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De notre frère Perez, une excellente réflexion sur la souffrance dans le plan du salut!

By 21 novembre 2014Doctrine

 Shalom!

2ème principe : La réforme de la nature humaine. 1/5

 

Introduction :

 

Toi, Créateur, tu n’agrées ni des sacrifices financiers, ni de longues prières, ni des diplômes, ni le trop de connaissance, ni l’apparence trompeuse, ni le verbe facile mais « un esprit contrit et brisé » !

 

Ce qui me met à l’aise avec ce second principe est qu’il me touche en premier et d’une manière très particulière (voir fin de document), je serai donc impartial quant à la narration de ce document.

 

Quand la souffrance rejoint la passion ou inversement !

 

La souffrance, voilà le « mal », la souffrance ne trouve que rarement son explication parce que la reconnaissance d’un état altéré n’est pas en soi revalorisant, c’est provoquer une montée en ébullition de notre réserve d’orgueil.

 

Nous sommes nous, hommes, femmes, enfants et vieillards dans un état abâtardi, nous avons, au moins, ce point en commun qu’il nous vaut mieux reconnaitre avant que ça ne soit trop tard !

 

Cette passion me permet aussi et surtout, d’apprendre à le connaître, par conséquent, de semer les choses ordonnées et inspirées.

 

Le refus de semer ou (et) le refus de recevoir les révélations est un péché contre la Loi Divine.

 

Étant sur un fil, je ne me pose pas de questions et je diffuse, son acceptation ou son refus est géré par Lui !

 

En rapport à tout cela et à la lumière de son Souffle, Il veut nous faire réaliser que la souffrance morale ou physique doit être perçue favorablement par ses serviteurs pour l’édification de l’âme et pour l’acceptation de nouvelles vérités, et non pas, par la négation comme le pensent la grande majorité des croyants.

 

La souffrance est devenue comme un signe de malédiction sur la terre, pour l’Eternel, il n’en n’est rien, c’est-à-dire que ce n’est pas tout ou rien mais qu’il faut discerner la souffrance utile de celle qui ne mène nulle part.

 

Elle n’épargne ni les méchants, ni les débonnaires, nous verrons que le sujet de la nature humaine n’est pas si complexe que cela en vérité.

 

J’essaierais, par Lui, de faire comprendre que les souffrances, la maladie ou le mal de vivre, sont ou seront, pour les « heureux élus », des choses voulues par l’Auteur de la Vie pour nous faire grandir dans la foi, pour les bienfaits qu’elles apportent au vrai caractère défini par Lui et pour qu’elles fassent naitre une passion du cœur, et non de l’esprit, pour ses révélations prophétiques. Pourvu que nous les croyons !

 

Un profond changement est demandé aux hommes qui veulent aller jusqu’au bout du chemin qui mène aux Cieux : la chrysalide doit se métamorphoser en papillon, cette mue impliquera forcément de la souffrance par un passage obligé.

 

Nous courons exclusivement après la connaissance alors que nous en sommes qu’à l’état embryonnaire, nous méprisons notre âme et la faisons souffrir bien inutilement !

 

Le monde céleste est opposé au nôtre, il est pur, saint et juste, il est incompatible avec notre société charnelle et la réciproque est tout aussi vraie.

 

C’est pour cela que notre Élohim nous exerce à nous habituer à la sainteté, à une vie spirituelle en action par la foi, un univers diamétralement contraire à la vie terrestre où l’homme est dépendant d’un système matérialiste et esclavagiste.

 

Malheureusement, nous sommes trop lents à discerner la volonté Divine : souvent, Il doit se résoudre à interpeller ses Serviteurs par tous les moyens inimaginables, en les blessant par un mal provisoire ou permanent selon Sa volonté, parce qu’Il nous aime (Je reprends et je châtie ceux que j’aime) ! 

 

Il sait toucher là où cela fait mal, en touchant notre chair, Il tente de provoquer une réaction immédiate, c’est pour le bien de Ses créatures qu’Il le fait, nous parlons de celles qui dépendent de Lui et dont Lui seul connait les noms !

 

Il mettra tous les moyens en œuvre afin qu’elles capitulent, qu’elles cessent toutes résistances en mettant leur volonté au service de Celui qui peut tout, qui peut tout au-delà de toutes capacités humaines, Il est Tout-Puissant, oui ou non ?

 

Il frappe certes et Il guérit à un moment que Lui-même choisit, ainsi, les créatures qui Lui appartiennent peuvent porter leurs souffrances jusqu’à, s’il le faut, la délivrance : à la venue du Machiah.

