Obama et ses alliés occidentaux ont marqué le début d’une ère nouvelle, le retour du martyre des Chrétiens en terre d’islam.
Là où l’Administration d’Obama, soutenue par certains gouvernements occidentaux , aident les islamistes à renverser les pouvoirs laïques au nom de la « démocratie et de la liberté », les minorités chrétiennes indigènes doivent choisir entre la conversion à l’islam ou la mort.
Semer la terreur pour convertir à l’islam, une façon barbare de répandre l’idéologie islamique ! Et cela dure depuis le VIIe siècle …
Nombreux sont les Chrétiens qui préfèrent la mort à la conversion à cette idéologie diabolique.
Le 28 août dernier, près d’Alep, les militants de l’Etat islamique torturèrent, mutilèrent, violèrent publiquement, puis décapitèrent et crucifièrent 12 Chrétiens, coupables d’avoir déclaré que jamais ils ne renonceraient au Christ pour Mahomet.
Les jihadistes firent venir un groupe de Chrétiens devant une grande foule, amassée sur la place publique.
Ils coupèrent les doigts d’un garçon de 12 ans, fils d’un dirigeant syrien de l’Eglise chrétienne, qui refusait obstinément de se soumettre à l’islam. Ils le frappèrent ensuite violemment, sous les yeux de son père, lui disant qu’ils arrêteraient de le torturer si son père revenait à l’islam. Le père refusa, alors ils le torturèrent à son tour, le frappèrent, ainsi que deux autres membres de son ministère. Les trois hommes et l’enfant furent ensuite crucifiés.
Leurs corps restèrent sur les croix pendant deux jours.
Personne ne fut autorisé à les enlever. A côté des croix, on déposa un panneau portant l’inscription « Infidèles ».
Huit autres Chrétiens, dont 2 femmes, âgées de 29 et de 33 ans, furent également sommées de renoncer au Christ pour embrasser l’islam… Tous refusèrent.
Les islamistes de l’Etat islamique violèrent alors les femmes, puis les frappèrent. Comme ces malheureuses continuaient à prier pendant leur supplice, les militants islamistes redoublèrent les coups avec une furie bestiale.
Tandis que les 2 femmes et les 6 hommes s’agenouillaient, dans l’attente de leur supplice, ils continuèrent à prier.
Selon les villageois, certains priaient au nom de Jésus, d’autres levèrent leurs têtes et recommandèrent leurs esprits à Jésus. L’une des femmes leva les yeux au ciel, et sembla presque sourire en s’exclamant « Jésus ». Après avoir été décapités, leurs corps furent pendus aux croix.
Les mêmes horreurs se passent actuellement dans deux autres nations arabes, là où les USA et ses alliés occidentaux, sous prétexte d’y apporter la liberté et la démocratie, contribuèrent à la chute des dictateurs laïques qui longtemps avaient arrêté l’avancée des jihadistes : la Libye et l’Irak.
L’année dernière, Andrew White, un pasteur anglican, connu sous le nom de « Vicaire de Baghdad », raconta les atrocités commises en Irak à l’encontre des Chrétiens : des enfants furent sciés en deux en présence des parents pour avoir refusé de se convertir à l’islam :
« Les égorgeurs de l’EI dirent aux enfants chrétiens : Vous allez prononcer la chahada, la profession de foi islamique : Il n’y a pas d’autre Dieu hormis Allah, qui est le Seul et l’Unique et Mahomet est son dernier prophète envoyé à l’humanité. »
Quatre de ces enfants, tous âgés de moins de 15 ans, répondirent :
« Non, nous aimons Jésus. Nous avons toujours aimé Jésus. Nous avons toujours suivi Jésus . Jésus a toujours été avec nous.”
Les égorgeurs de l’EI rétorquèrent : « prononcez la chahada». Les enfants répondirent, tout en commençant à sangloter : “ Non, nous ne pouvons pas ». Ils furent tous décapités.
« Comment pouvons-nous répondre à cela ? Par les larmes ? Ce sont mes enfants. C’est ce que nous avons subi, c’est ce que nous subissons. »
C’est peu après la chute de Saddam que les enfants chrétiens d’Irak devinrent la cible préférée des islamistes.
