FINKIELKRAUT CHEZ DPDA : C’ÉTAIT VRAIMENT LA DÉFAITE DE LA PENSÉE
Mais c’est des tribunes qu’a surgi le venin, sans crier gare, instillé avec un sourire imperturbable – celui d’une jeune enseignante d’anglais arborant sa foi musulmane et professant dans un collège de Noisy-le-Sec. Dans un interminable monologue, Wiam Berhouma a répandu son fiel et sa détestation d’une France « islamophobe » et « raciste », avec une morgue et une violence inouïes. Après avoir matraqué son dégoût d’une nation dont elle est censée, par sa fonction même, promouvoir l’amour et la grandeur, elle s’en est prise directement à Alain Finkielkraut.
Venue dans le seul but apparent d’agresser l’écrivain en public, elle n’a pas lâché sa proie pendant cinq longues minutes, faisant fi des remontrances bienveillantes de David Pujadas qui l’invitait à abréger.
Après avoir assimilé l’auteur de La Seule Exactitude aux « pseudo-philosophes », jeté dans le même sac que Zemmour mais aussi BHL, l’enseignante s’est muée en clasheuse de cité, cherchant à défaire le philosophe et ses « théories vaseuses » en réduisant la subtilité de sa pensée et en lui reprochant de « surfer sur les peurs et d’alimenter les amalgames ». Finalement sommée de conclure, elle posa sa question rhétorique : « Êtes-vous conscient de faire mal à la France? » Et Finkielkraut de traduire immédiatement : « Suis-je conscient d’être un salaud ? »Très fière et amusée, l’enseignante approuva.
Pourtant, elle était loin d’en avoir fini. Dans une seconde intervention, elle voulut porter l’estocade. Après avoir rappelé une vidéo qui circule sur Internet depuis des mois où le philosophe malmené hurle au cinéaste Abdel Raouf Dafri de se taire, elle reprit l’injonction à son compte en achevant son propos par un« Taisez-vous, au nom de la France ! » Avec le buzz en ligne de mire. Génération YouTube contre celle du livre. Génération de l’immodestie éhontée, militante et associative contre le doute cartésien et le questionnement soucieux.
Soutenue par la seule idéologie antiraciste, elle est venue se faire Finkielkraut en direct, en guise de trophée, ne doutant de rien – c’est la base !
C’est au siège de la pensée que nous avons assisté jeudi soir. Le libertaire de gauche comme l’auteur de La Défaite de la pensée ont été boutés hors du ring par la violence d’une nouvelle classe à l’insolence décomplexée, communautariste, sans aucun respect – et qui, pourtant, n’a que ce seul mot à la bouche !
C’est la marche des fiertés. Elles donnent le droit de ne pas penser.
Source: http://www.bvoltaire.fr/thomasclavel/finkielkraut-chez-dpda-cetait-vraiment-defaite-de-pensee,233635
J’ai écouté tout le discours odieux d’arrogance de cette professeur d’anglais musulmane lors de sa parution. Le réécoutant, je stoppe avec la nausée après quelques secondes car, ainsi que le dit cette personne avec ce sourire aussi mielleux que pervers, ce sont les musulmans qui seraient principales victimes du racisme en France !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Car au Bataclan, à l’Hyper Casher, à l’école Ozar haTorah qui comme tout le monde le sait était « une école coranique paisible », n’est-ce pas? (rappel de l’horreur : une gamine de quelques années abattue froidement, ainsi qu’un jeune père et ses deux petits garçons, etc.), c’étaient d’immondes Juifs ou Français de souche (sans doute commandité par le Mossad, comme chaque fois…) qui ont abattu de paisibles musulmans en train d’écouter un concert ou d’aller au magasin hallal. A Marseille ce devait être une erreur, l’irresponsable à la machette se trompait et croyant frapper un Juif a frappé,… qui donc déjà ? On ne sait plus trop au final. On sait très, trop bien !
ET IL NE S’EST LEVE AUCUN SPECTATEUR POUR CRIER LA HONTE A L’AUDITION FROIDE, DETERMINEE, TOUT SOURIRE, DE TELS MENSONGES. PUJADAS, SILENCIEUX, COHN BENDIT, d’habitude si prompt à sortir de ses gonds : silence ! Car ce n’est pas parler qu’il aurait fallu faire mais hurler et réclamer ou l’expulsion de cet individu odieux ou la fermeture de l’émission. LE CYNISME LE PLUS CRAPULEUX MARCHE ET TRIOMPHE AU NOM DE L’ECOUTE DEMOCRATIQUE.
Haïm