C’est véritablement un titre ironique au vu d’une photo de groupe où figure Malik et publiée sur son site Internet.[posted to his website.]
Sur la photo, on le voit portant un foulard du Hamas (keffieh) frappé d’un slogan palestinien bien connu – «Jérusalem est à nous – nous arrivons !»
Sur le foulard figure aussi une carte de la «Palestine» avec l’inscription :’Du fleuve à la mer !’ En d’autres termes, Malik dit, IL N’Y A PAS d’ISRAËL.
Voici la photo complète :
Malik : Exprimant son soutien pour le Hamas lors d’une conférence ‘dédiée aux orphelins’.
Voici Suar al – Dahab, le patron de Malik Obama (Malik travaille pour lui officiellement en qualité de Secrétaire exécutif IDO), lors d’une visite à Gaza l’an dernier [Suar al-Dahab during a visit to Gaza] à l’occasion d’une manifestation du Hamas avec le Premier ministre Ismaïl Haniyeh accompagné du chef spirituel des Frères Musulmans Yusuf al – Qaradawi. Notez qu’il porte un keffieh similaire lors d’une conférence intitulée ‘Aider Jérusalem et Gaza’ : Photo
Le patron de Malik, Suar al – Dahab, portant un keffieh similaire à Gaza
Voici Malik en 2010, avec al – Dahab à Khartoum – Soudan – lors de la conférence islamique (IDO) pour l’Organisation de la Dawa [Islamic Da’wa Organization (IDO) conference] présidée par le chef terroriste du Soudan Omar al – Bashir, qui appartient à la Fraternité musulmane et est recherché pour crimes contre l’humanité :
Malik Obama et Suar al – Dahab.
Tout comme le politicien britannique George Galloway, Malik s’associe sans problème avec ceux qui soutiennent le message inscrit sur ces écharpes :
Galloway et Haniyeh, arborant des keffiehs dans un environnement de keffiehs.
Le politicien britannique George Galloway et le Premier ministre du Hamas, Ismail Haniyeh, portant des écharpes semblables.
Juste au cas où on vous dirait que Malik s’est fait piéger avec le port de ce symbole haineux [conned into wearing] et raciste comme le roi de Suède Carl Gustaf et son épouse la reine Sylvia l’ont été, vous devez faire la différence. Carl et Sylvia ont rapidement retiré les keffiehs qui avaient été placés sur eux par un opportuniste et ont pris leur distance vis-à-vis du message inscrit dessus.
Pour Malik c’est une autre histoire.
Le Roi de Suède Carl Gustaf et la reine Sylvia : trompés en portant des keffiehs haineux.
Malik lit et parle couramment l’arabe comme beaucoup de membres de sa famille, comme le cousin Musa Ismail Obama et l’oncle Sayyid, [Musa Ismail Obama and uncle Sayyid],qui ont fréquenté au moins une université wahhabite de premier plan en Arabie saoudite. Selon Nicholas Kristof du New-York Times, Barack a récité les premières lignes de l’appel à la prière en arabe avec un «accent parfait»[‘first-rate accent’]
Musa Obama et Sayyid Obama à l’université Umm al Qura .
Le keffieh (ou foulard) ne dit pas simplement, ‘Al Aqsa est à nous et ce n’est pas leur temple’. Il dit aussi ‘Inanna Qadimun’, qui se traduit par ‘Nous sommes en marche’. Cette fameuse commande de combat qui est une référence à la prophétie qu’un jour le monde musulman marchera sur Jérusalem et les arbres et les pierres crieront : ‘Voici un Juif caché derrière moi … viens O musulmans, viens le tuer’.
Voici Khansa, la Mère de la Résistance [Mother of the Resistance movement], portant le keffieh
Voici une photo de Khansa avec le keffieh et encadrée d’Haniyeh à gauche de la photo et du chef du Hamas Khaled Mashaal.[ sandwiched between]
Ceux qui voient cela comme une question de culpabilité par association vont à la rencontre de problèmes majeurs. Le président Barack Obama et Malik sont beaucoup plus proches que ce qui est admis publiquement. Dans une interview publiée dans GQ Magazine [GQ Magazine] de Juillet dernier, Malik s’est offensé de ce qu’on l’ait caractérisé simplement comme étant le ‘demi-frère’ du président :
«Toute personne nous caractérisant comme demi, quart, … ou par alliance, ou des choses comme ça », dit-il, «ont des mots au goût déplaisant. Je pense que c’est comme les poids et mesures. Cela ne nous a pas touchés jusqu’à ce qu’il devienne président, jusqu’à ce qu’il devienne une personnalité de premier plan. Et maintenant, nous sommes en quelque sorte comme des célébrités.»
«Mais c’est une marque d’ignorance », ajoute-il. «Ici en Afrique, nous ne pensons pas l’un à l’autre comme ‘moitié’ ou ceci ou cela. Dans une famille élargie, quelqu’un est votre frère, même si il est simplement de votre clan. Donc, je suis … Obama.»
Malik, comme garçon d’honneur au mariage de Barack.
Malik a rendu visite à Barack à la Maison Blanche plusieurs fois :
Barack et Malik dans le bureau ovale à la Maison Blanche.
