Je ne suis certainement pas prophète, mais voici ce qui est indéniable : de la Genèse à l’Apocalypse, la Bible indique clairement que lorsque les gens rejettent Dieu et embrassent l’idolâtrie, son jugement et sa colère suivront inévitablement. Nous voyons ce tableau peint de manière frappante dans Romains 1, où Dieu révèle que lorsque les gens « suppriment injustement la vérité » et adorent les choses créées plutôt que le Créateur, Il les livre à leurs esprits dépravés. C’est précisément l’état de notre culture aujourd’hui – célébrant toute forme de perversion sexuelle et la qualifiant de « progrès ». Un tweet récent du ministère américain de l’Éducation approuvant, promouvant et même célébrant l’immoralité sexuelle est un exemple flagrant de cette décadence morale. Cette absurdité selon laquelle les étudiants « se sentent en sécurité » favorise un faux sentiment de sécurité chez ceux qui continuent à se rebeller contre Dieu. Ils peuvent se sentir affirmés par la culture et soutenus par le monde, mais ils ne sont pas « à l’abri » de la colère imminente de Dieu. La véritable sécurité ne peut être trouvée dans l’approbation d’une société moralement en faillite. Ce n’est que par le sang de Jésus-Christ, par une repentance et une foi authentiques, que l’on peut être protégé du juste châtiment du péché, le seul véritable refuge contre le juste jugement de Dieu. Pour savoir comment Dieu traite ceux qui pratiquent l’idolâtrie, regardez par exemple Jérémie 7, où Dieu réprimande Israël pour avoir adoré de faux dieux, en disant : « Ils ont bâti les hauts lieux de Topheth, qui est dans la vallée du fils de Hinnom, brûler leurs fils et leurs filles au feu, ce que je n’ai pas ordonné et cela ne m’est pas venu à l’esprit. Cet avertissement contre l’idolâtrie et la corruption morale est tout aussi pertinent aujourd’hui. Notre société sacrifie ses enfants sur l’autel de la commodité et de l’immoralité sexuelle, sous couvert de « droits » et de « liberté ». Et le récit de Sodome et Gomorrhe, cela va sans dire, démontre le jugement ultime de Dieu sur un tel mal. La colère de Dieu ne se limite pas aux idolâtres flagrants. Il est également enragé contre ceux qui font des compromis avec le monde et acceptent et tolèrent son immoralité. Dans 1 Rois 18, Élie confronte le peuple d’Israël et lui demande : « Jusqu’à quand allez-vous boiter entre deux opinions différentes ? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le ; mais si c’est Baal, alors suivez-le. Cet appel à choisir qui nous servirons est un défi pour les chrétiens modernes vivant dans une culture qui exige la conformité à des normes impies. La Bible prévient à plusieurs reprises que Dieu jugera le monde incrédule. Dans Ésaïe 5 :20, nous lisons : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les ténèbres pour la lumière et la lumière pour les ténèbres, qui mettent l’amer pour le doux et le doux pour l’amer ! » Cette inversion de la moralité est précisément ce que nous constatons dans notre culture d’aujourd’hui, où l’immoralité sexuelle est célébrée et la vérité biblique est vilipendée. Pour être clair, je fais référence à la culture au sens large, et pas seulement à ceux qui prétendent être chrétiens. Notre nation, qui était autrefois apparemment enracinée dans les principes bibliques, est devenue un cloaque d’idolâtrie et de relativisme moral. La célébration du « Mois de la fierté » n’est qu’un symptôme d’un malaise spirituel plus profond. Dieu fera ce qu’Il fait toujours. Il apportera un jugement écrasant et une colère pour purger la méchanceté du pays. Dans Apocalypse 18, nous voyons la chute de Babylone, symbole des systèmes corrompus du monde, où le peuple de Dieu est appelé à « sortir d’elle, mon peuple, de peur que vous ne participiez à ses péchés, de peur que vous ne participiez à ses fléaux ». Cet appel à se séparer de la culture corrompue est aussi urgent aujourd’hui qu’il l’était alors. Souvenez-vous de l’histoire de Noé. Dans Genèse 6, nous apprenons que la méchanceté de l’homme était grande sur la terre et que toutes les intentions des pensées de son cœur n’étaient continuellement que mauvaises. La réponse de Dieu fut de nettoyer la terre par un déluge, épargnant seulement Noé et sa famille. C’est un avertissement pour nous aujourd’hui de la sévérité du jugement de Dieu contre la méchanceté omniprésente. Ce à quoi nous assistons aujourd’hui dans notre culture rappelle l’époque de Noé. Même dans le livre de Daniel, nous voyons le jugement de Dieu sur Babylone, l’exemple même de l’arrogance humaine et de l’idolâtrie. La fête de Belshazzar, avec son utilisation blasphématoire de vases sacrés, s’est terminée par un désastre lorsque la main de Dieu a écrit les paroles de jugement sur le mur : « Mene, Mene, Tekel, Parsin ». Si Dieu est prêt à porter un jugement aussi sévère sur une nation rebelle, il ne devrait pas être exagéré de s’attendre à ce qu’il porte des jugements similaires sur notre culture moderne. Qu’il s’agisse du ministère américain de l’Éducation, de la Maison Blanche, de la bibliothèque publique locale ou des électeurs individuels, la promotion sans fin de modes de vie sexuellement immoraux n’est qu’un signe supplémentaire que les chrétiens doivent se préparer aux épreuves à venir – en restant fermes dans leurs engagements. la foi, en endurant la persécution et en persévérant à travers les feux raffinés du juste jugement de Dieu. Ce n’est que le début. |