Une parole pour tous ceux qui, en Israël ou ailleurs, ont perdu un être cher à la guerre ou lors d’un attentat terroriste.
L’Éternel ouvre les yeux des aveugles ; il redresse ceux qui sont abattus. (Psaumes 146:8)
Suis-je abattu ? Je présenterai cette parole de grâce au Seigneur. Sa coutume, sa promesse, sa joie c’est de redresser ceux qui sont courbés. Est-ce du sentiment de mon péché et de l’abattement de mon esprit qui en est la conséquence que je souffre ? Voici, l’oeuvre de Jésus est précisément destinée à me relever pour me rendre le repos. Seigneur, relève-moi, pour l’amour de ton nom !
Peut-être avons-nous fait quelque perte cruelle ; ou sommes-nous dans des circonstances exceptionnellement critiques ? Là encore le Consolateur nous soutiendra. Quelle grâce qu’une des personnes de la Trinité sainte devienne notre Consolateur ! Elle sera bien faite, soyons-en sûrs, l’oeuvre à laquelle cet être glorieux aura voué ses soins particuliers.
Plusieurs sont tellement abattus que Jésus seul peut les délivrer ; mais il le peut, et il le fera. Il peut nous rendre tous à la santé, à l’espérance, au bonheur. Il l’a fait souvent déjà dans nos épreuves passées et il reste le même Sauveur, prêt à répéter ses actes de bonté. Nous qui sommes tristes et courbés, nous serons relevés si haut que ceux qui nous méprisent en seront confondus.
Quel honneur que celui d’être relevé par le Seigneur ! Il vaut la peine d’avoir été courbé jusqu’à terre pour expérimenter sa puissance de relèvement.