Dans la même interview au GQ magazine, Malik insiste [Malik insists] que lui et son frère sont très proches (le mot ’demi’ est mis de côté par déférence pour Malik) :
Si on demande à Malik combien de fois lui et son frère se parlent aujourd’hui, il se vante que c’est une fois par an, comme si c’était la preuve de leur lien intime. «Bien sûr, nous sommes proches », dit Malik, juste un peu trop fort. «Je suis celui qui l’a amené ici à Kogelo en 1988 ! J’ai pensé qu’il était important pour lui de revenir à la maison et de voir d’où venait sa famille – vous savez, ses racines».
Il convient d’ajouter que Malik Obama a été complice de l’homme qui a attaqué l’ambassade américaine au Soudan
Voir l’article : http://www.israel-flash.com/
Obama a menti sur sa famille
Quant à la position de Barack sur la relation avec son frère, eh bien, il ne dit pas grand-chose, mais Barack n’a pas fait preuve d’honnêteté quant à la question de la proximité avec sa famille. L’année dernière, Barack a dû admettre [had to admit] qu’il était resté avec son oncle Onyango les premiers temps à Harvard. Préalablement à son admission, on avait dit au public américain que Barack n’avait jamais rencontré son oncle. La responsable des relations avec la presse à la Maison Blanche, Jay Carney avait fourni une explication incroyable pour combler cette incohérence [very unbelievable explanation].
Onyango Obama : Barack menti à propos de ses contacts avec lui.
Un autre frère d’Obama – Mark Ndesanjo Obama – a également accusé le président de mentir au sujet de leur relation, après que Barack ait dit qu’ils ne s’étaient rencontrés qu’une seule une fois, sans doute lors de la visite présidentielle en Chine, fin 2009. [President’s visit to China in late 2009.] .Lors d’une interview avec Laura Ingraham, pour la National Review [National Review] Ndesdanjo insiste qu’ils se sont rencontrés à plusieurs reprises, depuis les années 1980:
«Je l’ai entendu dire cela, après notre rencontre à Pékin et je peux vous dire que j’en suis resté sidéré – je ne sais pas pourquoi il a dit cela», a déclaré Ndesandjo à Laura Ingraham, ajoutant qu’il avait rencontré le président à plusieurs reprises au cours des années et qu’il ne comprenait toujours pas la motivation de son affirmation. «Je pense qu’il était dans son rôle de président et n’était pas mon frère », a déclaré Ndesandjo.
Ok, donc selon Barack, il n’a rencontré son frère Mark qu’une fois et cette réunion a eu lieu en Chine, d’accord?
Barack et son frère Mark Ndesanjo Obama se sont rencontrés en Chine en 2009.
Si Barack n’a rencontré Mark qu’une fois (en Chine), comment peut-il expliquer cette photo de Mark à la Maison Blanche dix mois plus tôt, au milieu de ses visites à l’étranger lors de l’inauguration de Barack
(Mark est encerclé et Malik est à l’extrême gauche) ?
Mark Ndesandjo Obama à la Maison Blanche pour l’investiture de Barack en 2009.
La question ici est que Barack n’est pas digne de confiance concernant ce qu’il veut bien divulguer quant aux relations qu’il entretient avec les membres de sa famille.
Une fois de plus, cela nous amène à sa relation avec Malik. Comment se fait-il que Malik a reçu les statuts 501 (c) (3) pour sa Fondation Barack Hussein Obama [Barack H. Obama Foundation] en moins de 30 jours et qu’ils avaient été antidatés illégalement 38 mois plus tôt par Lois Lerner ? Si Barack avait quelque chose à voir là-dedans, ce serait un mensonge aux yeux de l’histoire, s’il le niait. Pour boucler la boucle à ce sujet, la fondation de Malik est liée à l’État du Soudan qui soutient le terrorisme.
Comme nous l’avons déjà dit, Lois Lerner se verrait accorder l’immunité et serait contrainte de témoigner au sujet de la raison pour laquelle elle a accordé une exonération d’impôt à un homme qui est lié au terrorisme et se trouve juste être le frère du président des États-Unis.
Lerner : Elle a accordé à la Fondation de Malik Obama un statut illégal d’exonération fiscale.
Si le chauffeur d’Oussama ben Laden a été reconnu coupable de soutien matériel au terrorisme, Malik ne devrait-il pas être mis en accusation [brought up on charges] pour son soutien à Omar al – Bashir, un terroriste de renommée mondiale ? Après tout, le gouvernement égyptien veut faire comparaître Malik Obama pour interrogatoire à ce sujet.
La Fondation Barack H. Obama dirigée par Malik Obama ( BHOF ) recueille des fonds et apparemment fournit un soutien matériel à des terroristes. S’IL VOUS PLAÎT FAITES UN DON POUR SAUVER LES CHRETIENS, POUR SAUVER DES VIES CHRETIENNES des mains de terroristes solidaires avec le Hamas. [PLEASE DONATE TO RESCUE CHRISTIANS TO SAVE CHRISTIAN LIVES]
Lois Lerner : Sa signature est apposée au bas de la lettre d’approbation d’exonération d’impôt de Malik Obama.
Shoebat Foundation – 28 janvier 2014
Par Walid Shoebat et Ben Barrack
Walid Shoebat
Ancien membre des Frères musulmans
Aujourd’hui, journaliste et militant de la paix avec Israël
Traduction Europe-Israël
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