 

Il est écrit qu’à Sion, la délivrance des maux et des douleurs pour ses rachetés sera réelle !

 

La guérison de la chair n’est pas utile à l’âme si la créature n’a pas discerné le sens ou le pourquoi de sa souffrance, il y a toujours une raison à un mal, sauf, si nous refusons de l’entendre.

 

Sans Lui ou avec Lui, nous pouvons être amenés à souffrir, or, la souffrance peut conduire des croyants à la mort : « Tu passes pour être vivant et tu es mort » ou à la Vie, c’est la souffrance due à la transformation de nos êtres : « Il vaut mieux souffrir en faisant le bien » !

 

Il y a 3 aspects de la souffrance dans la vérité, comme il y a 3 principes, la souffrance due à un refus d’une révélation, due à de mauvais traits de caractère non réformés ou due à une alimentation malsaine.

 

Les 3 raisons peuvent altérer significativement notre capacité d’analyse, de réflexion.

 

Il est vrai aussi que la plus grande majorité des habitants de la terre souffre inutilement sans chercher ou s’intéresser à entendre les choses Divines, rappelons-nous que la Parole parle qu’un « reste » seulement, sera sauvé.

 

Pour le plus grand nombre qui va disparaitre, nous nous devons d’avoir de la miséricorde et respecter leur choix qu’ils ont eu de ne pas avoir voulu être sauvé ou tout simplement de ne pas avoir eu ce réflexe de se sauver.

 

Nous nous devons d’être tristes en rapport à cette multitude qui va disparaitre, n’oublions jamais que nous pouvons, nous aussi, faire partie de cette multitude car rien n’est fait mais tout est à refaire !

 

Nous voyons que nous pouvons souffrir à cause de la vérité, à cause de notre endurcissement, le comble est de souffrir sans chercher à saisir la vérité du mal qui est en nous, cela s’appelle : souffrir dans son ignorance !

 

Nous pouvons souffrir tout en pensant que nous n’avons rien à nous reprocher !

 

Au jugement du peuple de la terre, les méchants plaideront sur cette phrase copiée-collée suivante : « il nous semblait pourtant que nous observions toute la volonté du Seigneur », c’est la souffrance trompeuse, hélas, il n’y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir !

 

En résumé, nous pouvons donc souffrir pour la bonne cause : la vie éternelle ou inutilement : pour la mort éternelle.

 

Et l’absence de souffrance chez les croyants sous toutes leurs formes, comment faut-il l’interpréter ?

 

Pas un seul personnage biblique n’est allé jusqu’au bout de son pèlerinage terrestre sans être passé, au préalable, par la souffrance : dans « la machine à laver » du Seigneur des seigneurs !

 

Le croyant sincère qui désire, plus que tout, la délivrance de sa chair sait qu’il devra passer par une souffrance physique et/ou morale, il possède des dispositions propres à suivre son Maitre, c’est pour cela que ce Dernier a frappé à la porte de son cœur un jour, mais il n’a pas les aptitudes spirituelles car trop de déchets sont encore en lui.

 

Il finit par comprendre qu’un jour, il devra être entièrement dépendant du Maitre, mais avant cela, il doit mettre sa foi à l’épreuve et se préparer pour les combats spirituels qu’il va devoir mener.

 

La « foi », c’est maintenant !

 

Le Libérateur devra nettoyer en profondeur sa nature et ôter le poison « babylonien » qui a pénétré en lui depuis plusieurs années sans qu’il ne s’en soit aperçu avant, son âme étant dans les ténèbres.

 

Un attrait pour le matérialisme, une opinion de soi surévaluée, un ou des péchés solidement ancrés, le choix d’une acceptation partielle de la Bible et la liste est longue, peuvent être des signes alarmants d’une déconnexion évidente avec le Créateur.

 

La souffrance est inscrite dans son plan, et bien des hommes cherchent la guérison de la chair sans comprendre d’où vient la nature de ce mal.

 

Ils cherchent la guérison de la chair car ils souffrent, le Maitre connait l’homme et le touche là où cela le dérange le plus !

 

Il y a beaucoup d’hommes qui ont l’âme souffrante mais ne s’en aperçoivent pas ou ne font pas la relation entre la cause (le mal) et la conséquence (la souffrance).

 

Il faut faire savoir que l’ennemi (satan) peut également opérer des guérisons dans la chair, par contre, il ne peut guérir l’âme : difficile, dans ce cas, de discerner le vrai du faux.

 

Or, la conséquence d’un problème de santé vient d’une âme non métamorphosée, non renouvelée, non conforme à la ligne de conduite fixée via Celui qui a créé cette âme. Il y a plusieurs types de souffrances : maligne ou bénigne !

