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Covid-19, ma démarche – par Egbert Egberts, pasteur à Liège en Belgique. A lire et relire avec attention. Bien entendu j’adhère ! (H. Goël). Ayant adopté dès le départ une attitude prudente et même méfiante à l’égard de la « gestion » de ce Covid. Ayant été averti par la vision de l’ange noir reçue et automne 2019, nous avons prié et entendu D.ieu. De ce fait, pas un cas de Covid dans l’oeuvre répartie sur la France, la Suisse, Israël et le Canada. et cela alors que pour ma part, mon âge avancé et mes problèmes de santé m’exposaient très grandement…D.ieu ne fait rien sans avertir les prophètes et D.ieu « reste » bon pour tous, mais plus encore pour ceux qui entendent et voient spirituellement, en obéissant…Cherchons D.ieu, cherchons intime refuge en LUI seul car cette aventure d’Apocalypse va encore révéler d’autres volets.

By 6 mai 2021CORONAVIRUS

Par Egbert Egberts

Voilà une bonne année que nous vivons une pandémie qui semble ne pas vouloir en finir. Cela a suscité un flot d’articles, de vidéos et d’études pour expliquer ou pour questionner. Personne ne niera qu’une grande peur s’est abattue sur nos pays. Le port religieux du masque en est une indication. Une année est une bonne durée pour jeter un regard en arrière et pour essayer de comprendre. En ces quelques pages, j’aimerais expliquer mon vécu de cette année. 

 Les débuts

Tout a commencé en février 2020. Notre église a connu sa première hospitalisation pour Covid, bien qu’on n’en eût pas encore le diagnostic et qu’on en ignorâsse encore tout.

Une sœur est revenue de France où elle était partie pour participer dans une réunion. Elle est tombée gravement malade avec des problèmes pulmonaires mystérieux. Une autre sœur lui a fidèlement rendu visite ; il n’y avait pas encore de soupçon de contagion. Au tout début du mois de mars, elle était présente lors d’un enterrement auquel je présidais et, ensuite, a rendu visite à ma femme à l’hôpital. Je pense que c’est elle qui m’a contaminé et j’ai eu, environ une semaine plus tard, des symptômes grippaux avec une toux sèche persistante. Cela a duré environ dix jours avant que je retrouve un état de santé normal. La personne qui m’a probablement contaminé est elle-même tombée assez gravement malade et, en cette même période, la Covid de la première sœur a été confirmée.

Entretemps, à l’hôpital, ma femme a été exposée à la Covid par sa voisine de chambre, premier cas Covid de l’hôpital. Avec les visites de la sœur mentionnée et de moi-même, elle a donc subi une triple exposition à la Covid, sans que nous en fussions au courant. Toujours est-il qu’elle n’en a subi aucune conséquence, bien que personne à risque (âge et asthme). J’y reviendrai plus loin.

Quand je suis sorti de mon état « grippal », nous avions déjà commencé le premier confinement.

A partir du 21 mars, la Covid commence à figurer sur ma page Facebook. Dès le 23 mars, je reproduis un article du Parisien sur le Professeur Raoult où il dit notamment :

… je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 600 patients hospitalisés et 75 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.

Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?

Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait.

[…] Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves.

[…] A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science.

Prof. Didier Raoult.

Cet article – et d’autres – ont éveillé mes doutes sur ce que nous disent les autorités avec leurs « experts ». Pourquoi les guillemets ?

  • Parce que la France a dans son sein un des meilleurs experts au monde sur la question et a décidé de l’ignorer. En Belgique aussi, nos « experts » partagent essentiellement la même opinion. Ceux/celles qui ont des opinions divergentes sont ignorés, voire méprisés.
  • Parce que nous ignorons le degré d’inféodation des « experts » à l’industrie pharmaceutique – nous l’ignorons quasi totalement en Belgique et partiellement en France.
  • Parce que, dans l’urgence des milliers de décès, on ne peut pas se permettre le luxe d’ignorer des traitements qui semblent donner de bons résultats. Quand on se le permet quand même, on vise autre chose que le bien des malades. Dans ce cas, et il faudra bien se le demander, on est « expert » de quoi ? Des statistiques ? Par moment, j’ai effectivement une forte impression qu’on est intéressé seulement aux statistiques, à la quasi exclusion des autres drames mortels causés par cette pandémie, comme le taux des suicides.

Le 28 mars, je publie mon article La pandémie et la Bible sur le lien entre pandémie et jugement. Le lendemain, notre ancien trésorier meurt de la Covid. Nous avons une vingtaine de malades dont plusieurs à l’hôpital dans des états graves, voire très graves. Loin de moi de banaliser cette épidémie !

