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L’AUTHENTIQUE DELIVRANCE. Un témoignage éloquent ! Par Haim Goel

L’AUTHENTIQUE DELIVRANCE. Un témoignage éloquent !

UN CHER FRERE NOUS DEMANDE DE COMMUNIQUER CE TEMOIGNAGE.

Par respect et délicatesse nous ne publions pas son nom. Si je suis intéressé à le publier c’est en considérant particulièrement la dernière partie de ce témoignage mise en gras et qui confirme le fait qu’une délivrance passe par les souffrances qui permettent à la personne , ensuite libérée, délivrée, de prendre au préalable conscience de la teneur et de la gravité de son péché. Ce qui ne semble pas toujours, comme ici d’ailleurs, être le cas et ce qui condamne maintes pseudo-délivrances à la « va-vite » vécues dans le superficiel d’une réunion  de spectacle bien plus qu’avec le fruit du sérieux et de la profondeur d’une aide authentiquement pastorale (j’évoque ici le vrai ministère pastoral biblique).

« Car j’étais désespéré », dira ce frère à un moment donné ! Et là il commençait en fait à tenir le début du fil de sa délivrance.

Le mal s’ancre souvent par une « certaine force de l’habitude », soit héritée des pères soit du fait de la profondeur répétée du péché. Ceci fut vérifié de façon quasi caricaturale, hélas,  au fil d’années de ministère. Les âmes peu entamées par le péché de  débauche, par exemple, produisent la honte la plus profonde et a contrario les âmes les plus avilies par les profondeurs du mal clament très souvent leur innocence. Et sans le secours du discernement des esprits, de la souveraine parole de connaissance, on ne pourrait aller de l’avant face à ces « innocences ».

Haïm Goël

LE TEMOIGNAGE

Depuis le début de ma vie chrétienne, quand on me reprenait pour un péché ou sur un point de mon caractère, j’avais un problème, car je voyais que c’était juste et vrai et donc je demandais pardon et m’en repentais, mais rien ne changeait en moi.

Durant de nombreuses années je causai bien des souffrances à autrui du fait d’un caractère souvent étrange et inattendu, bien des abus à tout mon entourage et à l’Eglise. Cela dura des années ; la patience et l’amour de mon entourage et des anciens dans mon assemblée furent mis sérieusement à l’épreuve. Mon coeur était étrangement lié.

 Quand on me reprenait de nouveau pour le même problème, je m’en repentais aussitôt, je faisais des efforts pendant tout un temps pour changer, mais tôt ou tard je retombais dans les même péchés.

C’est alors que Haïm Goël a remarqué avec pertinence que quand je me repentais je n’avais pas honte au fond de moi du mal que je faisais et que ma repentance était purement intellectuelle.

J’ai alors essayé d’avoir honte, j’ai aussi prié pour que D.ieu me donne la honte du mal que je faisais, j’ai bien regardé mon péché en face justement pour en avoir honte, refait des efforts mais au bout d’un certain temps je recommençais.

Après avoir répété une xième fois les mêmes comportements scandaleux, et au terme d’une longue série d’interpellations, on m’a demandé de me mettre à part de l’Eglise et devant D.ieu,  le temps que je mette réellement ma vie en ordre.

J’ai de nouveau fait des efforts mais pareillement, j’ai rechuté. A ce moment-là j’étais vraiment au fond du trou car je ne voyais vraiment pas comment m’en sortir, j’avais même peur de perdre mon salut car j’étais dans l’incapacité de me repentir réellement de cœur.

                                                                                              J’ai alors crié à Dieu car j’étais désespéré.

J’ai notamment proclamé le verset :

Psaumes 91.3 « Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, De la peste et de ses ravages. »

En effet je me sentais complètement lié, emprisonné et je ne pouvais rien faire si ce n’est proclamer la Parole avec foi et espoir frustré. Au reste, ma foi avait aussi une étrange difficulté à décoller. J’étais profondément confiant dans le matériel visible et comme insensible à la foi lumineuse dans le domaine de l’esprit…

J’ai alors compris suite à un questionnement du frère Haïm  que ma cure d’âme avait été mal faite.

En réalité, celle-ci avait été faite par un homme qui avait un appel de pasteur et qui débutait il y a quelques années dans l’œuvre et elle avait été vécue sans aller en profondeur. L’homme était lui-même compromis dans le péché de fausseté, cela se révéla par la suite. Il quitta l’oeuvre de sa propre volonté…

J’ai donc appelé Haïm pour lui partager cela et il m’a invité pour reprendre ce travail de nettoyage du péché occulte et du péché sexuel à zéro (les deux piliers de la sanctification dont le frère Goel parle dans son livre « Vous avez dit délivrance? ». Le Seigneur a montré qu’un de mes ancêtres s’était voué à Satan et que j’étais issu d’une lignée d’ancêtres DETERMINES A LEVER LE POING CONTRE D.IEU, choisissant de se détruire eux-mêmes et de détruire autrui par pur défi lancé à l’Eternel. Un terrible héritage qui était venu se loger dans mon ADN spirituel et psychique, psychologique.

J’avais donc hérité de solides malédictions et d’une espèce de « vocation spirituelle étrange et tenace» qui m’empêchaient de me repentir de tout mon cœur car elles me retenaient d’avoir honte.

Je me suis alors repenti de ce que ces ancêtres avaient fait, de leurs péchés et des héritages qu’ils m’avaient transmis, et Haïm m’a délié au nom de Yeshoua.

J’ai alors eu aussitôt honte de mes péchés au fond de mon cœur et j’ai pu commencer à m’en repentir sincèrement.

Je loue donc le Seigneur qui m’a délivré du filet de l’oiseleur. En effet le diable me tenait lié à cause de mes ancêtres, mais le Seigneur m’a délivré et je peux maintenant avancer sur un vrai chemin de repentance avec Dieu à mes côtés. Je remercie aussi le serviteur que D.ieu a utilisé car sans son discernement ni son autorité spirituelle, je serais toujours dans ces liens.

A Dieu soit la gloire aux siècles des siècles, amen !

Psaumes 34.6 (34:7) Quand un malheureux crie, l’Éternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses.

Je tiens aussi à remercier Dieu pour toutes les souffrances par lesquelles je suis passé car :

Job 36.15 Mais Dieu sauve le malheureux dans sa misère, et c’est par la souffrance qu’il l’avertit.

En fait si je n’avais pas souffert, si tout avait été rose, je n’aurais jamais crié à Dieu et Il n’aurait jamais pu me délivrer de ma misère. Car au début je ne voyais vraiment pas que j’avais un problème, même quand on me le disait. 

C’est donc grâce à ces souffrances que j’ai en réalité vu que je devais mettre ma vie en ordre et que j’ai accepté de le faire en suivant un parcours balisé par D.ieu et son secours vrai et opportun.

 

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