 

La souffrance type « Job, Joseph ou encore Daniel », celui qui la connait n’a pas de soucis à se faire, il doit seulement attendre patiemment la Délivrance et garder les choses prescrites !

 

C’est « l’homme » qui persévère à être agréable au Créateur et aux hommes, n’hésitant pas à traiter durement son corps s’il le faut, il est prêt à accepter de nouvelles vérités et à se reprendre s’il n’a pas eu un comportement de sainteté.

 

il doit, quelque part,  endurer des souffrances injustes, c’est pour cela qu’il ne faut pas se tromper sur la réponse que nous nous apportons.

 

Ces souffrances ont un but pédagogique car ces êtres peuvent souffrir sans qu’il y ait une raison à cela : cela fait partie de l’enseignement du Créateur pour ses créatures terrestres mais aussi célestes, un exemple loin d’être compris par les croyants !

 

Ils ont aussi un point commun : cette aptitude à s’humilier, ne regardant pas aux hommes et à chercher à comprendre !

 

Il y a la souffrance de type « Jacob », elle est liée à une contre nature Divine dans sa forme, mais bonne dans son fond, par sa motivation à vouloir plaire au Seigneur des seigneurs.

 

Quelque part, dans ses actions, Jacob anticipe le jugement Divin à l’encontre de « Ésav ou Esaü » qui se désintéresse du Créateur par le mépris qu’il a de son droit d’ainesse.

 

Le type « Jacob » est attachant, il est conduit à s’humilier et à comprendre sa bassesse, son état ou sa souffrance est liée à son caractère qu’il sait imparfait.

 

Il fait des erreurs ou commet des péchés mais ne se cache pas derrière, il les reconnait : ainsi, il ne perd pas de temps pour l’édification de son salut.

 

Sa motivation à chercher à aimer son Créateur par un zèle entier lui fait commettre des erreurs, son fond n’est pas méchant, il a cette attitude à s’humilier, prêt à servir, s’il le faut, l’homme qu’il a outragé.

 

Jacob fut et resta un enfant durant son pèlerinage terrestre dans sa façon d’appréhender les événements de sa vie.

 

Il veut une chose qui est chère à son cœur : être au service de l’Eternel, il se fait violence et finit par la gagner, même s’il outrepasse la morale Divine pour cela.

 

Le Père juge son action positivement tout en le reprenant sur ces erreurs.

 

Il est très important de reconnaitre notre état devant le Juge Suprême et devant les hommes : oui, il faut le faire, quand bien même cela peut nous en coûter, même avec le peu d’amour, au départ, que nous avons pour notre Sauveur.

 

Ensuite, il y a la souffrance du type de « David », et non des moindres car elle est d’une sincérité inouïe : c’est un homme de valeur que ce « David », son cœur est disposé, il est sincère, authentique, un homme selon le cœur de l’Eternel !

 

Toutefois il a un problème : il tue un soldat fidèle et prend sa femme avec laquelle il aura un enfant qui mourra par le bras du Seigneur des seigneurs.

 

Cette histoire me montre et nous montre tous et toutes du doigt, n’agissons-nous pas de la même façon en action ou en pensée ?

 

De plus, David nous montre d’une manière très tranchante ce qu’il convient de faire en pareil cas, il a un problème de chair dont il va guérir.

 

Ce souci de la chair concerne les 2/3 des hommes ou femmes de la planète.

 

Dans le même temps, David est un passionné qui adore Le Créateur et tout ce qui gravite autour de Lui, il est spirituellement amoureux du Sauveur, de Sa Parole.

 

Il est aussi « faiblesse » et le reconnait volontiers : le cuisant retentissement de ses péchés va l’aider à ne voir que Lui et rien que Lui !

 

De plus, il a cette attitude à s’humilier et à reconnaitre ses erreurs, ses péchés, à s’effacer aussi, il consulte en permanence son Maitre pour Lui demander conseil pour chaque chose, tout roi qu’il est.

 

Remarquons que son péché a été oublié du Libérateur quand il relate à Salomon, son fils, la vie intègre de son père.

 

De l’autre côté, il y a le type « pharaon » qui nous donne à réfléchir sur notre déplorable nature, qui nous amène à nous interroger : il est facile de verser dans l’endurcissement ou dans l’incrédulité, aussi facile que de tomber à terre.

 

Prenons le temps de la réflexion, regardons-nous à 2 fois, voire 3 fois, n’hésitons pas à importuner le Maitre pour cela, il n’y a que Lui qui puisse nous éclairer, à condition de le vouloir, c’est à Lui qu’il nous faut plaire et non aux hommes !

