déc 05, 20141
Malgré la tentative des médias de masquer les faits, il est clair que l’ensemble de l’infrastructure de l’Autorité palestinienne soutient le massacre de la synagogue à Har Nof et l’assassinat des rabbins priant.
Il y a deux semaines, terroristes Ghassan Abu Jamal et Uday sont entrés dans une synagogue à Jérusalem-Ouest et ont attaqué des fidèles au fusil, aux couteaux et haches. Ils ont assassiné cinq personnes et blessé sept autres, dont trois grièvement. Les terroristes ont été tués dans un échange de tirs avec la police israélienne qui est arrivée sur la scène.
Maintenant le mufti, Sheikh Muhammad Hussein de l’Autorité palestinienne, exige qu’Israël transféré les corps des morts, des meurtriers qu’il appelle martyrs (shahid), un terme de la plus haute distinction dans l’Islam.
Il sert également d’approbation religieuse explicite de leur crime.
Le mufti de Jérusalem Cheikh Muhammad Hussein a appelé les « autorités d’occupation » selon ses termes, à restituer les corps des martyrs (shahid) à leurs parents et aux membres de leur village rapidement, afin qu’ils puissent tenir les rites funéraires requis par la charia musulmane.
Hussein a continué : « C’est le droit des martyrs pour nous de prier pour eux, et c’est un droit selon la charia. »
La charia est la raison pour laquelle les rabbins ont été assassinés.
La loi islamique sanctionne le massacre d’innocents tant qu’ils ne sont pas musulmans. Ou pas de « bons » musulmans.
Le plus célèbre mufti de Jérusalem était Mohammed Amin al-Husseini, un collaborateur nazi qui avait rencontré Hitler et encouragé l’Holocauste.
Le clan des colons de Husseini avait verrouillé la position dans le cadre de leur plan visant à reprendre et à islamiser Jérusalem.
Les Husseinis continuent d’être des personnalités de l’Autorité palestinienne.
Muhammad Hussein a continué à promouvoir l’assassinat en masse des Juifs comme son prédécesseur lors de la 2ème Guerre Mondiale, Muhammad Amin al-Husseini.
Récemment, le mufti de l’Autorité palestinienne, Mohammed Hussein, a parlé lors d’un événement célébrant le 47e anniversaire de la fondation du Fatah.
Le mufti, la plus haute autorité religieuse de l’Autorité palestinienne, est nommé par le président Mahmoud Abbas, qui est aussi le président du Fatah.
Le Mufti a exprimé cette dernière instance de discours de haine, qui appelle à tuer tous les Juifs, lors d’une cérémonie officielle le Fatah.
Il a cité un hadith, un dicton attribué au Prophète Muhammad, déclarant : « L’Heure ne viendra pas jusqu’à ce que vous combattiez les Juifs.
Les Juifs se cacheront derrière les pierres ou les arbres. Puis les pierres ou les arbres appelleront : Oh musulman, serviteur d’Allah, il y a un Juif derrière moi, viens le tuer. »
C’est pourquoi il n’existe aucune solution pour deux Etats et aucune possibilité de paix.
Le côté musulman est fondamentalement raciste et génocidaire, de l’Irak à Israël, du Pakistan à l’Afghanistan.
Source : par Daniel Greenfield, adapté par Mordeh’aï pour malaassot.com