Shlomo Carlebach, qui avait un charisme extraordinaire, qui avait entraîné derrière lui dans la téshouva de nombreux jeunes et moins jeunes, et qui, dans les derniers temps avant de mourir, se réunissait régulièrement avec des messianiques…
Shlomo Carlebach, qui avait un charisme extraordinaire, qui avait entraîné derrière lui dans la téshouva de nombreux jeunes et moins jeunes, et qui, dans les derniers temps avant de mourir, se réunissait régulièrement avec des messianiques…
You must be logged in to post a comment.
La version de Perry Como est belle ! Dans le « Chanteur de Jazz » de 1927, premier grand film sonore, le Kol Nidré a été chanté par la vedette du film, Al Jolson (Asa Yoelson).