 

Personne ne peut avoir accès aux promesses éternelles par le moyen de la Parole, s’il ne passe pas par le lessivage de tout son être.

 

Nous devons accepter de n’être que des serviteurs inutiles, de « naitre » rien pour renaitre en Lui, c’est très important, c’est là le chemin !

 

Les idolâtries prennent diverses formes, en dehors des images taillées et des reproductions d’icônes, l’esprit de l’homme est un siège idéal pour idolâtrer ou se fabriquer des idoles !

 

Par le moyen de la Parole de vie, nous pouvons nous construire un salut menant à la mort éternelle, nous pouvons aussi nous construire un Créateur à notre image, quelqu’un qui ne nous contredit pas, une sorte de partenaire, un coussinet pour toutes les aisselles !

 

Nous avons oublié ou oublions qu’en l’acceptant comme notre Créateur, nous avons accepté d’être un serviteur à Sa solde, pour Sa gloire.

 

Or, un serviteur ou une servante est dépendant(e) du Maître à qui il  ou elle appartient, et n’a donc pas son mot à dire ! 

 

Par son choix de suivre le Régénérateur des âmes, ce serviteur devrait faire confiance à celui qui l’emploie tout en étant, dans le même temps, agréable aux hommes, soit, tout ce qui est conforme à la Parole, la Loi et les prophètes.

 

Le Créateur est unique, nous le savons, Il nous a créés identiques, pourquoi faut-il que nous ayons la pensée constante à nous heurter ?

 

Qu’est-ce qui fait qu’un homme veuille être plus grand qu’un autre ?

 

La réponse est liée à notre caractère brut, malin, malade, infecte à son prochain qui, lui-même, n’est guère mieux.

 

Ensemble, les méchants ne peuvent pas cohabiter, ils se font la guerre.

 

Ils devront, cependant, passer au bain du décrassage s’ils désirent entrer en nouveauté de vie ou alors ils croiront pour rien obtenir à la fin, une fin misérable.

 

Oui, mais comment peut-on demeurer vivant sans apport d’une nourriture au temps convenable ?

 

Nous nous devons d’observer les nouvelles lumières tout en travaillant, tout en combattant notre mauvaise nature avec l’aide Divine, bien sûr !

 

Un serviteur doit être affable, effacé, discret, dans le renoncement et au service exclusif du Maître et de son prochain !

 

Rien ne doit lui appartenir en propre comme en bien, ni les hommes, ni les messages révélés, ni les biens matériels, ni même sa vie car tous et toutes doivent dépendre uniquement du Maître céleste !

 

Nous devons aussi progresser dans notre façon de voir les choses, « croyant(e) » oui, nous le sommes peut-être : ce qui est important, c’est d’être « pratiquant(e) », afin de mettre la foi en action.

 

Veiller en vérité, persévérer, là est la solution, car nous ne crions pas assez ou plus du tout au Seigneur des seigneurs, nous sommes dans un semi sommeil, pollués par trop de fausses connaissances qui tournent autour de la vérité présente sans y pénétrer : où est le concret ?

 

Pendant que l’Eternel fortifie l’alliance, les organisations religieuses cherchent à l’exploser, par des traditions, des raisonnements ou des habitudes humaines.

 

Les « cheveux blancs » n’ont plus de repères, ils ne sentent plus venir le danger, l’éducation des enfants est faite à partir du modèle institué par Babylone !

 

Quand le temps de grâce sera passé, il sera trop tard, mangeons donc un peu de l’arbre de la connaissance pour nous éclairer sur ce qui vient devant nous, puis, intéressons-nous exclusivement à  l’arbre de Vie !

 

Pendant 3500 années, les hommes n’ont juré que par l’arbre de la connaissance et nous, nous continuons à nous tromper, cette connaissance est la forêt qui cache l’arbre de Vie !

 

Notre égo finit par flatter le mensonge et vomir la vérité amère qui pourrait nous guérir !

 

Celui qui a faim trouve doux même ce qui est amer !

 

Entre la difficulté avérée à conserver ce que l’on a, le manque de passion à rechercher, par le Souffle Saint, les choses cachées selon la volonté Divine et le mépris que nous avons de notre âme meurtrie faute de réformes, telle est la nature religieuse à son paroxysme aujourd’hui !

 

Les hommes croient œuvrer pour la cause du Maître, pour leur salut, ils pensent qu’il suffit de croire pour être sauvés en oubliant de comprendre ce qu’implique le fait de croire.

 

Les hommes ont appris à tout contrôler, c’est devenu une fâcheuse habitude, les croyants font pires, ils pensent pouvoir contrôler et faire fléchir le Maître qui les a créés.