En juin 2008, un comité parlementaire canadien eut vent de la manière dont les militants musulmans crucifiaient les enfants chrétiens. Depuis le début de la guerre en 2003, douze enfants, dont certains seulement âgés de 10 ans, furent enlevés, assassinés, cloués sur les croix près de leurs maisons, afin de terrifier et tourmenter leurs parents.
Dans l’un de ses messages sur Facebook, A. White, qui postait régulièrement les photos de chrétiens martyrs, écrivit :
« La photo, reçue aujourd’hui, dépasse en horreur tout ce que j’ai pu voir à ce jour : une famille de 8 personnes, toutes abattues d’une balle en pleine tête, gisaient dans une mare de sang, leur Bible ouverte sur le canapé. Ils avaient refusé de se convertir. Cela leur coûta la vie. »
Il raconta également comme des membres de l’Etat islamique vinrent trouver un Chrétien et lui dirent : « soit vous vous convertissez à l’islam, soit nous tuons vos enfants ». Désespéré, le père récita la chahada et devint ainsi musulman. Il téléphona ensuite à A. White :
« Abouna, abouna [père, père], j’ai prononcé ces mots. Jésus ne m’aimera plus? J’ai toujours aimé Jésus, j’ai prononcé ces mots, car je ne pouvais pas voir tuer mes enfants. »
« Non » Ellias, Jésus vous aime encore. Il vous aimera toujours” lui répondit A. White.
Il existe de nombreux récits historiques de Chrétiens martyrisés, suite à leur refus de renoncer au Christ pour Mahomet, qu’il s’agisse des 100.000 Chrétiens géorgiens décapités ou brûlés vif ou « seulement » des 800 italiens décapités à Otrante.
Le 14 août 1480, un massacre fut perpétré sur une colline, juste aux portes de la ville d’Otrante, dans le sud de l’Italie.
800 hommes de la ville furent conduits en un lieu, appelé la Colline de Minerve et l’un après l’autre, ils furent décapités devant leurs frères prisonniers. Cette colline fut, par la suite nommé la Colline des Martyrs. Ils moururent, car ils refusèrent de se convertir à l’islam. Leurs corps, restés sans sépulture sur le lieu de leur supplice, furent retrouvés en juin 1481 par les troupes qui libérèrent la ville.
Les 800 citoyens d’Otranto étaient des martyrs, les premières victimes du projet funeste de conquête de l’Italie et de toute la Chrétienté par les armées de l’Empire ottoman. Grâce à leur sacrifice, toutefois, l’invasion ottomane fut ralentie et Rome échappa au même sort fatal qui frappa Constantinople 27 ans auparavant. Les martyrs d’Otrante furent canonisés par le Pape François le 12 mai 2013.
Antonio Primaldo périt décapité par les troupes du sultan, avec ses 800 compagnons, en 1480 à Otrante, pour avoir refusé de se convertir à l’islam.
« Nous considérons Jésus-Christ comme Notre Seigneur et le vrai Dieu. Nous préférons plutôt mille fois mourir que de le renier et devenir Turcs », avait-il dit avant son supplice.
On peut lire dans un rapport datant de l’Egypte médiévale, le récit suivant :
En 1389, une grande procession de Coptes, ayant reconnu Mahomet par peur d’être condamnés à mort marchaient à travers les rues du Caire.
Comme ils s’étaient repentis de leur apostasie, ils souhaitaient expier pour leur erreur, en revenant au christianisme. Ainsi, pendant qu’ils marchaient, ils annonçaient leur foi en Christ et leur rejet de Mahomet. Ils furent arrêtés et tous les hommes décapités l’un après l’autre sur une place publique, devant les femmes. Ces dernières, loin d’être terrorisées par le macabre spectacle, refusèrent de renier le Christ et subirent le même sort. (Ref. Crucified Again pages 113-114)
Cette année, en Libye, l’Etat islamique diffusa une vidéo montrant la décapitation de 21 Chrétiens coptes.
Tandis qu’ils maintenaient les corps de leurs victimes, les militants sanguinaires enfoncèrent leurs doigts dans les yeux des Chrétiens, puis penchèrent leur tête en arrière et les égorgèrent lentement au couteau.
