Chair à canon ou chair sexuelle: à quoi servent ces jihadistes français qui partent en Syrie ?
Ils sont entre 900 et 1.200 français actuellement en Syrie pour mener le jihad, selon les diverses sources officielles. Des hommes, des femmes, des mineurs… De la chair à canon, de la chair sexuelle, où pour les plus « doués » des futurs combattants de « retour » en France.
Alors que JSSNews révélait que des adolescentes ont été mises aux arrêts il y a quelques jours (deux de 15 et 17 ans planifiaient un attentat dans une synagogue de Lyon – affaire confirmée), on sait aussi que deux autres jeunes filles ont été interpelées à Nice et à Quimper, alors qu’elles prévoyaient de partir en Syrie. La niçoise n’avait que 16 ans et la Bretonne 14 ans. Cette dernière s’était convertie seule à l’Islam, sans prévenir ses parents.
Alors, que font ces jeunes filles quand elles arrivent sur place ?
Dans 99% des cas, elles deviennent des trous. Leurs corps ne servent qu’à se faire pénétrer et violer par des dizaines d’hommes tous les jours. Pour les plus chanceuses, elles deviennent des « exclusivités » pour les « émirs » ou les chefs de gang… Ou des « cadeaux » à de valeureux combattants. Quand elles reviennent (si elles reviennent), elles sont porteuses de maladies sexuellement transmissible et/ou d’un foetus. Le nombre de mères « célibataires » en Tunisie, revenues de Syrie, a explosé ces dernières années.
Qui sont les recruteurs ?
Il s’agit de jeunes, principalement des français immigrés ou fils d’immigrés. Dans le cas de la jeune niçoise de 16 ans, son recruteur était un musulman de Tchétchénie en France depuis de nombreuses années, et qui travaille avec plusieurs groupes syriens afin d’envoyer de la chair fraiche combattre ou se faire violer. Il est payé en fonction du nombre de « recrues » et de la « qualité » de ces recrues.
Qui part en Syrie ?
Un peu de tout… On a vu la soeur de Mohamed Merah partir en Syrie avec ses enfants. Il y a 3 semaines, il y a eu une autre française « de souche », convertie à l’Islam, âgée de 45 ans, partir en Syrie rejoindre son mari et y amener ses enfants. Mais il y a aussi des jeunes de banlieue qui croient pouvoir changer le monde. La plupart du temps ils sont envoyés en première ligne. Le nombre de français ou de belges sur place est effrayant !
Qui y fait quoi ?
Les plus doués sont formés au combat et reviennent en France. Ils pourront mener à l’avenir des actions comme celles de Nemmouch au Musée Juif de Bruxelles. Ou bien créer des cellules dormantes et, un jour, organiser des attentats à la sauce Khaled Kelkal (attentats dans le métro de Paris).
Et puis, il y a ceux qui sont moins bons, plus bêtes. Eux pensent se battre pour libérer la Syrie des mains d’Assad – et dans les faits, ils se battent pour un chef de clan. La plupart du temps ils sont les premières lignes et les moins bien formés.
Bien triste :'(