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La Belgique, la Flandre, tu connais ? Merci Jacques, avec une larme émue !

By 20 avril 2021BELGIQUE

Join the discussion 4 Comments

  • Shoshana dit :

    Merci Haïm pour ce beau texte qui me donne encore plus envie de « voir pour le croire » . Un jour peut-être ! Si D.ieu le veut . . .

    • Haïm Goël dit :

      Prie…et pourquoi pas? Dans ce cas (il est vrai improbable maintenant compte tenu de nos investissements spirituels) je me ferai un plaisir, avec Elishéva, de te piloter là haut dans ce cher Nord bourré et bardé de poésie. Il y a aussi les Ardennes du voyageur solitaire, un MUST, ses vals, ses rivières ses forêts et tout le reste qu’on ne peut exprimer ici, l’ineffable, les senteurs, les atmosphères, le soleil d’hiver qui n’est pas là comme ailleurs…

  • Shoshana dit :

    Oh la la ! Que de souvenirs! Cette chanson est une de mes préférées de Jacques Brel! Combien de fois je l’ai chantée en imaginant ce pays, sa mer, sa lumière. Et je l’imagine toujours, car je ne le connais toujours pas !
    Merci Haïm!

    • Haïm Goël dit :

      Là « Il faut le voir pour le croire » s’applique…Qui peut décrire, percevoir l’atmosphère si particulière des Flandres? Bien, il y a Bruges, l’endormie, Ostende la poétique juvénile , le Zwijn, etc; mais c’est en promenade silencieuse dans les dunes, et en hiver, pour y entendre la mer qui lutte avec le vent et que les deux se fracassent dans des roulis de vague mourante qu’on vit avec la Flandre. Idem, en promenade, toujours solitaire, dans les labours d’automne quand les brumes caressent les mottes grasses avec leurs promesses de la terre fertile avant même les semailles. Et puis surtout cette immense mélancolie brune et noire qui heureusement s’atténue dans le regard bleu des flamandes. Qui n’a vu un énorme feu solitaire de marin sur la plage en décembre est un handicapé des émotions rares. Aie, Marike, Marike, le ciel flamand entre les tours de Bruges et Gand….

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