “Bulldozer” Ariel Sharon ne les a pas “achevées”.
À aucun moment, le gouvernement israélien n’a causé de pertes douloureuses à ces Arabes “palestiniens”, si bien qu’ils continuent à tuer des Juifs. Tout le monde connaît le jeu : ils tuent des Juifs, nous tuons quelques Arabes et détruisons quelques bâtiments, nous nous retirons et la vie continue jusqu’au prochain round.
Cela doit cesser.
Le Premier ministre Netanyahu doit faire perdre ces Arabes. La seule chose à laquelle ces Arabes accordent de la valeur, c’est la terre : La terre israélienne. La seule réponse à l’acte de guerre obscène de Yom Tov perpétré aujourd’hui par le Hamas (qui a déjà fait plus de 200 morts israéliens) est donc de reprendre l’extrémité nord du Gush Katif : la zone qui abritait les communautés d’Alei Sinai, de Nisanit et de Dugit.
La reconquête d’Alei Sinai reviendrait à déplacer de façon permanente la barrière frontalière avec Gaza, sur une distance de 250 mètres. L’expulsion de cette colonie, si proche de la partie israélienne de Gaza, est une parodie. La justice exige que cette colonie, ainsi que les deux autres communautés voisines, soient reconquises et réinstallées. La clôture qui doit être surveillée entre Israël et Gaza sera toujours surveillée, mais les clôtures seront déplacées vers Gaza, et Israël fera valoir que les Arabes “palestiniens” risquent de perdre définitivement s’ils font un acte de guerre contre l’État d’Israël.
Ils ont envahi Israël, ce n’est plus du simple terrorisme, mais un acte de guerre – et ils doivent payer le prix fort pour une guerre contre Israël.
Si, Dieu nous en préserve, ces Arabes nous font la guerre à l’avenir, ils devront perdre davantage de territoires.
Enfin, un commentaire sur notre armée, l’IDF. Elle est composée de merveilleux Israéliens juifs, dont beaucoup sont, malheureusement, des gauchistes à la mentalité de perdants. L’échelon supérieur des officiers est majoritairement composé de gauchistes qui croient qu’il faut “faire des concessions aux Arabes palestiniens pour aboutir à la solution des deux États”. Ce week-end, 500 de ces perdants de l’organisation Commanders of Israel’s Security ont appelé le gouvernement à faire de telles concessions.
D’ailleurs, la raison pour laquelle l’échelon supérieur de Tsahal, des services de renseignement et du ministère des affaires étrangères est dirigé par ces perdants est la raison pour laquelle nous avons besoin d’une réforme judiciaire : Depuis une trentaine d’années, les gens de droite ne progressent pas dans l’armée parce qu’ils en sont empêchés par la Cour suprême. Depuis qu’Aharon Barak a décidé que chaque question et chaque décision dans ce pays sont justiciables, la gauche utilise la Cour suprême pour bloquer les nominations visant à faire progresser les gens de droite à des niveaux plus élevés du service de Tsahal.
Un exemple : Le député Yossi Sarid a empêché le général de brigade Efi Eitam d’accéder au grade de général, en affirmant à la Cour suprême qu’Eitam était trop à droite pour avoir ce grade. Ainsi, nous nous retrouvons avec une armée de défense israélienne dirigée par des perdants convaincus que “nous avons besoin de l’OLP, de l’AP, du Hamas, etc. pour gérer une entité étatique arabe” et que si nous assouplissons les restrictions qui leur sont imposées, nous obtiendrons la paix. Comment cela a-t-il fonctionné ?
La seule réponse : Leur faire mal. Beaucoup. Venger nos morts. Et reconquérir Alei Sinai.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Gaïa pour Dreuz.info.
Source : Israelnationalnews