oct 24, 20140
Image à la Une : des arabes brûlent des pneus à Shuafat à côté de Jérusalem. Photo Credit: Hadas Parush / Flash 90
La généralisation de la violence et les émeutes qui ont éclaté dans les quartiers arabes de Jérusalem la nuit qui a suivi l’assassinat d’un bébé américano-israélien ont forcé la police à combler le vide que le gouvernement avait créé par sa politique de non – intervention [« hands-off » policy] qui avait laissé les citoyens arabes et juifs à la merci de l’anarchie terroriste.
Les médias de l’Autorité palestinienne prétendent que la collision de mercredi avec le tram qui a tué un bébé de trois mois, Chaye Zisel Braun, était un accident et non une attaque terroriste.
Le conducteur de la voiture a succombé à ses blessures, mais même si la police était un jour en mesure de conclure que ce n’était pas un terroriste – en dépit de la preuve circonstancielle contraire – c’était manifestement un assassin.
La réaction de centaines d’arabes tenait davantage de la tentative de meurtres. Ils ont blessé un chauffeur dans une attaque de jets de pierres à Jérusalem-Est, et des dizaines d’autres arabes ont provoqué des émeutes à Silwan, en face de la rue du Mur occidental.
Des bambins du Jardin d’enfants de Maaleh Zeitim ont été la cible de lanceurs de pierres, jeudi matin.
Le maire de Jérusalem, Nir Barkat, s’est plaint après l’attaque terroriste de mercredi que « Jérusalem était devenue insupportable » et que des mesures devaient être prises pour réprimer la violence.
Si le bon maire avait dit cela il y a deux ou trois ans, ou même il y a deux ou trois semaines, peut-être que le bébé tué hier serait encore en vie.
La police a essayé d’ignorer des dizaines de « tentatives de meurtres » dans des dizaines sinon des centaines d’embuscades d’automobilistes juifs, à la merci de lanceurs de pierres arabes dans les rues étroites de Jérusalem-Est, partie de la ville que l’Autorité palestinienne exige dans le cadre de son soi-disant état .
La réponse arabe à la fusillade du terroriste, ou du tueur si vous préférez est typique d’une culture qui remonte à Ismaël 3500 ans plus tôt dont il est dit dans la Genèse 16:12: «Et il sera homme et âne sauvage; sa main sera contre tous, et la main de tous sera sur lui, et devant tous ses frères, il persistera. «
D’autres traductions sont moins flatteuses, comme cette version chrétienne moderne qu’Ismaël « sera un homme sauvage, indomptable comme un âne sauvage! Il soulèvera son poing contre tout le monde, et tout le monde sera contre lui. Oui, il vivra en hostilité ouverte contre tous ses parents « .
Bien sûr, cela sent le racisme, tout comme les Juifs sont «racistes» parce que nous sommes le « peuple élu » et comme quiconque qui maintient la cellule familiale est raciste, et Dieu est raciste pour ne pas avoir créé les hommes capables d’enfanter.
La culture arabe aspire à l’anarchie. Les voleurs ne sont pas tous bédouins, mais la plupart des voleurs dans le Néguev sont des bédouins. Les justiciables de la cour de Beer Sheva sont presque tous des bédouins.
Les arabes ne sont pas tous des conducteurs fous, mais presque chaque course folle en Judée et Samarie est le fait d’un arabe. Les amendes sont inutiles car les conducteurs tout simplement ne paient pas, à supposer qu’ils aient même un permis de conduire et que leurs voitures ne soient pas volées.
La violence est un mode de vie, et chaque fois que quiconque, en particulier les juifs, essayent de la réprimer, ils sont appelés «occupants» et sont confrontés à davantage de violence.
La police essaie toujours de minimiser les instigateurs médiatiques qui hurlent « Intifada, Intifada » quand l’actualité est calme et qu’ils veulent rappeler que leur ordre du jour est de tenir les israéliens à la gorge tant qu’ils sont en vie, pour les forcer à la création d’un état palestinien.
L’Autorité palestinienne a formé toute une génération à croire au terrorisme, et la possibilité d’une révolution généralisée ne peut être totalement écartée, mais est très peu probable.
L’idée d’un Etat de l’Autorité palestinienne, en particulier dans les quartiers d’avant 1967 dans l’est, le sud et le nord de Jérusalem, n’a jamais excité personne, sauf les cheikhs d’Arabie saoudite et les fainéants occidentaux de Paris, Bruxelles, Oslo et Washington. La seule chose qui les excite est l’occasion d’attaquer les Juifs.
La plupart des arabes de Jérusalem ne sont pas des fanatiques. La plupart d’entre eux peuvent haïr les juifs et la souveraineté israélienne, mais ils aiment beaucoup plus la liberté et les avantages sociaux dont ils bénéficient et dont leurs frères de Judée, Samarie et Gaza ne pourront profiter à moins que le régime corrompu du Fatah et les bêtes horribles du Hamas s’enfuient au Venezuela et laissent Israël revenir à son rôle de pré-Intifada comme gardien bienveillant contre l’anarchie.
L’attaque de mercredi sur le tram de Jérusalem, un symbole de la coexistence judéo-arabe et d’une Jérusalem unifiée, tout autant qu’un symbole de «l’occupation» pour les terroristes, a incité la police à mettre en vigueur des mesures de sécurité plus performantes.
Un dirigeable de patrouille a été lancé récemment sur le quartier de Shuafat sujet aux émeutes et l’horizon de la ville pourrait bien être modifié avec le lancement de dirigeables supplémentaires.
Tzvi Ben-Gedalyahu – 23 otobre 2014
Traduction Europe Israël
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