Il existe aujourd’hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l’évolution des espèces, enseignée de l’école primaire à l’université, et constamment présentée comme une évidence par les médias.
Cette vidéo aborde succinctement les 2 piliers qui ont conforté cette croyance jusqu’à la présenter comme un « fait scientifique qui n’est plus à démontrer ». Elle met en évidence ce que nous enseigne l’embryologie, étude du développement de l’embryon – et rétablit la vérité sur ce que nous apprennent en vérité les organes homologues.
Il est temps que la remise en question, déjà portée par une cohorte de scientifiques courageux, vienne aux oreilles du « bon peuple » bercé par ce qui apparaîtra un jour comme un des plus gros canulars scientifiques et une monstruosité.
1. Les dessins frauduleux de Haeckel
2. Ce que montre le développement embryonnaire
3. Le modèle pentadactyle et la biologie moléculaire
4. L’exemple de la formation du tube digestif
5. Les membres antérieurs des vertébrés
6. Un autre exemple : le rein
7. Membres antérieurs – et postérieurs
8. Il n’y a jamais eu d’évolution !
1
Une imposture considérée par Darwin comme une preuve majeure de sa théorie !
(1)
Les célèbres dessins de Haeckel ont fait le tour du monde et apparaissent encore aujourd’hui dans certains manuels scolaires – alors que tout le monde a dû finir par admettre qu’il s’agissait d’un faux. Lorsque la réalité ne correspondait pas à la fiction, certains scientifiques ont préféré « corriger les faits »…
Le malaise est tel que rares sont les scientifiques qui osent informer sérieusement le public en dénonçant cette supercherie – et pire – à remettre ouvertement en question les idées fausses que cette « preuve » a instillées parmi les chercheurs !
2
Ce que nous montre réellement le développement des embryons
Il suffit de consulter un manuel d’embryologie, même ancien – ou mieux de s’intéresser de près au développement lors des premières phases de l’existence (blastulation, gastrulation) pour apprendre que les organes ne se développent pas du tout de la même façon chez les grenouilles, les poules ou les souris. (2)
3
L’homologie – une patte de chien, une nageoire de baleine et un bras humain ont bien une même structure…
pourtant les avancées de la génétique (moléculaire) nous montrent qu’ils résultent de l’action de gênes différents. Cette ressemblance des formes et structures n’apporte donc aucune preuve d’un « ancêtre commun » . Encore un mythe, très populaire lui aussi, qui s’écroule.
4
Un exemple : la formation du tube digestif
Chez les requins, les grenouilles, les oiseaux et les reptiles – ils ne se forment pas du tout à partir des mêmes tissus. (3)
5
Les membres antérieurs des vertébrés
Pourtant homologues, l’étude de leur formation aboutit aux mêmes conclusions. (4)
6
Le rein, un autre organe homologue
Il conduit à la même conclusion puisqu’il ne se forme pas non plus à partir des mêmes tissus selon les organismes étudiés.
7
Les membres antérieurs et postérieurs suivent bien un même schéma mais
ils ne proviennent pourtant pas l’un de l’autre, et ils ne peuvent s’être développés – indépendamment – à partir de 2 nageoires ancestrales pour aboutir à une même structure. Une nouvelle impasse.
8
Et si l’évolution n’existait pas ?!
N’est-ce pas ce que nous devrions conclure en constatant – par exemple – que cette structure pentadactyle a perduré au cours des âges, sans disparaître ou s’adapter pour des animaux aussi différents qu’un poisson ou un chien ? Que la structure du squelette d’une nageoire, soumise aux contraintes hydrodynamiques du déplacement dans un liquide – se retrouve dans la patte d’un chien, soumise à des contraintes mécaniques radicalement différentes – voilà qui devrait sérieusement poser question.
Le shéma de cette structure aurait traversé les âges sans être altéré, sans aucune « mutation » favorable, sans aucune « sélection » et « adaptation des espèces » ?!
Cette constatation ne devrait-elle pas nous contraindre à remettre en question totalement le supposé mécanisme de mutation / sélection, censé aboutir à une adaptation de l’espèce et donc à son « évolution » ?
Evidemment la question est gênante parce qu’elle réclame alors de remplacer le mécanisme supposé de l’évolution par un autre modèle pour expliquer l’apparition des diverses espèces. Mais n’est-ce pas cela la vraie démarche scientifique, oser la remise en question face aux évidences et chercher ce qui s’est réellement passé ?
Notes et références
Outre les publications réservée aux spécialistes, il existe quelques ouvrages de base très accessibles, rédigés par des scientifiques de haut niveau. Il faut citer le livre incontournable de Michael Denton « Evolution, une théorie en crise », rédigé par un véritable spécialiste en biologie moléculaire, et qui cite lui-même de nombreuses sources. On pourra lire également avec profit « Le Darwinisme, envers d’une théorie » de Jean-François Moreel, Directeur de recherches et spécialiste en génétique moléculaire – Ed. François Xavier de Guibert
1. « The Life and Letters of Charles Darwin » (Volume II) by Charles Darwin edited by Francis Darwin
2. Richard Elinson 1987 – Evolutionary Biology (1998) par Douglas Futuyma
3. Gavin De Beer, ancien directeur du British Museum of Natural History et embryologiste réputé dans « Homology : an unresolved problem » – 1971- Oxford university press – London – page 13
4. « Evolution, une théorie en crise » Michael Denton, Chercheur en biologie moléculaire et Directeur du Centre de recherches en génétique humaine de Sydney – page 151
Google + > Et Pourtant Dieu existe
sur Youtube > Embryologie et homologie, preuves ou contre-preuves de l’évolution ?
—- 20 Septembre 2016 —-
Sur un sujet proche
Réflexion Philosophie – Vidéo – 5 min 24