Les prières des Chrétiens d’Irak ont été entendues ! Donald Trump est devenu le 45e Président des USA.
La communauté chrétienne de Qaraqosh, la ville qui vient d’être libérée du joug des égorgeurs de l’Etat Islamique, a témoigné de toutes les horreurs subies entre les mains des monstres fous d’Allah, ces combattants de l’enfer. L’EI exigeait des chrétiens qu’ils payent de lourds impôts, qu’ils se convertissent à l’islam et en cas de refus, ils étaient exécutés.
Cette ville, autrefois débordante d’activité, abritait plus de 50 000 chrétiens.
Les rescapés de la terreur islamique expriment maintenant leur colère envers Obama qui refusa de les protéger quand la plus grande ville chrétienne d’Irak tomba entre les mains criminelles de l’EI il y a environ deux ans.
Obama n’a jamais aidé les chrétiens. En fait, il les méprise
Un homme déclara :
« j’espère que Donald Trump— le candidat largement favori des habitants de la ville— aura une autre approche vis-à-vis des chrétiens irakiens. Obama n’a jamais aidé les chrétiens. En fait, il les méprise. Au cours de ces 26 derniers mois, il n’a montré que du mépris envers tous les chrétiens.
Notre plus grand espoir repose sur Donald Trump, le nouveau président.
(remarque : cet article a été rédigé dans la journée précédent l’élection de Donald Trump)
Donald Trump s’était déjà exprimé sur l’abandon honteux des chrétiens par le gouvernement Obama.
Un prêtre catholique ajouta :
«Le gouvernement américain sous la présidence Obama aurait pu nous protéger ou du moins nous aider à nous protéger par nous-mêmes. Malheureusement, il a choisi de nous abandonner à notre sort. »
Un chrétien libanais : «Donald Trump, c’est bien pour le Moyen-Orient»
Et ils eu ont raison, ces chrétiens du Moyen-Orient, d’avoir prié pour l’élection de Donald Trump. Car si Hillary Clinton avait succédé à Obama, sa politique antichrétienne et pro–musulmane se serait poursuivie inexorablement sous son règne.
Dans une vidéo passée quasi inaperçue, Bill Clinton suggère d’importer des centaines de milliers de «réfugiés» syriens pour reconstruire la ville de Detroit. Selon lui, les migrants syriens sont des gens extraordinaires aux multiples talents et ils pourraient occuper les 10 000 maisons vides de la ville et participer à la rénovation urbaine de Detroit. Il omet juste de mentionner, oh ce n’est qu’un petit dégail, que plus 90 % des réfugiés du Moyen-Orient reçoivent des bons alimentaires, plus des 2/3 vivotent grâce à l’aide sociale, et qu’ils seraient bien incapables de financer la reconstruction des maisons en ruine.
Clinton, comme les dirigeants européens avec qui il partage la même idéologie aveugle, oublie les sans-abri et les chômeurs américains. A croire que ces gens sont incapables, car tout simplement citoyens américains.
Imaginez l’avenir si Détroit devenait une ville syrienne ! Il faut être complètement givré pour émettre une telle ineptie. En Israël, Herzog le candidat de la gauche avait exprimé les mêmes délires en proposant d’acceuillir un million de réfugiés Syriens dans le Golan.
Et que penser des déclarations de certains membres du clergé, envoûtés par la «religion» du diable.
L’Archevêque de Philadelphie, Charles J. Chaput :
«J’admire l’intégrité des femmes musulmanes qui portent le hijab et la burqa.»
Rêve-t-il secrètement à draper les femmes occidentales de l’habit de la modestie et de la vertu musulmane ?
Je doute que les femmes afghanes, saoudiennes ou iraniennes, obligées de revêtir cet accoutrement infernal, imposé par des soi-disant religieux, partagent son admiration. Certaines ont perdu la vie, d’autres ont été flagellées, emprisonnées pour s’y être opposées. Dans le califat de l’EI, les femmes refusant de porter la burqa sont froidement exécutées.
