Fraude électorale aux États-Unis : le barrage se rompt.par La Lumière |
Par Stéphane Montabert
28 novembre 2020
« Biden refuse de concéder. » — Scott Adams
Contre-offensive
Le 19 novembre 2020 restera dans l’histoire comme la date où le Président Trump, qui sera réélu, reprit officiellement l’offensive. Au cours d’une conférence de presse, son équipe juridique donna ainsi un exposé des innombrables fraudes menant aux résultats erronés donnés pour acquis depuis le lendemain de l’élection par des médias biaisés.
Des fraudes massives, préparées depuis longtemps, organisées dans les États-Unis mêmes avec la collaboration de pays étrangers et des complices à tous les niveaux – en d’autres termes, une authentique conspiration dans le but de fomenter un coup d’état.
Bien entendu, les rares médias qui évoquèrent cette conférence s’empressèrent de l’oublier, ou la firent disséquer par des fact-checkers à l’impartialité aussi imaginaire que l’absence de fraudes. La politique médiatique est simplement d’ignorer tout ce qui vient du « côté Trump », comme des enfants tentant de retenir leur respiration jusqu’au 20 janvier 2021.
Ces gens-là croient encore sérieusement à l’intronisation de Joe Biden à la présidence et pensent que cela les libèrera de tout mal… Une attitude puérile qui démontre une grave méconnaissance des mécanismes juridiques aux États-Unis, de la façon dont le droit s’y pratique, et donc de ce qui va se passer ces prochaines semaines.
Rudy Giuliani n’eut pas des mots tendres pour les médias lors de cette conférence de presse, avec raison. Il rappela quelques éléments qui semblent échapper à nos journalistes :
- Un témoignage sous serment est une preuve recevable par un tribunal. Quiconque fait un témoignage mensonger sous serment s’expose à des peines de prison. Un témoignage n’a donc rien d’anodin. Il est impensable pour un juge de le défausser au prétexte qu’il ne s’agirait « que d’un témoignage », par exemple. même si les médias s’adonnent volontiers à ce petit jeu.
- Si un média n’est pas d’accord avec les informations que présente un témoignage, ce qui est son droit le plus strict, il peut se livrer à un contre-interrogatoire, ou venir avec d’autres témoignages contradictoires, eux aussi sous serment ; les divergences seront alors traitées lors du procès devant une cour de justice. Mais même là, rappelle M. Giuliani, le témoignage original reste un élément de preuve.
- Les témoignages rassemblés par l’équipe juridique de M. Trump comprennent des témoins directs de fraude, des lanceurs d’alerte, et viennent non seulement des rangs républicains mais aussi des rangs démocrates.
- Aucun des recours lancés par l’équipe juridique du Président n’a été rejeté. Ils sont toujours en attente ou en appel auprès d’une instance supérieure. Des recours ont bien été rejetés, mais il s’agissait de recours lancés par des citoyens indépendants, sans lien avec la campagne du Président sortant – ce que les médias occultent.
Je rajouterai, pour compléter, qu’une interview n’est pas un témoignage sous serment. On peut donc mentir effrontément sur un plateau de télévision, sans conséquence. Peu s’en privent.
Énervé par la propension des journalistes à prétendre que les assertions de fraude électorale sont « sans fondement », un internaute a créé un site entier pour répertorier les preuves : HereIsTheEvidence.com – « VoilaLesPreuves.com« . Les documents archivés sont filtrables par état, degré de recevabilité, gravité. On ne peut pas faire plus limpide pour des journalistes. Sont-ils paresseux ou malhonnêtes ? En tout cas, ils n’ont plus d’excuse pour être paresseux.
Trey Trainor, le président de la FEC (Federal Election Commission, Commission Électorale Fédérale, pas grand-chose en somme !) a admis que l’équipe de campagne de M. Trump avait amené devant la justice des « accusations légitimes » de fraude et que le camp adverse « se devait de répondre aux questions ». Silence médiatique, comme toujours.
Le 25 novembre, M. Giuliani était présent lors d’une audition publique sur les fraudes en Pennsylvanie. Les avocats de Dominion n’eurent pas ce courage. Le live de la conférence a été couvert par de nombreux réseaux, en voici une vidéo :
Le moins que l’on puisse dire est que tous les spectateurs de cette audition, comprenant l’assemblée législative de Pennsylvanie, ont été secoués par les déclarations des témoins. Pour ceux qui préfèrent l’écrit, voici l’une de ces dépositions. Elle mérite d’être lue.
