Le non Etat de Palestine est devenu le 191e « Etat » membre du traité de non prolifération nucléaire, à New York il y a quelques minutes.

Cette adhésion a pour objectif de forcer Israël a abandonner son armement atomique, le plus important de la région selon les experts, tandis que l’Iran construit son arsenal.

La Conférence de non prolifération se tient une fois tous les cinq ans, et tous les Etats membres y participent. Israël n’en fait pas partie.

Le traité a pour objectif d’éviter la prolifération des armes nucléaires et de sa technologie, de promouvoir la coopération internationale et l’utilisation du nucléaire à des fins pacifiques, et à terme, d’obtenir le désarmement nucléaire général.

Le traité reconnait 5 pays comme possédant l’arme nucléaire : Les Etats Unis, la Russie, la Grande Bretagne, la France et la Chine (qui sont également les 5 membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU).

Quatre autre pays sont connus pour posséder l’arme nucléaire : l’Inde, le Pakistan, la Corée du Nord, qui ont déclaré posséder l’armement et ont procédé à des essais nucléaires.

Israël a toujours refusé de confirmer ou infirmer sa possession de missiles à ogives nucléaires.

L’adhésion de la « Palestine » a également pour objectif de forcer la reconnaissance d’un Etat dont les protagonistes, le Hamas et le Fatah, sont en conflit ouvert, et dont le mandat du président Abbas a expiré depuis 5 ans, sans qu’aucune élection ne soit au calendrier, ni curieusement qu’aucun arabe palestinien n’en réclame. Et après çà, on parle du droit du peuple palestinien à disposer de lui-même, alors qu’il ne possède pas les droits élémentaires de voter. Quelle blague…