Le 24 avril, je lis une étude intéressante sur sott.net, site multilingue. A cette date, après les chiffres catastrophiques de la première vague, l’auteur montre que le pourcentage de personnes qui ne sont pas décédées à cause de la Covid dans la population des différents pays est partout à peu près pareil. Une étude des CDC, plus récente, confirme essentiellement ces chiffres (le nombre de cas actuellement dans le monde est de moins de 2 % de la population mondiale. Je pense qu’un cas est quelqu’un avec un test positif). L’article présentait la liste suivante :

99.9,9574 % de la population italienne n’est pas morte de la Covid
99.9,9529 % de l’Espagne
99.9,9664 % de la France
99.9,9720 % du Royaume-Uni
99.9,9934 % de l’Iran
99.9,9997 % de la Chine
99.9,9436 % de la Belgique
99.9,9933 % de l’Allemagne
99.9,9754 % des Pays-Bas
99.9,9804 % de la Suède
99.9,9997 % de l’Australie
99.9,9975 % du monde

Le 3 mai, je transmets un premier vrai questionnement des dessous de la pandémie qui affirme ceci : « l’OMS utilise la pandémie pour se diriger vers un nouvel ordre mondial qui s’inspire du régime oppressif de la Chine. » Peu à peu, je découvre un tas de choses étonnantes autour de cette pandémie et la manière des autorités de se détourner de tout traitement pour choisir la seule voie de vaccins, encore en voie de développement.

J’apprends en ce mois de mai par une étude israélienne que la vitamine D a un effet protecteur prouvé sur le coronavirus. Plus tard, en automne, s’ajoute à cela l’effet du zinc. (Lorsque j’ai découvert cela et vu le taux élevé de vitamine D chez ma femme lors d’un examen à l’hôpital, je me suis dit que j’avais là l’explication de sa résistance à la maladie. Il y a sans doute eu d’autres facteurs, mais je pense que celui-ci pesait de tout son poids.) Mais jamais nos autorités n’ont pris la peine d’en avertir la population. Bien au contraire, elles découragent activement tout traitement de la maladie par le protocole développé à Marseille par le professeur Raoult ou des protocoles semblables. Une étude sérieuse, plus tard en cette même année, prouve que sa mise en œuvre précoce aurait diminué les hospitalisations et les décès de 65 % ! Cela fait tout de même environ 12 000 personnes juste pour la Belgique qui n’auraient pas dû mourir … Et nous ne serions pas indignés ?

Mais je vais trop vite ! Dès le mois de mai 2020, on commence à parler déconfinement et je prends connaissance des directives proposées à nos églises. Des directives imposées, sans aucune vraie discussion et sans réflexion critique. Le sujet semble tabou. Il ne semble y avoir aucune conscience que nos autorités sont en train de mentir au peuple. On soumet la population, et les églises, à un régime autoritaire qui n’admet d’aucune contradiction. Il faut suivre le flûtiste enchanté. Mais vers où ?

Avec l’automne, la contestation contre la version officielle prend de l’ampleur. Et avec elle, la censure. J’ai été censuré moi-même et cela m’a poussé à écrire un article en fin septembre qui est toujours d’actualité. C’est quoi, cette version officielle ? Pour vaincre le virus, il faut décourager toute prophylaxie (vitamine D, zinc, …) et décourager voire interdire tout traitement (hydroxychloroquine, ivermectine, azithromycine, …) pour ne laisser que deux voies autorisées : les mesures barrière et la vaccination. Mais, par exemple, des études sérieuses montrent la non-efficacité des masques. Quant aux vaccinations, voyez l’article suivant sur mon blog. Pour les traitements donnés à l’hôpital, l’avis de cette pneumologue mérite attention.

Un mot sur la question éthique

Les vaccins – du moins tous ceux actuellement utilisés en Belgique – ont été préparés avec le secours de l’industrie de l’avortement. À lui tout seul, ce fait devrait poser problème aux chrétiens. Mais dans un article du CPDH, un médecin explique qu’il n’y a pas de raison de s’inquiéter, même si ce n’est pas une situation idéale. Il n’en faut guère plus pour que nombre de chrétiens endorment leur conscience et suivent le mouvement général. Les arguments bibliques de l’article laissent à désirer, mais le tableau à la fin de l’article est très utile.

