Imaginez les grandes enseignes des Champs-Elysées fermer les unes après les autres, et des panneaux de bois recouvrir les immenses vitrines.
C’est peu à peu à quoi ressemble désormais la très belle ville de San Francisco. L’un après l’autre, les magasins ferment. Les pertes qu’ils ont subies sont abyssales. Depuis que l’Etat progressiste a voté une loi qui dépénalise totalement le vol à l’étalage en dessous de 950 dollars, que des vigiles ont été licenciés parce qu’ils attrapaient des voleurs dans les magasins, que le procureur de San Francisco, élu grâce à l’argent de Soros, relâche immédiatement les délinquants sans les poursuivre, et qu’il n’est plus demandé de caution pour sortir de garde-à-vue après avoir été arrêté, que s’imaginaient-ils qu’il pourrait se passer d’autre ?
Ils ont tué la ville, tué l’économie, et pourquoi ? Les progressistes, aveuglés par l’idéologie, disent que les bandes organisées qui pillent les boutiques Gucci, et bien d’autres, « veulent juste du pain pour nourrir leur famille ». Sauf que 70 % des enfants noirs grandissent et vivent sans père : les familles noires ont été détruites.
Voilà le résultat :
Home Depot :
Grand magasin Macy’s :
Gucci :
Nike :
Et tout ça, en totale impunité…
Quel meilleur moyen de détruire une société, et de transformer des villes jadis accueillantes en villes fantômes ! Ils ont sans doute la nostalgie de Detroit, qui n’est plus que ruines dans certains quartiers.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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