Les apologistes de l’islam essayent de dédouaner la violence de cette idéologie pseudo-religieuse en se référant systématiquement aux passages violents de l’Ancien Testament.
Ils omettent de préciser, soit par ignorance, soit par omission volontaire, que ces passages violents étaient limités dans le temps et se référaient à une période particulière de l’histoire d’Israël.
Selon les experts en religion, souvent grands défenseurs de l’islam, défilant sur les plateaux de télévision, après chaque attentat perpétré au nom d’Allah le Miséricordieux, les intégristes catholiques et les extrémistes religieux juifs, sont décrits comme tout autant dangereux, voire plus redoutables, que les islamistes radicaux. Et de mentionner les sempiternelles croisades, l’inquisition, les commandos anti-avortement…
Jean-Luc Mélenchon est le parfait exemple de ces dhimmis, qui refusent de qualifier les djihadistes de terroristes islamistes, mais s’empressent de nommer avec une rage à peine voilé, les extrémistes catholiques et juifs. Pour Mélenchon, les Kouachi ne sont que des criminels, des crétins sanguinaires, des extrémistes religieux, sans préciser leur confession, sujet tabou. Selon Tarik Kafala, le patron du service arabophone de la BBC, les Frères Kouachi ne sont pas des terroristes, mais tout simplement deux hommes, qui ont froidement abattu 12 personnes et cela suffit.
Lors d’attentats islamistes, il n’est pas rare d’entendre les médias désigner immédiatement, comme premiers responsables, soit l’extrême-droite, soit les intégristes catholiques … Bien grande est leur déception quand l’enquête révèle, quasi systématiquement, que les atrocités commises sont l’œuvre de leurs chouchous … islamiques, de bons et pieux musulmans.
Rapides comme l’éclair, nos islamophiles médiatiques dégainent leur mantra : les musulmans sont les premières victimes des terroristes islamistes.
Même au Nigéria, ils voudraient nous faire croire que les seules victimes de Boko Haram sont des musulmans.
Les dizaines de milliers de victimes chrétiennes, atrocement massacrées par les mercenaires de Boko Haram, semaine après semaine, dans le but de purifier le Nord du Nigéria de toute présence chrétienne, sont soigneusement occultées. Aucune allusion à l’extermination systématique des chrétiens du Nord, à la destruction des églises et des villages chrétiens par les sectateurs de Boko Haram.
A chaque débat sur le terrorisme islamique, immédiatement, les « experts » en religion le compare au « terrorisme chrétien ». Rarissimes sont les intervenants, suffisamment honnêtes, pour souligner une différence, pourtant significative, entre l’islam et le christianisme.
Le coran regorge de versets de sourates exhortant les fidèles d’Allah à tuer les mécréants. Ces versets ont été scrupuleusement appliqués depuis le VIIe siècle sans interruption.
A ceux qui rétorquent qu’ils sont sortis de leur contexte par de mauvais musulmans, qu’ils aillent l’expliquer aux guides religieux islamiques, qui appellent à la haine et au meurtre des juifs et des chrétiens, à la destruction des églises en terre d’islam, en citant à l’appui de leurs discours ces versets du coran éternel.
Quelques exemples de versets « tolérants, doux, pacifiques » parmi des dizaines d’autres :
- 4.84. Combats donc dans le sentier d’Allah, tu n’es responsable que de toi-même, et incite les croyants (au combat) Allah arrêtera certes la violence des mécréants. Allah est plus redoutable en force et plus sévère en punition.
- 5.33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au- delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
- Le Coran Sourate II La Génisse, verset 187/191 : TUEZ-LES partout où vous les atteindrez. EXPULSEZ-LES d’où ils vous ont expulsés. La persécution [des croyants] (fitna) est pire que le meurtre.
- [Toutefois], ne les combattez point près de la Mosquée Sacrée avant qu’ils vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, TUEZ-LES. telle est la ‘récompense’des infidèles.
- Le Coran Sourate IV Les Femmes verset 102/101 : Les Infidèles sont pour vous un ennemi déclaré.
- Le Coran sourate VIII Le Butin, verset 40/39 Appel aux armes : Et combattez-les jusqu’à ce que le culte entier soit rendu à Allah
Dans les Evangiles, il n’y a pas un seul verset incitant à la haine de l’autre, à tuer quiconque refuse de se convertir, à haïr son ennemi.
Si, au cours de l’histoire, l’Eglise a commis des injustices, des persécutions, des atrocités, aucun de ces actes ne pouvait être justifié par un texte des Evangiles. Et là réside toute la différence avec le coran.