En Grande-Bretagne, autre pays en voie d’islamisation profonde, le Cardinal John Bingham a récemment béatement déclaré :
«Les Britanniques ont beaucoup à apprendre de la vitalité de la foi musulmane des nouveaux migrants.»
Le fanatisme religieux des musulmans serait donc un signe de «vitalité» ? C’est au nom de ce fanatisme que des musulmans tuent les non-musulmans de par le monde.
L’administration Obama a donné un coup d’accélérateur à une politique qui se caractérise par l’abandon des chrétiens d’Orient et une exposition accrue des Américains au danger djihadiste.
L’année dernière, il a été révélé que 97 % des réfugiés syriens accueillis aux États-Unis étaient des musulmans sunnites— la secte musulmane qui fournit à l’État islamique ses miliciens— alors que les chrétiens représentaient moins d’un demi-pour cent…
L’ONU et les États-Unis savent que les réfugiés sunnites terrorisent les chrétiens dans les centres d’accueil, mais les véritables victimes, celles qui méritent vraiment asile, sont abandonnées alors que leurs persécuteurs sont accueillis chaleureusement.
L’hypocrisie de l’Administration Obama s’est affichée ouvertement quand les Etats—Unis ont accepté d’accueillir des réfugiés du Moyen-Orient.
Il y a quelques mois, Barack Obama— élevé en tant que musulman sunnite— a jugé «honteuse» la proposition de donner la préférence aux minorités chrétiennes. «Ce n’est pas américain. Cela ne nous ressemble pas. Nous n’allons pas passer notre compassion au crible de tests religieux» avait-il déclaré de manière méprisante.
A noter que cette belle indignation ne s’applique pas, quand il s’agit de privilégier les musulmans aux chrétiens pour des postes importants au sein de l’administration Obama.
WikiLeaks a publié un email daté du 29 septembre 2008 envoyé par Preeta Bansal, ancien solliciteur général de l’Etat de NY à Michael Froman, un camarade de classe d’Harvard d’Obama, alors qu’il était membre du conseil consultatif pour l’équipe de transition de la campagne Obama.
Le passage clé de l’email est le suivant :
«Parmi les candidats aux postes fédéraux de haut niveau, j’ai exclu ceux qui sont d’origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans (par exemple George Mitchell). De nombreux Libanais américains sont chrétiens…
(From: Bansal, Preeta D [NYC]
Sent: Monday, September 29, 2008 11:01 PM
To: Froman, Michael
BCc: “Onek, Matthew”
Subject: Asian American Candidates, Muslim American Candidates
Here are the compiled lists of Asian American and Muslim American candidates for top Administration jobs, sub-cabinet jobs, and outside boards/agencies/policy committees. A couple things to note about the list of Muslim American candidates: 1) In the candidates for top jobs, I excluded those with some Arab-American background but who are not Muslim (e.g., George Mitchell). Many Lebanese Americans, for example, are Christian)
Discriminer les chrétiens en faveur des musulmans sur base de la religion, ce n’est pas américain, c’est une violation de la Constitution américaine qui stipule qu’«aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l’aptitude d’un candidat à l’exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis.»
Aujourd’hui, de simples statistiques révèlent l’incroyable effet pervers du programme d’accueil des réfugiés : il favorise ceux qui sont en faveur du terrorisme au détriment des rescapés d’un génocide. C’est la politique d’accueil des réfugiés d’Obama qui est «honteuse», «antiaméricaine» et qui «ne nous ressemble pas».