Tout comme lors des récents viols, décapitations et crucifixion des 12 Chrétiens près d’Alep, les Chrétiens priaient Jésus, pendant que la lame du couteau leur coupait lentement la gorge. Un prêtre copte décrivit plus tard la scène :
« Le nom de Jésus fut leur dernier mot.. en murmurant le nom de Jésus, juste avant de mourir, leur martyre fut scellé. »
Un mois avant que la vidéo de la décapitation ne fut diffusée, la BBC déclara erronément que les Coptes avaient été relâchés. C’est triste à dire, mais minimiser de la sorte la persécution des Chrétiens par les musulmans est une pratique courante à la BBC.
Quand l’Etat islamique diffusa une autre vidéo, en avril, sur le massacre de Chrétiens en Libye, un membre masqué de l’Etat islamique s’adressa à tous les Chrétiens du monde :
« Nous disons à tous les Chrétiens, l’EI va s’étendre, avec la permission d’Allah. Et, il vous atteindra, même si vous êtes réfugiés dans des lieux fortifiés. Ainsi, quiconque accepte l’islam trouvera la sécurité… mais celui qui refuse, ne verra de nous que le tranchant de la lame. Les hommes seront tués, leurs biens confisqués et leurs enfants deviendront des esclaves. C’est le jugement d’Allah et de son messager. »
La scène suivante montrait les Chrétiens éthiopiens abattus d’une balle à l’arrière de la tête ou décapités.
Le massacre permanent des Chrétiens par le sanguinaire Etat islamique et la destruction des églises et des antiquités sont la responsabilité de l’Administration Obama et de ses alliés occidentaux, qui intentionnellement ou non, ont pavé la voie à l’Etat islamique.
Comme le Président russe Vladimir Poutine l’a récemment déclaré devant les Nations Unies, s’adressant aux pays, qui soutinrent le « Printemps arabe » à commencer par le grand chef Obama :
“En lieu et place de la démocratie et du progrès, nous avons eu la violence, la pauvreté et le désastre, et personne ne se préoccupe le moins du monde des droits de l’homme, y compris le droit de vivre.
Je ne puis m’empêcher de poser la question à ceux qui ont contribué à cette situation : réalisez-vous ce que vous avez fait ? »
Qu’ils le réalisent ou non, ils persistent à choisir la même voie en Syrie et les Chrétiens en payent souvent le prix le plus élevé.
Mais le sanguinaire Etat islamique, avec lequel commerce la Turquie de l’islamiste Erdogan et d’autres pays occidentaux, indifférents aux atroces violations des droits de l’homme perpétrées par les soldats de satan, n’est pas le seul responsable du massacre des Chrétiens refusant de se convertir à l’islam. Des musulmans, à titre individuel, des foules hystériques, des terroristes islamistes et des gouvernements islamiques à travers le monde sont connus pour forcer les Chrétiens à se convertir à l’islam, le plus souvent sous la menace de mort.
L’orientalisation de l’Occident, sciemment organisée par ses dirigeants, entraînera ces mêmes déchaînements d’atrocités qu’à Alep, Mossoul et Rakka.
« Chamberlain avait promis la paix et il a perdu. Churchill avait promis du sang et des larmes et il a gagné. »
Islam : 14 siècles de massacres, de conversions forcées, de pillages, de destructions.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source: “How Obama Ushered in the New Age of Christian Martyrdom” gatestoneinstitute.org (Traduit et adapté par Rosaly)
L’ange que Mahomet a vu n’était pas Gabriel mais un démon. Satan se déguise en ange de lumière, ils adorent et servent Satan. Ca sent la mort, la soumission, l’esclavage. On reconnaît un arbre à ses fruits ! Il n’y a pas d’amour en Satan, n’oubliez pas que c’était un ange, un chérubin de haut rang près de Dieu, Dieu l’a éjecté sur la terre et Satan a entraîné un tiers des anges avec lui qui sont devenu des anges déchus : des démons. Vous qui êtes morts en Christ, on ne peut vous tuer car vous êtes morts et votre vie est en Christ. Ce qu’on m’a fait, dit le seigneur, on vous le fera. Celui qui tiendra jusqu’à la fin sera sauvé. Est-on prêt à ne pas renier notre Maître si on est face à des soldats de Satan ? Ce ne sont pas les seuls! Il ne faut pas oublier les innombrables massacres des vrais chrétiens torturés et tués par l’Eglise catholique romaine : Babylone la grande prostituée, ivre du sang des saints !