L’avortement constitue un marqueur de première importance dans la rébellion de l’humanité contre Dieu. En aucune façon, un chrétien ne peut y souscrire, l’encourager ni l’approuver. C’est un mal qui conduit l’humanité à sa perte. Jusque-là, peu de chrétiens seront en désaccord avec moi. Mais qu’en est-il de la responsabilité dans le cas d’un vaccin développé avec le concours de l’avortement ? L’article en question cite l’exemple catholique : « La Congrégation pour la doctrine de la Foi, dans sa “Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid-19” (traduit ici de la version anglaise), fait appel à la notion de “degrés de responsabilité dans la coopération au mal”. Elle y affirme que “dans les organisations où des lignées cellulaires d’origine illicite sont utilisées, la responsabilité de ceux qui décident de les utiliser n’est pas la même que celle de ceux qui n’ont pas voix au chapitre dans une telle décision”. » L’article rappelle que « ce problème de “coopération au mal” se pose de la même manière lorsque nous payons nos impôts (dont une partie servira à rembourser des IVG, etc.) »

Il faudrait éviter un mal plus grand – le décès pour cause de Covid – en acceptant, ou en prescrivant (comme le fait le Vatican pour ses résidents) la vaccination, peu importe le vaccin – de toute façon, on n’a pas de choix de vaccin. Je note simplement l’acception tacite du récit officiel sur la Covid, y compris le silence de mort sur les traitements alternatifs. Prophylaxie et traitements permettent de relativiser sérieusement l’urgence et de désamorcer la panique. Mais l’auteur de l’article semble l’ignorer.

En suggérant la comparaison entre la question des viandes sacrifiés aux idoles (1 Corinthiens 8) et les vaccins, l’auteur en vient à l’approche biblique. Il écrit :

« Ainsi, nous trouvons là une certaine analogie avec la question de l’acceptation ou non de certains vaccins anti-Covid liés à des cellules d’origine fœtale. Certains les rejettent quelles qu’en soient la portée ou les conséquences (même s’il n’y a pas d’autre possibilité de se protéger et de protéger les autres), car ils établissent un lien de responsabilité directe avec le fait que Dieu réprouve l’IVG ; ils ne peuvent donc accepter de tels produits. D’autres les accepteront sans que leur conscience ne se retrouve souillée pour autant, sans avoir en pensée d’approuver par là même l’IVG, en raison des arguments qui ont été dits plus haut. »

Dr Michel Cambrelin.

La phrase que j’ai mise en italique est fallacieuse. Car il y a d’autres possibilités de se protéger et de protéger les autres ! Ce sont des possibilités plutôt réelles, puisque 99 % de la population ne tombent pas malades de la Covid ! Depuis quand faut-il vacciner toute la population pour une maladie qui touche moins qu’un pourcent ? Protéger les autres ? Mais depuis quand se fait-on vacciner pour protéger les autres ? C’est nouveau et suspect, un argument pour faire pression sur les gens. En fait, la comparaison avec 1 Corinthiens 8 est erronée. Paul peut dire qu’une idole n’existe pas. Mais l’avortement est un problème réel qui s’aggrave chaque année et dont nos parlements – en pleine Covid ! – ont discuté pour en étendre encore la pratique. Ce n’est pas une question cultuelle, mais une question éthique sur le bien et le mal. En acceptant la pratique de se servir de l’avortement pour fabriquer des vaccins, nous disons à notre monde que nous, chrétiens, nous n’y voyons pas de problème insurmontable tant que nous y trouvons notre avantage. Que cela soit l’opinion du Pape est une chose. Ses opinions contre la Bible sont légion ! Mais que cela soit la position d’une œuvre comme le CPDH est une chose totalement différente et inquiétante. N’est-il pas de notre responsabilité de protester contre cet état de choses ? N’est-ce pas une des vocations de nos structures dirigeantes ? En lieu et place, on ne dit rien. Et qui ne dit mot consent …

Les vaccins n’ont pas que ce problème-là. Malgré toutes les assurances données par leurs fabricants – ce qui n’est que très logique – il y a de vrais soucis avec leurs effets à court et à long termes. Sur ces derniers, il n’y a aucun recul. En plus, il faudra probablement se faire revacciner souvent, ce qui ne fait qu’augmenter les risques.

Finalement, tout revient à une question de confiance. De tout côté, on nous demande de faire confiance. Mais en qui ? En une industrie pharmaceutique qui figure parmi les plus puissantes au monde ? Faire confiance aux média, aux affirmations des uns, aux réfutations des autres ? Aux « fact-checkers » ? A la science ? Mais laquelle, pratiquée par qui et payée par qui ? Mentir sciemment est devenu tellement commun qu’il est devenu quasi impossible d’être sûr de quoi que ce soit. On ment par erreur ou à dessein, ou parce qu’on est immergé dans un système mensonger malgré soi.

