La Cour pénale internationale est en effet un tribunal kangourou. Le fait que le mot «international» soit utilisé dans sa description n’en fait en aucun cas un véritable tribunal. La CPI est un exemple parfait d’indignation sélective, dans laquelle ce n’est que si un juif construit une maison à Jérusalem-Est, cela en fait un crime horrible. Cependant, lorsque la Syrie tue des centaines de milliers de ses propres civils, la CPI ne dit rien. La fausse affirmation selon laquelle elle ne peut parler que des pays où elle a juridiction est absolument ridicule. La CPI n’a aucune juridiction contre l’État d’Israël et n’a aucune valeur morale dans le monde.

Qui a une valeur morale dans le monde aujourd’hui pour porter des jugements sur d’autres pays? Il n’y a pas de réponse simple à cela. Mais la CPI ne le fait certainement pas.

Israël a toujours été un phare de liberté au Moyen-Orient pour toute la région. Nous n’avons jamais vu cela aussi clairement que ces dernières années. Un pays après l’autre s’empresse de faire la paix avec Israël afin de faire progresser la croissance économique de leur pays. Le mérite en revient aux normes entrepreneuriales de l’État d’Israël. Le Premier ministre Netanyahu est le principal dirigeant politique qui a eu un impact sur cette norme. Il a compris dans les années 1990 que pour qu’Israël parvienne à la paix avec ses voisins arabes, il devait d’abord les surpasser économiquement. Ensuite, ils tombaient comme des dominos et entraient dans la salle de négociation afin de partager la richesse. C’est ce qui s’est produit aux Émirats arabes unis et à Bahreïn.

En raison des prouesses économiques d’Israël, les pays arabes sont de plus en plus modernisés et ouverts d’esprit. Cela conduit à l’avancement des droits des femmes et à l’ouverture générale des frontières dans ces pays également. Ainsi, au lieu de critiquer Israël, Israël devrait être félicité pour son bilan en matière de droits de l’homme. La Syrie, l’Irak et l’Iran sont les pays qui ont des antécédents déplorables en matière de droits de l’homme.