Les Palestiniens ne cessent pas de délégitimer l’État hébreu mais sont choqués si un candidat à l’élection présidentielle américaine dit que les Arabes palestiniens sont un peuple inventé.

Les Palestiniens sont pourtant un peuple inventé. Même des Arabes l’ont dit. Azmi Bashara était un membre arabe de la Knesset israélienne qui s’est enfui d’Israël lorsqu’il fut accusé de trahison contre l’État. En 1994, il a déclaré :

« Je pense qu’il y a une Nation arabe. Je ne pense pas qu’il y ait une Nation palestinienne. Je pense que c’est une invention colonialiste. Quand y a-t-il eu des Palestiniens ? Jusqu’au XIXe siècle la Palestine était le sud de la grande Syrie ».

Dans mon livre Israël – Reclaiming the narrative, je cite le dirigeant arabe, Auni Bey Abdul Hadi, qui, en 1937, a déclaré à la Commission Peel des Nations Unies :

« Un pays nommé Palestine, ça n’existe pas. La Palestine est un terme que les sionistes ont inventé. La Palestine nous est étrangère. Notre terre a été, pendant des centaines d’années, une partie de la Syrie ».

Permettez-moi de présenter d’autres voix arabes que j’ai cité dans mon livre :

En 1946, Philip Hitti, professeur arabe de l’université de Princeton enseignant l’histoire du Moyen-Orient a déclaré à la commission d’enquête anglo-américaine :

« Il est de notoriété publique qu’il n’y a jamais eu de pays Palestine dans l’histoire ».

Dans son témoignage devant la même commission, le professeur arabe Juhan Hazam a dit :

« Avant 1917 et la Déclaration Balfour, il n’y avait jamais eu de question palestinienne et il n’y avait pas de Palestine en tant qu’unité politique ou géographique ».

Le fondateur de l’OLP lui-même, Ahmed Shukari, a déclaré à la tribune des Nations Unies en 1956 que

« une création telle que la Palestine n’existe pas du tout ».

En 2011, c’était au tour de Mahmoud Abbas de s’adresser à l’ONU dans un effort pour faire reconnaître comme État un pays dont on avait dit aux membres des Nations Unies 55 ans plus tôt qu’il n’existait pas !

Quand il s’agissait de délégitimer l’État d’Israël, les Arabes dénonçaient la Palestine comme n’ayant aucune réalité politique ou nationaliste. Mais après avoir perdu sept guerres arabes visant à anéantir l’État juif, alors il devenait utile d’inventer une identité palestinienne à partir de la fin des années 60.

Comme preuve de cela, Walid Shoebatt, un ancien terroriste de l’OLP, a reconnu le mensonge pour lequel il s’était battu quand il a dit :

« Pourquoi est-ce que le 4 juin 1967, je suis allé me coucher en tant que Jordanien et je me suis réveillé le lendemain en tant que Palestinien ? Nous nous sommes considérés comme jordaniens jusqu’à ce que les Juifs retournent à Jérusalem. Puis, tout d’un coup, nous étions Palestiniens ».

Même Yasser Arafat, le soi-disant père fondateur de la cause palestinienne, a admis en 1970 à la journaliste italienne, Oriana Fallaci que :

« la question des frontières ne nous intéresse pas. La Palestine n’est rien d’autre qu’une goutte d’eau dans un énorme océan. Notre nation est la nation arabe. L’OLP combat au nom du panarabisme. Ce que vous appelez la Jordanie n’est rien de plus que la Palestine ».

Son aveu était correct. La Jordanie a été établie par les Britanniques sur 77 % des terres promises au peuple juif par la Société des Nations en 1922, pour être leur patrie nationale.

Le « Peuple palestinien » est une invention anthropologique. Une tromperie décrite par Faissal Husseini après les Accords d’Oslo de 1993 comme un « cheval de Troie » pour la conquête de la terre israélienne.

L’objectif de cette campagne de propagande est d’effacer et faire oublier le nom et l’identité de l’ancien pays biblique Eretz Israël et de le transformer en terre du « Peuple palestinien », invention fabriquée par la propagande arabe et largement adoptée par la communauté internationale qui a injecté des milliards de dollars qui ont réussi à faire d’Israël la victime de la plus grande fraude de l’histoire politique moderne.

Barry Shaw source

Adapté par Danilette