Les Hollandais ont eu le courage que n’ont pas pour l’instant les Français : fatigués de la politique d’immigration, ils ont osé bravé la diabolisation de Geert Wilders par les médias. Ils ont voté pour un changement. Les Français ont peur de faire, eux aussi souffrent de cette immigration, mais ils sont sous la coupe de leur télévision, et ne votent pas pour l’équivalent français, le conservateur Eric Zemmour classé à tort “extrême droite”. Traduction d’un article de Barry Shaw.
Les Pays-Bas vont se retirer du système d’asile et des frontières ouvertes de l’UE et adopter une approche plus réaliste du terrorisme.
La liste des pays européens qui s’éloignent des politiques d’immigration ratées de leurs prédécesseurs socialistes, s’est enrichie des Pays-Bas, avec l’élection de Geert Wilders à la tête du pays.
Wilders sera à la tête d’une coalition de quatre partis dont l’objectif est clairement de balayer les résultats désastreux d’une frontière ouverte, qui a inondé les Pays-Bas d’une migration de masse en provenance du Moyen-Orient, ce qui a conduit la minorité montante à semer l’anarchie, laissant la majorité silencieuse exposée à un comportement auquel elle s’est opposée par son vote.
Wilders a annoncé que son pays était confronté à une crise de l’asile qui nécessitait un renforcement des contrôles aux frontières et des changements internes.
Les Pays-Bas vont ainsi se retirer du système d’asile et des frontières ouvertes de l’UE.
Il introduira une approche plus réaliste du terrorisme, y compris du terrorisme urbain des rues, qui comprendra l’expulsion des migrants criminels, ce qui rendra la vie plus sûre pour les Néerlandais.
M. Wilders a annoncé qu’il allait engager son pays dans une nouvelle voie fondée sur l’espoir, le courage et la fierté nationale.
Geert Wilders a également l’intention de transférer l’ambassade de son pays à Jérusalem.
Il a raison. D’autres feraient mieux de suivre son exemple…