Puisque les Arabes veulent vous détruire et que nous pouvons aller contre leur volonté il serait préférable que vous acceptiez de vous donner la mort vous-mêmes ! Kerry propose un nettoyage ethnique de 80,000 Juifs de leur terre, veut obliger Israël à céder 94 % des ses terres historiques pour favoriser le terrorisme et a forcé Israël à violer le droit international.
Kerry revient avec un cadeau du nouvel an civil, une proposition pour expulser 80.000 Juifs de leur terre et ainsi aider les Arabes terroristes de l’OLP à rendre la terre volée du futur Etat terroriste qu’ils préconisent vidée de ses citoyens légitimes. Sous la pression d’Obama nous avons fait, nous, notre cadeau aux Américains et aux génocidaires en violation totale de la résolution 1373 de l’ONU. Libérer des meurtriers de masse.
Les accords d’Olso largement bafoués par les Arabes prévoyaient que l’OLP devait cesser tout terrorisme, et toute incitation à la haine – c’est exactement l’inverse qui s’est produit.
Il existe une résolution contraignante du Conseil de sécurité qui commande à chaque Etat membre –
« résolution 1373 du Conseil de sécurité des Nations Unies – tous les États membres se «refusent de donner asile à ceux qui financent, organisent, appuient ou commettent des actes de terrorisme ou en protègent et abritent leurs auteurs. »
En faisant pression sur Israël pour qu’ils libèrent ces monstre,s les USA et Israël qui l’a accepté ont bafoué le droit international.
Même si le plan de Kerry n’a aucune chance de recevoir l’assentiment des 2 parties, le fait d’y avoir pensé et de l’exposer est absolument inique.
Le projet de Kerry se divise en neuf points :
- Plan Olmert
- Israël rétrocèderait 92, 8% de la Bande occidentale aux Palestiniens
En 2008 cette proposition avait été faite en catimini par l’inconscient Olmert, sans aucune consultation et autorisation du gouvernement israélien et donc sans aucune approbation du peuple souverain d’Israël.
Pour compenser, Israël pourra disposer de 6,8 % de ses terres sur lesquelles sont sises les localités de l’ensemble Gush Etsion (Efrata, Ariel, Maalé adoumim, Givat Zeev, et Har Homa à Jérusalem) mais devra céder encore 5,5% du territoire même d’Israël.
En somme on demande à Israël de céder 93 % de son territoire historique, et presque 6 de l’Etat Juif
- Couper Israël en deux en permettant une jonctions entre les 2 entités terroristes Gaza et les villes arabes de Judée-Samarie avec une souveraineté israélienne et un contrôle sécuritaire arabe !!!
Avec cerise sur le gâteau un financement par Washington d’une voie ferrée reliant les deux (Gaza-Hébron) sans halte – Abbas exige de Kerry que le train aille jusqu’à Ramallah.
Ce passage sécurisé amputant Israël (1 %) et le coupant en deux sera déduit des propres terres qu’Israël devrait concéder.
- Jérusalem
Jérusalem la capitale de l’Etat Juif sera divisée territorialement comme le prévoyait les paramètres inapplicables de Clinton, à l’exception du Coeur antique de Jérusalem et ses lieux saints dont la souveraineté sera confiée à une commission internationale constituée des Etats-Unis, d’Israël, de l’OLP , la Jordanie et l’Arabie Saoudite.
- Les descendants des Réfugiés
Toujours selon les paramètres Clinton qui avaient été rejetés par Yasser Arafat.
Une fondation internationale sera créé pour réinstaller des « réfugiés » au Canada et en Australie, et une faible proportion devant être acceptée en Israël dans le cadre du regroupement familial.
- Sécurité
Kerry appelle à l’évacuation de la totalité des 10.000 résidents de la Vallée du Jourdain, le long du fleuve du Jourdain. Des couloirs sécuritaires reliant Israël seront toutefois maintenus.
Des postes frontières seront installés entre la « Palestine » et la Jordanie, sécurisés par les Israéliens.
Il y aura un couloir aérien de la bande de Gaza à la Judée-Samarie et aucune présence militaire israélienne à l’intérieur de l’Etat palestinien. Abbas ne souhaite aucune présence civile ou militaire. Judenrein.
- taxes douanières
Israël collectera les taxes douanières et redistribuera les revenus aux Arabes. Ce qui se fait déjà.
- Localités Juives
80% des Israéliens de Judée-Samarie seront confinés dans les 4 localités (voir point 2)
Les 20% restants, soit 80.000 personnes devront décider par eux-mêmes s’ils préfèrent rester chez eux sur leurs terres ancestrales passant à la domination arabe ou subir un nettoyage ethnique et rejoindre le centre d’Israël.
- Délais
Abbas donne à Israël 3 ans pour relocaliser les citoyens de Judée-Samarie et procéder au nettoyage ethnique.
Point de vue jordanien
La dernière chose que les Jordaniens veulent voir, c’est des centaines de milliers de Arabo-Palestiniens (citoyens jordaniens de 49 à 67 mais déchus de leur citoyenneté jordanienne après 1967) se déplacer de la Judée-Samarie ou de la bande de Gaza dans le royaume. Naturellement, le monarque jordanien ne peut pas rendre publique cette position de peur d’être accusé par les Arabes et les musulmans de trahison et de collaboration avec «l’ennemi sioniste».
Abbas et l’OLP ne veulent aucune présence juive civile et militaire en Judée-Samarie, et surtout pas le long de la vallée du Jourdain.