Les révélations récentes sur les politiques pro-musulmanes et antichrétiennes de l’administration Obama correspondent à un schéma clair et établi. Elles découlent des partis pris religieux de son administration, infiltrée par les Frères musulmans :
- Le Département d’Etat a pris l’habitude de refuser des visas aux représentants chrétiens, tout en invitant des dizaines de représentants musulmans à des conférences ;
- Lorsque quelques chrétiens irakiens persécutés ont traversé la frontière des États-Unis, ils ont été arrêtés, jetés en prison pendant plusieurs mois, puis renvoyés dans la gueule du fauve islamique ;
- Quand le gouvernement nigérian a mené une violente offensive contre Boko Haram, tuant certains de ses terroristes djihadistes, le secrétaire d’État John Kerry avait lancé un appel pour le respect des «droits humains» des djihadistes, qui eux, ne se privent pas d’abattre et de violer tous les chrétiens, tout en brûlant leurs églises ;
- Kerry a exhorté le Tadjikistan à ne «pas aller trop loin dans la répression contre l’Islam» ;
- Lorsque les chrétiens coptes persécutés d’Egypte voulurent soutenir la révolution anti-Frères musulmans de 2013, les USA dirent non ;
- Quand les chrétiens irakiens et syriens persécutés demandèrent des armes pour se joindre à la lutte contre l’EI, Washington refusa.
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Le sénateur Tom Cotton (Républicain-Arkansas) avait déclaré :
«Les Syriens de toutes les confessions sont victimes de cette guerre sauvage et tous, sans aucun doute, sont confrontés à des souffrances inimaginables. Mais seuls les chrétiens et les autres minorités religieuses sont les cibles délibérées de persécutions systématiques et de génocide».
Les musulmans sunnites ne sont ni massacrés ni décapités ; leurs femmes ne sont pas violées pour avoir refusé d’abjurer leur foi ni leurs mosquées brûlées ; ils ne sont pas emprisonnés et tués pour apostasie, blasphème ou prosélytisme. Au contraire, les sunnites non affiliés à l’Etat islamique sont aussi les auteurs d’atrocités contre les minorités chrétiennes, partout dans le monde islamique.
«Nous, les Américains, importons des djihadistes depuis des années, via l’immigration musulmane parrainée par le programme d’accueil et de réinsertion des réfugiés, l’octroi de visas religieux et de «diversity visa» (ce système permet aux résidents de certains pays de demander une carte de résident permanent aux USA, la fameuse green card) – Pamela Geller
Le Conseil national américain pour les Réfugiés a déclaré :
«Les USA ont historiquement maintenu une politique d’’accueil de réfugiés pour des raisons humanitaires.
Toutefois, les gens sont toujours choqués quand ils s’aperçoivent de quelle manière fonctionne ce programme d’aide aux réfugiés, car au lieu d’accueillir les minorités religieuses persécutées, opprimées, soumises à la charia, nous ouvrons les portes à un flux ininterrompu de suprématistes et de djihadistes haineux envers notre pays.»
Les sunnites, qui émigrent en nombre en Amérique et en Europe comme réfugiés— y compris les terroristes qui ont tué 120 personnes à Paris, 32 personnes à Bruxelles, et 12 en Californie— partagent la même haine sunnite officielle à l’égard des non-musulmans, ces «infidèles» si haïs par les pieux partisans d’Allah.
Bien avant que le Califat de l’Etat islamique ne soit créé, les chrétiens ont été et continuent à être une cible pour les musulmans— les foules musulmanes, les individus musulmans, les régimes musulmans, les terroristes musulmans, les pays musulmans de toutes les origines (arabes, africains, asiatiques, etc.)— et pour une seule et unique raison : les chrétiens sont les infidèles Number one !
Pour le salut de l’Amérique, d’Israël, du monde chrétien, et de l’Occident, les prières des chrétiens irakiens ont été en tendues !
Et ce en dépit des fraudes électorales massives en faveur de la déesse de la guerre pro-islam Hillary Clinton.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source: ‘Christians claim Obama “ABANDONED” them to sick ISIS jihadis—and back Trump election’ Jihad Watch/The Religion of Peace