C’est la question que l’on peut se poser aujourd’hui après une première évaluation de l’analyse de l’une des boites noires.
l’un des deux pilotes a quitté le cockpit et a été dans l’impossibilité d’y retourner pendant la descente de l’appareil.
Ces informations ont été fournies à l’AFP par une source proche de l’enquête ayant eu connaissance de la teneur des enregistrements du Cockpit Voice Recorder (CVR), l’un des deux enregistreurs de vol, qui conserve les conversations et les bruits du poste de pilotage.
«Au début du vol, on entend l’équipage parler normalement, puis on entend le bruit d’un des sièges qui recule, une porte qui s’ouvre et se referme, des bruits indiquant qu’on retape à la porte, et il n’y a plus de conversation à ce moment-là jusqu’au crash», a indiqué la source proche de l’enquête.
Les deux pilotes s’exprimaient en allemand. A la fin du vol, les alarmes indiquant la proximité du sol retentissent, a indiqué cette même source, qui n’était pas en mesure de dire si c’était le commandant de bord ou le copilote qui avait quitté la cabine de pilotage. source
Résumons
Si l’un des pilotes sort du cockpit pour une envie pressante, pour se restaurer, ou pour amener de quoi se restaurer à son collègue il en a tout à fait le droit.
Si l’un des pilotes était un kamikaze, il ne pouvait pas prévoir que son collègue sortirait pour aller aux toilettes, par contre si il lui demande de quoi se restaurer, et que l’autre sort il peut mener à bien le but qu’il s’est fixé crasher l’avion, en laissant son collègue dehors.
On rappelle que depuis les attentats du 11 septembre toutes les portes des cockpit des avions sont blindées et ne peuvent s’ouvrir que de l’intérieur du cockpit.
La question est pourquoi le pilote à l’intérieur du cockpit n’a pas ouvert à son collègue qui a pourtant frappé à la porte.
Soit il était inconscient, soit il n’a pas ouvert bien que l’ayant entendu taper à la porte à son collègue et a crashé volontairement l’avion sur le flanc de la montagne.
Les conditions climatiques étaient bonnes, l’appareil n’avait montré aucune défaillance technique avant le décollage.
150 personnes ont été les victimes de ce crash.
Les officiels vont devoir donner des réponses concrètes aux familles des victimes et ne pas camoufler la vérité si il s’avère effectivement qu’il s’agit d’une opération kamikaze.
On se souvient du crash de l’A320 de la compagnie égyptienne il y a 10 ans qui s’était crashé dans les eaux de Sharm El Sheikh qui avait fait passé la volonté de suicide d’un des pilote pour un manque de formation et donc une défaillance humaine.
Rédaction Israël-flash