La question est de savoir si la Jordanie veut vraiment les terroristes de l’OLP sur ses frontières.
Au cours de réunions privées, de hauts responsables jordaniens ont fait clairement savoir qu’ils préfèrent voir Israël le long de leur frontière commune. (On les comprend !)
S’exprimant lors d’une cérémonie de remise des diplômes de l’université à Jéricho, Abbas a déclaré que les frontières de « l’Etat palestinien » s’étendraient de la mer Morte au Sud et à travers la vallée du Jourdain jusqu’à la ville de Bet Shean dans le Nord.
« Il s’agit d’une frontière jordano-palestinienne, la responsabilité de la sécurité le long de la frontière sera dans les mains des Palestiniens » a déclaré Abbas.
Israël, bien sûr, a ses propres raisons stratégiques pour refuser de céder le contrôle de la vallée du Jourdain.
La principale préoccupation d’Israël est que la frontière avec la Jordanie soit utilisée par des groupes terroristes arabo-palestiniens et les organisations islamistes à la contrebande pour passer des armes et des terroristes en Judée-Samarie donc en Israël.
Cependant, il y a une autre raison pour laquelle Israël reste fermement opposé à l’abandon du contrôle de sa frontière avec la Jordanie à l’OLP ou d’un tiers.
Ce n’est un secret pour personne que les Jordaniens ont longtemps été préoccupés par les répercussions de la présence de l’entité de l’OLP sur leur frontière.
Dans une réunion privée récente avec un haut fonctionnaire de la sécurité jordanienne, interrogé sur la position du Royaume en ce qui concerne la possibilité que l’OLP pourrait un jour remplacer Israël le long de la frontière avec la Jordanie. Sa réponse est :
«Que Dieu nous en préserve! » . «Nous avons à maintes reprises expliqué clairement aux Israéliens que nous n’accepterons pas la présence d’un tiers à la frontière. »
Le fonctionnaire a expliqué que la position de la Jordanie n’était pas nouvelle. « Cela a été notre position depuis 1967, » a t-il dit. « Le roi Hussein l’a dit clairement à tous les gouvernements israéliens et maintenant sa majesté, le roi Abdallah, reste attaché à cette position. »
L’opposition de la Jordanie à placer les postes frontaliers avec la Judée-Samarie sous contrôle de l’OLP est seulement fondée sur des préoccupations de sécurité.
La Jordanie et Israël en ont déjà fait l’amère expérience des nids de terroristes (septembre noir en Jordanie).
Bien sûr, les préoccupations de sécurité de la Jordanie ne sont pas injustifiées, surtout à la lumière de ce qui s’est passé au cours des dernières années le long de la frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte.
Les Egyptiens paient aujourd’hui le prix fort pour avoir négligé leur frontière commune avec la bande de Gaza au cours des dernières décennies. Le Sinaï pullule de groupes terroristes « palestiniens et autres Al-Qaeda » notamment qui sont maintenant une menace sérieuse pour la sécurité nationale de l’Egypte.
Outre les problèmes de sécurité, les Jordaniens sont également préoccupés par les conséquences démographiques par la présence des Arabes de l’OLP sur sa frontière.
Leur pire cauchemar, selon un diplomate jordanien – Une fois que les « Palestiniens » auront le contrôle de la frontière, des milliers d’entre eux se déverseront en Jordanie.
Les Jordaniens ont déjà un «problème» avec le fait que la population de leur royaume se compose d’une majorité palestinienne, dont certains disent qu’elle a atteint plus de 80%. La dernière chose que les Jordaniens veulent, c’est de voir des centaines de milliers de Palestiniens se déplacer de la Judée-Samarie ou de la bande de Gaza dans le royaume.
Bien que les Jordaniens ne font pas partie des négociations de paix en cours entre Abbas (non légitime au vu de sa population) et Israël, ils espèrent qu’Israël ne se précipitera pas et n’abandonnera pas le contrôle sécuritaire sur sa longue frontière avec le royaume. Naturellement, la monarchie jordanienne ne peut pas rendre publique sa position de peur d’être accusée par les Arabes et les musulmans de trahison et de collaboration avec «l’ennemi sioniste».
Les Egyptiens connaissent aujourd’hui ce que les Jordaniens savent depuis longtemps – qu’une frontière commune avec le OLP/Fatah ou le Hamas ou tout autre groupe palestinien est une recette pour l’instabilité et l’anarchie. Les Egyptiens regrettent sûrement les jours où les Forces de défense israéliennes assuraient la sécurité le long de la frontière entre l’Egypte et la bande de Gaza.
Même si les forces d’Abbas réussissent à maintenir la sécurité et l’ordre le long de la frontière avec la Jordanie dans un premier temps, il n’y a aucune garantie que cela le reste.
Entre 2005 et 2007, les forces de sécurité d’Abbas avaient le contrôle de la principale traversée entre la bande de Gaza et l’Egypte : le corridor Philadelphie – avant qu’elles ne soient expulsées par le Hamas. On connaît la suite.
Il est dans l’intérêt d’Israël d’avoir la stabilité et le calme en Jordanie. Porter atteinte à la sécurité de la Jordanie créerait de nombreux problèmes pour Israël et évidemment la Jordanie qui deviendrait inévitablement une autre terre de Jihad.
Adapté par la rédaction d’Israël-flash debka.co.il et gatestoneinstitute