L’islam distille un message de haine et des valeurs destructrices, le christianisme un message d’amour et de pardon, qui trouve sa source dans le judaïsme.
« Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. »
« Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n’agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraordinaire? Les païens aussi n’agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. »(Mat: 38-48)
Un intervenant, lors d’un débat, sur la violence islamiste, a essayé de démontrer que Jésus aussi était un violent en citant le terrifiant, le barbare, le « violentissime » épisode où Jésus prit le fouet pour chasser les marchands du Temple. Où comment se ridiculiser quand on a rien à se mettre sous la dent pour étayer ses accusations.
A chaque fois que le contenu violent et mortifère du coran est mis en cause, la riposte des apologistes de l’islam fuse : « et les versets violents de l’Ancien Testament ? » C’est l’argument préféré, usé jusqu’à la moelle, des islamophiles.
Ces défenseurs de l’idéologie islamo-nazie ignorent – ou feignent d’ignorer – qu’il existe des différences qualitatives et quantitatives entre l’Ancien Testament et le coran.
Le livre islamique n’est pas pacifique, ses versets violents ne sont pas limités à un contexte historique, ils sont immuables et universels.
La violence de l’islam est éternelle. En revanche, les passages violents de l’Ancien Testament se limitaient à une période précise de l’histoire d’Israël, dans un contexte particulier.
L’islam est une « religion » qui glorifie le meurtre. Refuser de parler du terrorisme islamique, de nommer le Mal par son nom, tout en lui opposant immédiatement l’intégrisme catholique ou juif, revient à censurer la liberté de parole, à empêcher tout débat sur la nature violente de l’islam.
Pourquoi toujours parler du terrorisme islamiste, sans jamais mentionner le terrorisme chrétien, s’indignent les défenseurs d’un l’islam de leur rêve … doux et tolérant.
Selon eux, il existerait un terrorisme chrétien des plus redoutables. Et de citer fièrement les commandos anti-avortement, ceux qui s’opposent à la diffusion d’un film blasphématoire sur le Christ, ou à l’exposition « d’œuvres » relevant plus de la scatologie que de l’art, comme le « Piss Christ » ou la pièce de théâtre Golgotha Picnic.
Pour leur information, il n’existe dans les Evangiles aucun verset incitant à la formation de commandos anti-avortement.
A ce jour, les «terroristes chrétiens » n’ont abattu personne au nom du Christ.
Les terroristes islamistes, eux, agissent au nom de l’islam, tuent et égorgent en hurlant qu’Allah est le plus grand : ils portent le masque de l’islam et non celui du christianisme, du bouddhisme, du judaïsme.
La liberté de parole est de plus en plus confondue avec le discours de haine, et des gens qui combattent l’islamisation de leur pays, comme Geert Wilders, Robert Spencer, Susanne Winter, Lars Hedegaard ou Elisabeth Sabaditsch-Wolff, sont marginalisés, ostracisés, menacés, interdits de séjour dans certains pays occidentaux aux gouvernements soumis à l’idéologie islamique, tout en accueillant sans problème des prêcheurs de haine islamistes, promouvant la charia et son « joyeux programme de réjouissances » cent pour cent halal.
Nous pouvons parler de toutes les religions, les critiquer, les caricaturer, sans risquer de mettre le feu à la planète, à l’exception d’une seule, celle qui est encensée pour sa grande tolérance.
Toute remise en cause de l’islam peut mettre nos vies en danger. C’est la seule religion dont il est prudent de réfléchir dix fois avant de parler.
En même temps, c’est la seule «religion» qui soit constamment associée à la paix, peu importe si certains de ses adeptes – de plus en plus nombreux d’ailleurs – menacent non seulement de nous tuer, mais passent à l’acte à une cadence inquiétante, ou sont impliqués dans la plupart des conflits du monde.
Existe-t-il un seul critique éminent de l’islam qui n’ait pas été menacé de mort, qui ne soit obligé de vivre caché, sous protection policière ?
Quand la violence et le désir de dominer sont aussi profondément ancrés dans les racines d’une «religion», et les promesses de récompense pour les djihadistes martyrs aussi alléchantes, les fondamentalistes trouvent facilement des gens à persécuter et à tuer.
Nous vivons dans l’ère de l’inversion, quasi orwellienne de la réalité, où les victimes des terroristes islamistes deviennent les seuls responsables à blâmer pour leur destins tragiques.