Si on ne devait relever que deux nouveautés parmi les nombreux cas déjà répertoriés par l’équipe Trump, les voici : la participation a allègrement atteint voire dépassé les 100 % dans de nombreuses circonscriptions électorales, allant jusqu’à 350 % dans l’une d’elle. Et les bureaux de vote de Pennsylvanie ont reçu au total des centaines de milliers de bulletins par correspondance de plus que ceux que l’administration a envoyés aux électeurs. 1,5 millions de bulletins de votes par correspondance envoyés, 2,3 millions revenus et comptabilisés. Cherchez l’erreur.
Il faut avoir l’esprit sérieusement atteint pour oser prétendre qu’il n’y a pas eu de fraude. Et cette malhonnêteté en appelle immédiatement une autre : sur quelle base quiconque peut affirmer que si fraude il y a eu, elle n’affecte pas le résultat final ?
Sidney Powell relâche le Kraken.
Rudy Giuliani et l’équipe juridique de Donald Trump combattent la fraude électorale – les bulletins arrivés après la fin de l’élection, dépouillés sans observateurs, ou simplement frauduleux. Il y a du travail et les quantités en présence suffisent largement à renverser la prétendue avance de Joe Biden dans les états-charnières.
Sidney Powell, elle, travaille en toute indépendance. Elle a un autre objectif : montrer que le logiciel électoral employé pour compter les bulletins a été trafiqué sciemment, et envoyer les coupables en prison. Le logiciel a non seulement été dès le départ conçu pour changer les élections en favorisant un candidat dans le système, mais aussi manipulé depuis l’extérieur des États-Unis, pendant l’élection, pour changer des paramètres de dépouillement « en temps réel » tant l’avance de Trump sur Biden était importante dans plusieurs états.
Dominion, SGO Smartmatic, Scytl, Séquoia, Clarity sont autant de sociétés liées les unes aux autres par des flux financiers, des employés, des actionnaires et des brevets. La nébuleuse a pour but de produire des machines et du logiciel conçus pour fausser le résultat des élections. Les machines sont informatiquement vulnérables, et délibérément exposées ainsi. Les informations étaient connues de Wikileaks.
Le complot remonte jusqu’à l’état Vénézuélien. Le gentil dictateur Chávez fut un des premiers clients cherchant à falsifier électroniquement les votes, notamment la modification de la Constitution qui lui permettrait d’être élu un nombre illimité de mandats. Il fut un promoteur essentiel de ce qui devint plus tard Dominion. Grâce aux votes modifiés électroniquement, il ne perdit plus jamais une élection, et son successeur Maduro non plus. Les médias affirment toujours que l’extrême-gauche vénézuélienne est très populaire : les scrutins le prouvent, n’est-ce pas !
Mais le complot implique également la CIA. Normal, des Américains étaient au Vénézuela, cela donne des idées…
Comme l’explique la youtubeuse (et juriste) Leight Dundas en citant cette interview :
Le Général Mc Inerny est un lieutenant-général à la retraite de l’Armée de l’air, qui a effectué plus de 400 missions de combat au Vietnam et a ensuite été nommé aux plus hauts postes militaires au sein de Washington DC, rendant compte directement au Secrétaire à la Défense et aux vice-présidents des États-Unis. (..) Il dit que Hammer est un logiciel de surveillance développé par la CIA. Son programmeur était Dennis Montgomery. Il l’a codé en 2003 pour s’attaquer aux islamistes radicaux. Scorecard est un programme développé par la CIA qui manipule les machines de saisie des votes, dans l’isoloir.
Il a ensuite décrit comment Hammer et Scorecard ont été utilisés dans les pays étrangers pour installer les dirigeants que nous voulions, puis comment ce petit pistolet que nous avions créé s’est ensuite retourné et a été pointé directement sur la nuque du peuple américain. Il dit, et je le cite encore une fois, que cette arme a été retournée dans un but plus sinistre. Il fait référence à l’administration Obama, deux semaines après l’entrée en fonction d’Obama en 2009, le 3 février 2009, pour être exact. L’application Scorecard a été transférée de la CIA vers une unité secrète, qui à la fois traite des processus sensibles et est un centre d’information, située à Fort Washington, Maryland. Puis ils ont commencé à l’utiliser contre des citoyens américains, y compris d’éminents Américains et des politiciens.
Sydney Powell, samedi soir [dans une autre interview], en parlant de ce scandale, a lié Dominion, qui a été utilisé dans plus de 30 états lors de cette élection pour compter les votes, à Hammer et Scorecard et à la CIA. Elle a dit qu’ils avaient des preuves que la colonne vertébrale du logiciel Dominion dont ils disposaient provenait du code de Hammer et Scorecard, qui venaient directement de notre CIA.
