« L’amour est le seul ciment de l’univers » Jean d’Ormesson.
« Si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien,… » Paul de Tarse
d’Ormesson est un écrivain qui m’intéresse (dans la morosité, la sinistrose littéraire ambiante, il fait tache et c’est heureux), car en contraste vif mais toujours empreint de tact, d’humilité avec les arguments d’un « antidieusisme » cynique des « bobos » gauchisants/fascisants de certaines intelligentsias, cet homme au beau visage de vieillard aimable se questionne et se positionne de plus en plus avec un coeur d’enfant sur « LA QUESTION ».
Dans son livre précédent, Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit, d’Ormesson nous livrait déjà un fabuleux chapitre sur LE TEMPS, une réflexion qui amenait D.ieu au centre et selon moi lorsque d’Ormesson questionne le TEMPS, passé, présent et avenir il évoque sans le réaliser le PERE, LE FILS, L’ESPRIT. Je vous l’ai dit dans un poème sur ce site : « Le temps, c’est du divin qui nous regarde ». d’Ormesson est un de ces intellectuels qui osent chercher D.ieu (si rare), D.ieu le trouvera donc.
Je lirai le prochain d’Ormesson qui sortira en juin : Comme un chant d’espérance.
Haïm Goël