L’excès de confiance nuit gravement à la vie, sauf quand elle est placée dans le Dieu de la Bible. Cela n’est pas une phrase pieuse, un peu bateau ! La Bible dit expressément que des temps d’une grande séduction viendront sur les hommes. Parlant de l’Antichrist qui vient, Paul dit :

« La venue de cet impie se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers et avec toutes les séductions de l’injustice pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas accueilli l’amour de la vérité pour être sauvés. C’est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité mais ont pris plaisir à l’injustice soient condamnés. »

2 Thessaloniciens 2:9-12.

Cela s’étend-il à notre époque ? Poser la question est déjà y répondre. Cela s’étend-il aussi à ce qui entoure cette funeste pandémie ? Là, les réponses varieront, mais la question doit être posée avec insistance.

Alors que faire ? Ne rien faire ? C’est toujours la voie la plus facile et qui semble la plus sûre. On ne se mouille pas. Mais combien de fois cela aboutit-il à nager avec le courant … comme un poisson mort ? J’ai décidé d’agir à mon niveau en tant que pasteur : j’ai envoyé une lettre à mon église, en janvier, pour avertir les gens. Beaucoup de médecins ont aussi agi, dont voici un exemple.

Me ferais-je vacciner s’il y avait un vaccin « classique », non contaminé par l’industrie de l’avortement et non-génique (et qui respecte Lévitique 19.19) ? Peut-être. Je serais certainement prêt à le considérer sérieusement. Dans la limite de mes connaissances, je n’en connais qu’un, celui sur lequel travaille l’Institut Jean-Paul II aux Etats-Unis. Cependant, il faut se rappeler l’avis très réservé du Pr Raoult sur la possibilité même de créer un vaccin pour ce genre de virus. Alors de deux choses l’une : comme les vaccins existent, il a eu tort et on devrait faire confiance à l’industrie pharmaceutique. Ou alors, ces vaccins devraient être sujets à caution. Il me semble que c’est l’option qu’il faut choisir, ne serait-ce que par principe de précaution. Est-il possible que nous soyons les objets d’une énorme manœuvre de séduction ? Que l’on vise non pas notre santé, mais l’instauration d’un contrôle et d’un pouvoir mondiaux ? Jusque là, on a eu une confiance quasi aveugle dans l’establishment médical. Mais peut-être que cette confiance n’est plus méritée. Les trois articles du journaliste Derrick Broze sur le filet tissé par Bill Gates devraient au moins nous rendre conscients que tout pourrait ne pas être aussi bienveillant qu’on aimerait le croire.

Et si je me trompe ?

C’est possible. Nous devons nous poser cette question et, parfois, douter de nos convictions et corriger nos erreurs. Nous sommes pécheurs et n’avons aucune garantie de détenir la vérité ! Cela m’arrive régulièrement, dans cette question, de me demander si tout ce que j’ai dit ne repose pas sur du vent. Si je ne suis pas en train de me battre contre des moulins à vent comme Don Quichotte.

Le plus souvent quand cela m’arrive, je reviens à ce point précis pour me forcer à bien raisonner : pourquoi, en pleine épidémie, avec des milliers de morts sur les bras, nos gouvernements ont-ils interdit le recours à des traitements efficaces ? Pourquoi, maintenant que nous avons plus de recul, persistent-ils dans cette attitude ? Pourquoi tout parier sur les vaccins ? Pourquoi avoir laissé mourir les gens, et particulièrement les aînés, sans soins réels ? Pourquoi nous avoir enfermés dans ce mortel « Domicile-Dodo-Daffalgan-Décès » que rappelle un médecin français au début du film Mal traités ? Vous voyez, je n’arrive pas à comprendre cela autrement. Et je me pose la question : pourquoi ? C’est la question qui fâche.

Tout ceci est-il une simple affaire de gros sous ? Ça l’est ! Pour les fabricants de vaccins, c’est le jackpot et Bill Gates l’avait bien compris, et tweeté, dès octobre 2019. L’augmentation des prix annoncée par Pfizer va dans ce sens. C’est une affaire de gros sous et la pandémie a créé ses millionnaires et ses milliardaires. Mais est-ce que l’indécence s’arrête là ?

Quand on lit ou entend les propos du Forum économique mondial (WEF, Davos) sur le Great Reset, on se rend compte que certains se voient bien profiter de la crise. Après tout, il ne faut jamais gaspiller une bonne crise ! Ce sont des gens très riches, très puissants et très pressés. Certains de leurs projets ont des relents apocalyptiques, du genre d’Apocalypse 13. Les différents projets d’un contrôle massif de la population, à l’image de ce qui se passe en Chine, sont à faire froid dans le dos.