 

Nous sommes devenus si paresseux à l’heure où Babel nous précipite, les croyants veulent des révélations « expresses » toutes faites et bien faites.

 

Des révélations qui puissent apaiser leur conscience et sans catastrophisme, pour cela, les conducteurs utilisent de belles formules, racontent de belles fables destinées au plus grand nombre.

 

Les croyants ne prennent plus le temps ou la peine de découvrir ce qui leur est destiné, les révélations doivent être savourées avec une passion profonde et une étude sérieuse.

 

Au lieu de cela, on formate des prophéties d’hommes pour le plus grand malheur de ceux qui les reçoivent en évitant de parler des choses essentielles qui réveillent, des choses auxquelles nous ne pourrons pas échapper si nous persistons dans l’incrédulité !

 

Et on prend des versets pour se justifier, pour avoir raison, pour exaucer les pensées, celles-ci dominent : où est passée la Pensée Divine dans nos cœurs ?

 

Encore des problèmes dus à la mauvaise nature des hommes religieux !

 

Un seul trait de lettre ou un yod supprimé peut nous perdre, alors que dire si nous achoppons sur des versets ou des livres de la Parole !

 

La révélation expresse est à la mode pour celui qui n’a pas faim : à l’image d’un plat cuisiné tout fait et qui n’a besoin que d’être réchauffé, que l’on prend par habitude mais sans réelle envie, histoire de se remplir le ventre.

 

Souvent, nous nous accommodons, par des versets, à faire passer la volonté de nos pensées, nous ne réalisons pas le danger que nous faisons encourir aux autres, sans parler de nous-mêmes, le monde est partagé entre idolâtrie et athéisme.

 

L’idolâtrie la plus subtile consiste à s’abandonner à un conducteur pour être enseigné, comme si le Souffle Divin ne pouvait pas palier à cette chose !

 

Il est déjà tellement difficile aux païens d’entrer dans le plan du salut, qu’il leur faut en plus gravir, un à un, les murs de séparation que montent inlassablement les religieux !

 

L’homme au pied du mur, s’il consent à aller jusqu’au bout par sa persévérance, devra passer par 4 étapes successives de nettoyage en profondeur, des étapes aussi différentes les unes que les autres.

 

Ce sont aussi 4 étapes de souffrances avec, à chacune d’elles, un caractère qui les différencie les unes des autres !

 

Pour les multitudes, ils se heurteront, lors de la 6ème trompette ou heurteront, le pied sur l’accélérateur, le mur de la désolation lors de la 7ème trompette ! 

 

La solution est accessible depuis longtemps déjà, il n’y a pas besoin de la télécharger, de l’écrire ou de l’apprendre mais de la prendre tout simplement, de la saisir pour vivre heureux, de croire la Parole en vérité.

 

Agissons dès à présent afin de ne pas faire partie de cette liste de ceux qui sont destinés à la seconde mort !

 

Le malheur est toujours pour les autres dit-on, et non pour nous, c’est dire qu’au lâcher des 4 vents, le réveil pour l’Euphrate va être difficile et douloureux !

 

A suivre : Le lavage.

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  • Rivka dit :

    Merci pour cette étude qui nous permet de faire le point quant à notre attitude face à la souffrance quelle qu’elle soit. Il est vrai que notre nature humaine, charnelle n’aime pas souffrir, et que son premier réflexe est de se dire: »Pourquoi moi »? pourquoi maintenant? La personne est centrée sur elle uniquement.
    Pour nous, croyants sauvés en Yéshua, qui avons nos yeux fixés sur Lui, nous savons que notre salut a été acquis à la croix au prix de grandes souffrances qu’on ne peut même pas imaginer tant nous sommes limités dans notre entendement. Hébreux 5/8 nous dit que: »bien qu’il fut Fils, Il a appris l’obéissance par la souffrance ». Il est notre modèle suprême. Ce n’est pas dans notre force de caractère,ni nos propre forces que nous pouvons comprendre et vivre certaines épreuves physiques ou de l’âme, mais dans l’humilité et le questionnement honnête vers le Seigneur que nous trouverons les réponses et le chemin. Dans son immense bonté, Il nous montre les choses à régler, et après repentance, Il nous purifie de toute les scories qu’il nous a révélées et mises en lumière. La guérison , la paix viennent ensuite selon son rythme à Lui. C’est pourquoi nous devons persévérer dans la Foi avec patience en nous attachant à toute ses promesses concernant Sa protection, Sa délivrance, Sa guérison. Que notre D.ieu et Sauveur soit béni.

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