Mme Powell vient de déposer une première salve de plaintes en Georgie et dans le Michigan. (Les liens renvoient à des documents scannés et passés à l’OCR, ce qui implique quelques imperfections). D’autres plaintes suivront. Une perquisition sur un site de la CIA à Francfort a permis de rassembler bien des preuves.
Apparemment, le logiciel employé par Dominion pour le dépouillement avait mis en place une « pondération » entre Trump et Biden : un vote pour Trump comptait pour 0,75 voix pour Trump, un vote pour Biden pour 1,25 voix pour Biden. Si chacun avait la moitié des votes au début, cela aurait donné 37,5 % pour Trump et 62,5 % pour Biden à la fin. Évidemment, le besoin de corriger les chiffres pour coller aux bulletins rentrés obligeait le logiciel à faire des « sauts correctifs » de temps à autre – soit des votes rajoutés pour Biden, soit des votes enlevés à Trump, soit des votes carrément transférés de Trump à Biden. Ce sont des centaines de « sauts » de ce genre que les spectateurs de la soirée électorale purent voir en direct, de leurs propres yeux, sur les fils d’actualité et les émissions des réseaux télévisés.
Dominion aurait aussi rajouté un « fond de base » de 35 000 voix à tous les Démocrates dans certaines circonscriptions, et sans doute partout où il a été installé. Les Démocrates et leurs alliés avaient même prévu de noyauter les sociétés sollicitées pour procéder à des vérifications. Et bien sûr « d’anciens employés » de Dominion travaillaient désormais directement dans l’organisation du scrutin aux États-Unis.
Mais rien de tout cela ne suffit, tant l’avance de Trump était écrasante. Après minuit dans la nuit du 3 au 4 novembre, alors que le dépouillement frauduleux était bien avancé, Trump menait encore largement dans tous les états-charnières. Ce damné Président était trop populaire !
Il fallut donc passer à la vitesse supérieure, quitte à laisser plus de traces. Les Démocrates en panique firent arriver des bulletins de vote pro-Biden fraîchement imprimés par valises entières, au milieu de la nuit et les jours suivants. Ils éloignèrent les observateurs républicains par tous les moyens possibles pour perpétrer leur forfait, jusqu’à prétendre une fausse fuite d’eau. Manque de chance, les caméras de surveillance ont tout enregistré…
Il serait injuste de ne faire porter le chapeau qu’aux Démocrates. Dominion plaisait à beaucoup de gens ; le gouverneur (républicain) de Georgie, Brian Kemp, s’empressa de faire installer le logiciel en 2019 en vue de l’élection générale de 2020, un juteux contrat gouvernemental de 100 millions de dollars dont une partie de sa famille aurait bien profité. On comprend un peu mieux aujourd’hui ses atermoiements quant à la fraude électorale. D’autres essayent de brouiller les pistes.
Le barrage se rompt
Lorsque j’ai pu affirmer sur ce blogue que la réussite de l’élection frauduleuse de Joe Biden signifierait la fin de la démocratie non seulement aux États-Unis, mais aussi dans le monde entier, je n’exagérais même pas.
Certains à gauche s’en sont tout de même réjouis et se réjouissent encore. Une élection volée ne les dérange pas le moins du monde – sauf s’ils peuvent en accuser un innocent, comme ils l’ont fait contre Trump depuis 2016. Ces gens méprisent la démocratie. La soif du pouvoir dépasse toute autre considération. La souveraineté du peuple est bien le dernier de leur souci.
En attendant, les choses ne se passent pas comme prévu en vue de l’intronisation de M. Biden. Un premier tribunal de Pennsylvanie vient d’annuler le processus de certification des votes, barrant la route à l’attribution des grands électeurs à la marionnette sénile. Un tribunal du Nevada approuve une enquête sur les bulletins de vote frauduleux. Une Cour du Michigan recommande un audit complet de l’élection. La machine se met en marche.
Le chemin victorieux de Joe Biden vers la Maison Blanche vient de se compliquer sérieusement. Plus on creusera, plus on trouvera la fange du marais. Comptez sur moi et sur mes fidèles commentateurs pour en rendre compte, face aux médias qui tentent désespérément de vous désinformer.
Tout ceci était prévisible depuis longtemps. Les Démocrates ont fraudé comme jamais. Ils vont se faire prendre comme jamais. Ils ne s’en relèveront pas. Les médias complices et les manipulateurs de Big Tech suivront. Ce n’est que justice.
Depuis quand s’inquiéter de fraudes électorales est devenu « une menace pour la démocratie » ? À une époque récente, les médias étaient concernés. C’était avant que la fraude électorale ne soit perçue comme le seul moyen de chasser Donald Trump de la Maison Blanche.