Sommes-nous en train de plonger rapidement dans ce qui a été annoncé dans l’Ecriture ?

Chaque jour, on nous rabâche les oreilles avec les résultats, les assurances et les prescriptions des scientifiques. Comme si la parole scientifique était l’ultime autorité. Du moins, la parole de ces scientifiques qui se rangent à la parole majoritaire. Les autres sont écartés et ignorés. Mais nous oublions un peu trop vite le soutien actif des scientifiques (et des industriels) pour les projets des Nazis, et cela des deux côtés de l’Atlantique. Aujourd’hui, ils semblent tout-puissants, et notre culture nous a rendus leurs esclaves obéissants. Est-il temps d’y résister ? Beaucoup le croient. Il est plus tard qu’on ne le pense !

Je prie que nos vies d’église ne sombrent pas dans la médiocrité ni dans la trivialité. La Bible dit : « Tu ne suivras pas la multitude pour faire le mal », Exode 23:2.

Permettez-moi de terminer avec deux citations trouvées récemment et que j’apprécie :

« Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain.

« Truth does not mind to be questioned. A lie does not like to be challenged. »

Pour ceux qui se haussent les épaules en lisant ce texte indigeste – des paroles d’un complotiste et rien d’autre, dira-t-on –, n’oubliez pas votre responsabilité envers ceux sous votre garde. Et merci de m’avoir lu quand même ! Mais sachez qu’il n’y a guère de complotisme dans mon texte. J’ai seulement relaté les faits. Si vous aviez raison et que la fin est encore confortablement loin, tant mieux ! (Du moins …) Je ne vous en voudrais pas d’avoir raison. Mais si vous avez tort, tremblez !

Egbert Egberts

Ougrée, le 28 avril 2021 (dernière modification le 5 mai 2021.)


 Egbert EGBERTS

Egbert EGBERTS a quitté sa Hollande natale en 1970, et depuis, habite en terre francophone. En 1969, durant ses études à l’Université Libre d’Amsterdam, il est devenu chrétien. Il a consciemment reçu Jésus-Christ comme le Seigneur et Sauveur de sa vie. Sa famille était une famille protestante réformée, mais il a appris à connaître le Seigneur dans le cadre de l’Armée du Salut.
Il a poursuivi ses études à l’Institut Biblique Belge à Bruxelles et, plus tard, il a obtenu une maîtrise en théologie à la Faculté Libre de Théologie Evangélique à Vaux-sur-Seine en région parisienne.

Après son mariage, il a travaillé neuf ans en Belgique francophone à Tournai et à Hannut, dans le cadre de la Mission Evangélique Belge. Ensuite, pendant trois ans, il a été professeur et, ensuite, directeur de l’Institut Biblique de Man en Côte d’Ivoire.
Après une année sabbatique, il a travaillé en France dans le cadre de l’Alliance des Eglises Evangéliques Interdépendantes à Nogent-sur-Oise, pour revenir ensuite en Belgique où il est pasteur de l’Eglise Protestante Evangélique de Liège.

Egbert EGBERTS est l’auteur de plusieurs livres dont La Genèse : Sola scriptura ou sola scientia ? où il défend la littéralité des jours de la Genèse. Il est responsable du site Internet Croire et Comprendre.

Join the discussion 2 Comments

  • Chantal Ch dit :

    Que D.ieu bénisse cette femme médecin pneumologue Roumaine qui n’a pas regardé au « protocole » mais qui a tout mis en œuvre pour sauver des vies. 100% de guérison de malades du covid ! Que ceux qui se disent médecins et ne font que suivre des « protocoles » qui ne mènent pas à grand chose prennent exemple. Le but est de sauver des vies !
    Que de vies auraient pu être sauvées avec des personnes comme cela dans nos hôpitaux !

  • Shoshana dit :

    J’adhère aussi complètement à tout ce que dit Monsieur Egberts. « L’épisode  » covid n’est pas terminé car les enfants vont bientôt être les victimes de ces vaccins Pfeizer, Moderna et autres!
    Que chaque chrétien s’examine et puisse prendre les bonnes décisions. Je remercie le Seigneur de nous avoir guidé jusqu’ici et je te remercie aussi particulièrement Haïm car, en tant qu’apôtre, prophète et pasteur tu nous a avertis et conseillés. Il va nous falloir tenir ferme, car tout va devenir de plus en plus compliqué avec les passeports de santé et autres restrictions . . .

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