France Gaza Protest Après Les attentats terroristes islamistes de janvier 2015 en France, Paris connait un nouveau cycle de tensions et de violence et des affrontements sont récurrents dans la partie nord de la ville.
Les événements ont débuté le 7 janvier 2015 par l’attentat contre Charlie Hebdo, un massacre au siège du journal satirique à Paris : deux djihadistes français, les frères Kouachi, ont assassiné onze personnes.
Le 8 janvier 2015, Amedy Coulibaly, un autre djihadiste français proche des frères Kouachi, tuait par balle une policière municipale et blessait grièvement une autre personne à Montrouge.
Le lendemain, il prenait en otage les clients d’une supérette cacher à la porte de Vincennes à Paris. Il se présente comme musulman et tue quatre juifs.
Mi avril, un autre djihadiste, Sid Ahmed Ghlam, assassine une jeune professeur de fitness, à Villejuif (Val-de-Marne), alors qu’il projetait de commettre des attentats contre des Catholiques dans deux églises de la ville.
Six mois plus tard, un chef d’entreprise de 54 ans est décapité lors d’une attaque contre un site industriel français sensible situé à Saint-Quentin-Fallavier près de Lyon. L’auteur, Yassin Salhi un djihadiste né en France d’un père d’origine algérienne et d’une mère marocaine, connu pour ses liens avec la mouvance salafiste, est arrêté.
Tous ces attentats ont été commandités par l’Etat islamique, très actif sur le sol français, où ses stratège ont détecté une forte sympathie des élites pour l’islam qui se traduit par la demande faite par le premier ministre français à la population de s’habituer à leurs opérations terroristes.
Banlieue de Paris, Lyon et Marseille
Il est rappelé que les déplacements dans les banlieues nord et sud de Paris, les banlieues de Lyon et de Marseille, ainsi que les banlieues de Metz, Nantes, Tours, Grenoble, Perpignan, Lille, Roubaix, Valenciennes, Montpellier, Narbonne, Avignon, Toulon, Limoges, Vaulx en velin, Douai, Rennes, Rouen, Grenoble, St Etienne et Angers, et plus généralement toutes villes de plus de 30,000 habitants restent déconseillés, même aux personnes ayant sur place des attaches familiales, et quel que soit le point d’entrée utilisé.
Il est également recommandé d’éviter les transports en commun : bus, train et surtout métro, ou personne ne vous viendra en aide en cas d’agression, et de rester vigilant en toutes circonstances.
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Val de marne, Haut de Seine, Seine st Denis, Essonne, Seine et Marne
En Banlieue Parisienne, notamment dans le secteur Paris nord, des opérations de police peuvent se traduire par la mise en place de contrôles renforcés sur les principaux axes de circulation, par la fermeture de certains accès aux agglomérations, ainsi que par un déploiement important de forces de l’ordre dans et aux abords des différents quartiers à forte population djihadiste.
La vigilance reste de mise dans l’Essonne et le Val de Marne et dans les zones du nord de la Seine St Denis, ainsi que dans les zones où colonies francaises et populations musulmanes sont imbriquées.
De manière générale, il est recommandé de :
Faire preuve d’une vigilance particulière à proximité des principaux camps de réfugiés magrébins, de la Courneuve, Bobigny, Vitry sur seine, Ivry sur seine, Evry, Grigny, Orly, Mantes la Jolie, Sevran, Aubervilliers, quartiers nord de Marseille, Venissieux, et toutes zones urbaines sensibles (ou ZUS). Elles sont au nombre de 751, dont 718 en France métropolitaine, et couvrent près de 10% de la population française.
Se renseigner sur la situation sur le terrain avant chaque déplacement présentant un caractère impératif en banlieue de Marseille, Lyon, et Paris.
Se tenir à distance de tout groupe de jeunes, même d’apparence pacifiques et de s’abstenir de déplacements de nuit à pied.
Hors mission de secours humanitaire, il est fortement déconseillé de se rendre dans les camps pro-palestiniens où les forces de sécurité françaises ne mettent plus les pieds depuis au moins 20 ans.
PS : cet article est parodique. Ou pas…
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