À l’entrée du Palais du Luxembourg, un colis suspect que les démineurs ont fait exploser ; la technique est un classique du genre.
Ainsi, des activistes mahométans alternent attentats meurtriers et simulations provoquant l’alarme auprès des services de sécurité ; en somme, la routine que nous vaut l’islam propagé sur notre propre sol, dont le djihâd armé est l’indissociable composante. Dans l’enceinte du Sénat, le Forum on Islamic Radicalism and Management (FIRM) allait entamer son colloque précisément à ce moment-là. Le signal d’hostilité musulmane était limpide, a fortiori dans le climat de guerre islamique menée contre les Occidentaux. Toutefois, le Forum on Islamic Radicalism and Management a maintenu ses travaux ; lesquels ont été accomplis avec des professionnels de la sécurité des entreprises ou du renseignement en d’autres secteurs d’activités. Ils s’inscrivent dans le suivi d’investigations inter-disciplinaires discrètes entretenues en collaboration avec des parlementaires.
Ce processus est né à Paris, voici un an, fructueux depuis lors ; ce colloque-ci (1) ayant été précédé d’une rencontre similaire à Washington, au Capitole.
La Cour de Strasbourg vient d’établir judiciairement la réalité de la dimension belliqueuse de l’islam en affirmant la nécessité d’éviter l’insurrection musulmane en Europe.
C’est, à l’évidence, ce que traduit sa position jurisprudentielle par l’arrêt Sabaditsch-Wolff. Elle considère que la portée de l’art.10 (liberté d’expression) de la Convention européenne des Droits de l’Homme doit dorénavant être limitée afin, expressément, de préserver la « paix religieuse”.
Rappelons qu’aucune obédience musulmane n’a renoncé au djihâd armé. Autrement dit, les communautés musulmanes installées en territoire européen se réservent d’y constituer des milices privées au mépris de la Loi, et la Cour s’accommode de cette menace. Milice privée, c’est la qualification juridique d’un groupe menant le djihâd armé.
La limite de la liberté d’expression est donc fonction non de la vérité ou de l’opinion, mais du seuil d’intolérance religieuse musulmane
En ce contexte, il ressort de cet arrêt que la Cour de Strasbourg prétend à la prohibition de l’évocation du caractère pédophile du comportement de Mahomet ayant “consommé” une fillette de neuf ans, épousée à l’âge de six ans à peine (ce qui constitue un mariage forcé doublé d’un viol), afin de calmer l’ire de musulmans qui enragent littéralement lorsque des lanceurs d’alerte en informent les opinions publiques occidentales.
La limite de la liberté d’expression est donc fonction non de la vérité ou de l’opinion, mais du seuil d’intolérance religieuse, musulmane en fait, car il n’y a aucun risque d’insurrection bouddhiste ou d’autres confessions, ni émanant de milieux athées. Ce positionnement de la Cour est d’ailleurs éminemment contestable au regard des dispositions de la Convention européenne des Droits de l’Homme et de ses protocoles additionnels. La Cour de Strasbourg a outrepassé ses compétences ; le démontrer nécessiterait d’autres développements. L’État de droit est ainsi mis à mal par le gouvernement des juges.
délibérément ou non, ils ont offert un instrument, une arme, aux pires ennemis des Peuples d’Europe
Il est inexact de soutenir que la Cour de Strasbourg aurait admis le concept de blasphème de religion, mais son pinaillage juridico-politique à relents interculturalistes ne fera pas beaucoup de différences in concreto en matière de perceptions collectives. Ne serait-ce qu’à cet égard, ces magistrats, statuant à l’unanimité de surcroît, ont ensemble brillamment démontré à quel point ils sont incapables d’assumer l’administration de la justice face à l’ennemi à moins qu’ils en soient les agents : en fait, délibérément ou non, ils ont offert un instrument, une arme, aux pires ennemis des Peuples d’Europe.
Le paradoxe, c’est qu’ayant attisé de la sorte les hostilités, ils tiennent une citoyenne autrichienne pour responsable de menace pour la paix sociale, religieuse en particulier, alors que leur arrêt constitue une contribution majeure à l’avancée de l’activisme musulman tandis que celle-ci avait évoqué une vérité historiquement avérée : la “consommation” d’une fillette, au moins, par Mahomet. Et ces magistrats escomptent se dédouaner en déclarant néanmoins que :
“ceux qui choisissent d’exercer la liberté de manifester leur religion en vertu de l’article 9 de la Convention ne peuvent s’attendre à le faire à l’abri de toute critique”. Un acte de nature pédophile, c’est critiquable ; surtout actuellement puisqu’il sert encore de modèle.
La Cour de Strasbourg ayant siégé, en l’espèce, avec un juge provenant d’un État islamique (Azerbaïdjan), y a-t-il vraiment de quoi s’en étonner ?
L’aberration suprême n’est-elle pas plutôt que le Conseil de l’Europe intègre l’Azerbaïdjan et d’autres États hors du continent ? Et face à une telle situation d’entrisme, ne paraît-il pas préférable d’examiner l’option d’un retrait du Conseil de l’Europe (à ne pas confondre avec l’Union européenne) afin de protéger les Peuples d’Europe plutôt que laisser sévir à leur détriment une juridiction de facto islamisante ? Cette fois-ci, elle en a fait trop : maladroitement, en reprenant l’argumentaire classique des mosquées et de leurs proches quant au respect aveugle, fanatique, de Mahomet, elle a pointé le risque d’insurrection musulmane.
Indépendamment de cette affaire-ci, l’examen des arrêts prononcés est significatif d’un problème capital : l’on ne compte plus les musulmans, y compris des condamnés de droit commun ou des terroristes, ayant obtenu gain de cause contre des États européens.
Pour les entreprises privées, qu’est-ce que cela signifie ?
Depuis cet arrêt, il est évident, plus que jamais, que l’entreprise n’a aucune véritable protection à attendre des structures institutionnelles : ni les instances judiciaires, puisque cette régression de la juridiction suprême conforte les musulmans en leur communautarisme vindicatif, ni les gouvernements ou leurs administrations, qui lui imposent des missions d’agents propagateurs du multiculturalisme ; notamment en devant assumer les doléances musulmanes de pratique religieuse en son sein. Or, tout cela a un coût immédiat. Et, surtout, c’est sans fin : chaque revendication concédée augure, tôt ou tard, d’une surenchère islamisante. De surcroît, l’on n’aperçoit pas pourquoi ce coût devrait être imputé à l’entreprise plutôt qu’être mis à charge des musulmans demandeurs d’aménagements pour leur culte. Par conséquent, il est grand temps, pour l’entreprise, d’oser se départir du politiquement correct et de prendre les mesures les plus fermes de sorte que cette gangrène idéologique soit traitée avec une réelle efficacité. Les faillites résultant de l’engrenage de l’islamisation, cela se constate de plus
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Philippe Chansay-Wilmotte pour Dreuz.info.
(1) : Au panel du colloque du 16 novembre 2018, dans l’ordre alphabétique : Philippe Chansay-Wilmotte, avocat au Barreau de Bruxelles, Alexandre Del Valle, géopolitologue et auteur ; Marc Gélineau-Larrivet, vice-président du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, Arian Lev, entrepreneuse, Patrice Orbert, RATP, délégué-général à l’éthique ; Sam Senev, expert ; Nicolai Sennels, psychologue ; Erwan Seznec, journaliste et auteur ; Leslie Shaw, professeur, président du Forum on Islamic Radicalism and Management.