« Si vous voulez vivre tranquille, alors ne critiquez pas l’islam, ne caricaturez pas son prophète et acceptez nos exigences conformes aux prescriptions coraniques. » Tel est le message en puissance des islamistes pour la réussite du vivre-ensemble dans la paix en Occident … et encore.
Devant la menace terroriste propagée par les adeptes de la paix islamique, nos dirigeants courbent l’échine, et laissent nos libertés régresser, notre civilisation, doucement s’effacer.
Le coran contient au moins 109 versets appelant les musulmans à faire la guerre aux infidèles pour la gloire de l’islam et de son dieu. Il est difficile d’interpréter ces versets comme étant de douces incitations à une lutte spirituelle intérieure.
Quand les islamistes ne trouvent pas sur leur chemin des juifs, des chrétiens, des hindous, des bouddhistes, des athées et autres non musulmans à soumettre ou à tuer, ils s’attaquent aux croyants musulmans supposés hérétiques, d’où la guerre entre les chiites et les sunnites dont l’origine remonte à la succession de Mahomet, et les persécutions des bahaïs, des alaouites, des ahmadis, des soufis, considérés comme de mauvais musulmans, car appartenant à des sectes « égarées » de l’islam.
Et quand ces derniers sont exterminés, ils se massacrent entre eux, les bons et pieux musulmans.
A part ces petits détails, l’islam est une «religion» de paix et d’amour du prochain, et le christianisme un propagateur de discorde et de haine entre les peuples.
Dans l’un de ses articles, le pasteur américain George Zeller, auteur d’ouvrages bibliques, a décrit les différences entre Mahomet et Jésus.
- La méthode de Mahomet était la coercition (Le Coran, Al-Fath 16) ; l’appel du Christ était une conversion volontaire (Actes 3:19).
- Les disciples de Mahomet tuent pour imposer leur foi ; les disciples de Christ sont tués pour leur foi (Actes 12:2 ; 2 Timothée 4:7).
- Mahomet était un prophète guerrier ; le Christ est le Prince de la Paix (Esaïe 9:6-7).
- Mahomet encourage la persécution et le meurtre contre les « infidèles » (le Coran, Al-Baqarah 190) ; le Christ pardonne et change les cœurs des persécuteurs (1 Timothée 1:13-15).
- Mahomet est le destructeur de la vie ; le Christ est celui qui donne la vie (Jean 10:27-28).
- Mahomet et ses adeptes guerriers tuent des milliers d’êtres humains ; le Christ ne tue pas, mais il sauve des vies (Jean 12:48) ;
- Mahomet se sert de la force ; le Christ prêche la foi (Jean 6:29, 35).
- Mahomet était un guerrier ; le Christ est un libérateur (Colossiens 1:13 ; 1 Thessaloniciens 1:10).
- Mahomet a conquis ses ennemis par l’épée ; le Christ a conquis ses ennemis par l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu (Hébreux 4:12 ; Actes 2:37) ;
- Mahomet dit aux foules «Convertissez-vous ou mourez» ; le Christ dit : «En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle» (Jean 6:47 ; 11:25-26) ;
- Mahomet aime verser le sang des autres ; le Christ verse son propre sang pour le salut de l’humanité ; (Ephésiens 1:7).
- Mahomet prêche «la mort des infidèles» ; le Christ prie pour ses tortionnaires : «Père, pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font» (Luc 23:34).
- Mahomet déclare la guerre sainte (Jihad) contre les infidèles ; le Christ remporte une sainte victoire par son sacrifice sur la Croix à Golgotha (Colossiens 2:14-15) et ses disciples participent à cette victoire (Jean 16:33) ;
- Mahomet contraint les peuples par la conquête violente et barbare ; le Christ contraint les peuples par l’amour (2 Corinthiens 5:14).
- Les terroristes modernes tirent leur inspiration de Mahomet et commettent leurs atrocités au nom de leur dieu Allah ;
- Les chrétiens tirent leur inspiration de celui qui dit : « Heureux, ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. »(Matthieu 5:9).
De nombreux disciples de Mahomet se réjouissent des attaques terroristes en festoyant dans les rues.
Les disciples du Christ, eux, se sentent profondément attristés par les exactions perpétrées au cours des siècles par ceux qui n’étaient « chrétiens » que de nom.
Les musulmans pacifiques sont ceux qui ne suivent pas à la lettre les enseignements de leur fondateur ; ils sont appelés « hypocrites » ou « mauvais musulmans » par ceux qui suivent ses enseignements à la lettre. Par contre, une très grande majorité de chrétiens sont pacifiques, car ils suivent les enseignements du Christ.
