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EHAD-UNITE de H. Goël / Extrait N°58 : UNE FEMMEN DANS NOTRE-DAME DE PARIS. Le mercredi 22 mai :  Une militante des Femen  fait irruption dans Notre-Dame. Cela se passe intentionnellement au même endroit, le lendemain et en réaction au suicide de Dominique Venner dans la cathédrale comme protestation à la loi du mariage pour tous. Le message de la jeune femme armée d’un révolver en plastique : »May fascism rest in hell » (« Puisse le fascisme reposer en enfer ») peint sur son torse. L’action a été revendiquée par l’organisation féministe femen.

By 21 octobre 2021LECTURE QUOTIDIENNE

Le mercredi 22 mai :  Une militante des Femen  fait irruption dans Notre-Dame. Cela se passe intentionnellement au même endroit, le lendemain et en réaction au suicide de Dominique Venner dans la cathédrale comme protestation à la loi du mariage pour tous.

Le message de la jeune femme armée d’un révolver en plastique : »May fascism rest in hell » (« Puisse le fascisme reposer en enfer ») peint sur son torse. L’action a été revendiquée par l’organisation féministe femen.

Au-delà des discours politiques des deux protagonistes, le suicidé et la jeune femme, comment ne pas considérer ces gestes affreux sans considérer le fait que la cathédrale est dédiée à la Reine du Ciel, fut aux temps des druides le lieu de sacrifices de jeunes femmes en bordure de Seine. Sacrifices effectués en l’honneur de Sequana, une déesse du fleuve en relation plus que probable avec la fertilité. Songeons aussi à la deuxième consécration à un esprit femme lorsque à la révolution fançaise le lieu fut investi par un cortège trainant un char sur lequel tronait une actrice nue sous un voile et qui fut présentée comme le nouvelle (déesse) raison d’adorer la créature et non plus le créateur. (pour plus d’informations, lisez mon livre La Bête et son image chez Editions l’Oasis.

 

Chapitre 17

 

Gaïa, pérennité d’un culte et ses variantes à travers les âges

 

 

    Gaïa, Hariti, Séquana, Vénus de Winendorf, Déesse-mère, Hator, Ashta, Hestia, Sacca, Reine des Cieux, Vierge noire, Ashera, Kali, Bastet, Déesse guerrière, Astarté, Diane d’Ephèse, Nike, Sekhmet, Ashdoda, Khuria, Isis, Kore, Demeter, Déesse de la fertilité, Athéna, Aphrodite, Cybelle, Junon, Idaia Mater, Tanit, Artémis,  Anat,Tyche, Frea, Inana, Vénus, louve romaine, Madone, Jézabel, Marianne, Helvétia, Babylone – reine (Apocalypse 18), Brigitte Bardot, Marilyn Monroe, Barbie, Madona, le féminisme, la divinité impersonnelle du New-Age : l’homme-créature, les pouvoirs, la matière, la nature (divinisée)… Gaïa. Gaïa est le titre d’une revue belge contemporaine traitant d’écologie (une des variantes culturelles – cultuelles de l’idolâtrie moderne de la déesse terre-mère). La boucle serait-elle bouclée ? Tout commence avec « Gaïa » dont, grâce à la sémiologie, nous savons qu’elle désigne le culte universel antichristique de la déesse terre-mère que l’on trouve émergeant rapidement à l’aube de l’humanité déchue partout sur la planète. Tout finira avant le retour de Jésus avec cette même Gaïa

C’est la Babylone – reine  d’Apocalypse 18 :  « Sortez  du milieu  d’elle,  monpeuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés et que vous n’ayez point de part à ses fléaux ». Tout « finira » autour de l’an 2000 avec le jugement des oeuvres babyloniennes de Gaïa, (correspondance céleste : La Reine du Ciel) principe antichristique « image de la bête ». (Voir le livre de l’Apocalypse).

 

LA DIANE D’EPHESE (crayon) DESINS ASENTS ICI, voyez le livre en format papier.

 

Actes 19 : 23 à 40

« Il survint, à cette époque, un grand trouble au sujet de la voie du Seigneur.

Un nommé Démétrius, orfèvre, fabriquait en argent des temples de Diane, et procurait à ses ouvriers un gain considérable. Il les rassembla, avec ceux du même métier, et dit : O hommes, vous savez que notre bien-être dépend de cette industrie ; et vous voyez et entendez que, non seulement à Ephèse, mais dans presque toute l’Asie, ce Paul a persuadé et détourné une foule de gens, en disant que les dieux faits de main d’homme ne sont pas des dieux.

    Le danger qui en résulte, ce n’est pas seulement que notre industrie ne tombe en discrédit ; c’est encore que le temple de la grande déesse Diane ne soit tenu pour rien, et même que la majesté de celle qui est révérée dans toute l’Asie et dans le monde entier ne soit réduite au néant.

    Ces paroles les ayant remplis de colère, ils se mirent à crier : Grande est la Diane des Ephésiens !

    Toute la ville fut dans la confusion. Ils se précipitèrent tous ensemble au théâtre, entraînant avec eux Gaïus et Aristarque, Macédoniens, compagnons de voyage de Paul.

    Paul voulait se présenter devant le peuple, mais les disciples l’en empêchèrent ; quelques-uns même des Asiarques, qui étaient ses amis, envoyèrent vers lui, pour l’engager à ne pas se rendre au théâtre.

 

    Les uns criaient d’une manière, les autres d’une autre, car le désordre régnait dans l’assemblée, et la plupart ne savaient pas pourquoi ils s’étaient réunis.

    Alors on fit sortir de la foule Alexandre, que les Juifs poussaient en avant ; et Alexandre, faisant signe de la main, voulait parler au peuple.

    Mais quand ils reconnurent qu’il était Juif, tous d’une seule voix crièrent pendant près de deux heures : Grande est la Diane des Ephésiens !

 

    Cependant le secrétaire, ayant apaisé la foule, dit : Hommes Ephésiens, quel est celui qui ignore que la ville d’Ephèse est la gardienne du temple de la grande Diane et de son simulacre tombé du ciel ?

    Cela étant incontestable, vous devez vous calmer, et ne rien faire avec précipitation.

Car vous avez amené ces hommes qui ne sont coupables ni de sacrilège, ni de blasphème envers notre déesse.

 

    Si donc Démétrius et ses ouvriers ont à se plaindre de quelqu’un, il y a des jours d’audience et des proconsuls ; qu’ils s’appellent en justice les uns les autres.

 

    Et si vous avez en vue d’autres objets, ils se régleront dans une assemblée légale.

    Nous risquons, en effet, d’être accusés de sédition pour ce qui s’est passé aujourd’hui, puisqu’il n’existe aucun motif qui nous permette de justifier cet attroupement. Après ces paroles, il congédia l’assemblée ».

Concernant la représentation de la Diane d’Ephèse page précédente : Notez les boursouflures sur la poitrine de l’idole. Ce sont des seins qui y étaient ainsi attachés. Evidente proclamation et exaltation de la supériorité du colostrum sur la semence masculine. Culte de la fécondité, de l’abondance prétendument apportée par la divinité femme… D’autres commentateurs disent qu’il s’agit de bourses de taureau, qui seraient le symbole de l’attribution de la virilité par la femme. Mais qu’importe. L’idée de la supériorité de la femme sur l’homme est ici manifestement portée au pinacle.

 

 

 

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