- Mahomet appelle ses serviteurs à combattre ; Jésus dit : « Mon royaume n’est pas de ce monde ; si Mon royaume était de ce monde, alors mes serviteurs combattraient, afin que je ne sois pas livré… mais maintenant, Mon royaume n’est point d’ici bas » (Jean 18:36).
- Mahomet ordonne la mort des juifs [voyez A. Guillaume, La vie de Mahomet, Oxford University Press (1975), p. 369] ; le Christ a demandé de prêcher la Bonne Nouvelle «aux juifs premièrement » (Romains 1:16).
- Le coran dit : « Combattez pour la cause d’Allah » (Le coran, An-Nisa 84) ;
- La Bible dit : « … les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles » (Ephésiens 6:12 ; 2 Corinthiens 10:4).
- Le coran dit : « Combattez et détruisez les infidèles, là où ils se trouvent » (Le coran, Al-Baqarah 190) ;
- Le Christ dit : « Prêchez la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu à toute la création » (Marc 16:15).
- Le coran dit : « J’inspirerai la terreur dans le cœur des incroyants » (coran 8.12) ; Dieu inspire Sa terreur (une crainte révérencielle) dans le cœur des croyants (Esaïe 8:13).
- Le coran est un manuel terroriste, qui incite à la violence, aux conflits, à la terreur, aux massacres et aux génocides contre ceux, qui n’acceptent pas l’islam ; la Bible est un manuel qui propage un message de paix au monde entier (Romains 10:15).
- La mission de Mahomet était de conquérir le monde pour Allah, par la violence ; la mission de Christ est de conquérir les cœurs (2 Corinthiens 5:21 ; 1 Pierre 3:18).
- Mahomet dit considérer le Christ comme un bon prophète (tout en niant cependant son importance, son Evangile, ses enseignements et sa divinité). (coran, Al-Maidah 72-73, coran, Al-Maidah 75, coran, An-Nisa 171) ;
- Mahomet aime verser le sang des autres ; le Christ verse son propre sang pour le salut de l’humanité ; (Ephésiens 1:7).
- Les terroristes modernes tirent leur inspiration de Mahomet et commettent leurs atrocités au nom de leur dieu Allah ;
- Les chrétiens tirent leur inspiration de celui qui dit : « Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. »(Matthieu 5:9).
Et dire que certains chrétiens renient le Christ pour Mahomet.
La base du christianisme est l’amour : l’amour de Dieu pour les êtres humains, l’amour des hommes pour Dieu, et l’amour du prochain.
La base de l’islam est la soumission : soumission à Allah, crainte de sa colère et obéissance stricte à ses lois.
L’islam promeut, de par ses textes fondateurs, des valeurs diamétralement opposées à celles du Christianisme. Hélas, la vision angélique et superficielle de l’islam par l’internationale socialo-gaucho-écolo et sa détestation exacerbée du christianisme favorisent l’expansion de l’idéologie islamo-nazie en Occident.
Eradiquer le christianisme, dont le message est empreint d’amour, de pardon et de paix, et remplir le vide par l’islam, dont le message est teinté de haine, de vengeance et de sang, tel est le but poursuivi par les castes politiques au pouvoir, ces larbins utiles de l’islam.
Ces mêmes hypocrites qui commémorent la Shoah, mais laissent se développer un mal insidieux sans jamais avoir le courage de le nommer – l’antisémitisme musulman – collaborent implicitement au départ des citoyens européens de confession juive, menacés d’un nouvel holocauste par la peste verte, qui, telle une araignée, tisse sa toile et asphyxie peu à peu l’Occident et ses racines judéo-chrétiennes.
Après la répression des manifestants pacifiques – majoritairement chrétiens – contre le « Mariage pour tous » par Manuel Valls, cette récente déclaration haineuse du premier ministre prouve une fois encore son aversion et celle de la classe politique au pouvoir envers le christianisme.
C’est indigne et irresponsable, de la part d’un ministre, de mépriser de la sorte le peuple français de confession chrétienne.
« Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens » (Libération 22.01.2015).
Oui, le départ de cent mille juifs de France serait une catastrophe, mais quel besoin avait-il d’ajouter la suite, stupide et offensante, pour les Français chrétiens ?
Si les juifs de France, de Suède, de Norvège, de Hollande, de Belgique, d’Italie et d’ailleurs en Occident quittent l’Europe, c’est suite à l’apparition d’un antisémitisme musulman violent qui va jusqu’au meurtre d’enfants, parce qu’ils sont juifs.
Cela lui brûlerait-il la langue de le reconnaître ?
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