Dans un geste récent et déplorable, l’Église catholique romaine, sous la direction du pape François, a une fois de plus affiché son animosité de longue date envers la parole de Dieu en approuvant les bénédictions pour les personnes de même sexe. couples. Suivant récemment les traces de l’Église d’Angleterre, cette décision est un rappel brutal de la tragique réalité selon laquelle l’Église catholique romaine a abandonné l’autorité des Écritures il y a des siècles, optant à la place pour les décrets faillibles des papes et les caprices corruptibles des vains hommes. -des idéologies fabriquées. Ce dernier décret est encore une autre manifestation d’une Église qui a longtemps abandonné la Parole infaillible de Dieu pour des doctrines de démons, s’érigeant en dieu, s’opposant avec défi aux enseignements clairs de l’Écriture.
La déclaration du Vatican, affirmant que les prêtres peuvent bénir les couples de même sexe, résume ce défi effronté envers Dieu. En déclarant que les personnes qui recherchent l’amour et la miséricorde de Dieu ne devraient pas se soumettre à « une analyse morale exhaustive », l’Église catholique romaine contrevient non seulement à l’enseignement biblique sur le mariage et la sexualité, mais méprise aussi de manière flagrante la norme divine de sainteté. Cette décision n’est pas une simple déviation de sa tradition déjà aberrante : c’est une rébellion flagrante contre le Créateur, qui a établi le mariage comme une alliance entre un homme et une femme.
Cette décision flagrante est le fruit d’une Église qui a troqué la vérité infaillible de la Parole de Dieu contre les caprices de l’acceptation sociale et du progressisme. Ce faisant, l’Église catholique romaine a montré qu’elle n’est pas une gardienne de la vérité divine mais une pourvoyeuse de doctrine sur les démons. L’approbation des bénédictions pour les couples de même sexe n’est pas un acte de sollicitude pastorale mais une capitulation face à la pression culturelle, une démonstration claire de la préférence de l’Église pour l’approbation humaine plutôt que divine.
Les implications théologiques de cette décision sont catastrophiques et démontrent un évangile qui n’a aucun pouvoir pour sauver et transformer la vie de ceux qui y croient. En sanctionnant ce que Dieu a expressément interdit, l’Église catholique romaine a non seulement brouillé les eaux de la doctrine chrétienne, mais a également induit en erreur d’innombrables personnes. Cet acte n’est pas isolé mais fait partie d’un modèle d’apostasie, où les idées et les préférences de l’homme sont exaltées au-dessus des commandements clairs de Dieu. L’Église catholique romaine s’est révélée être une fausse Église, la mère de nombreuses prostituées, enseignant comme doctrines les commandements des hommes.
De plus, cette décision révèle le danger inhérent à une structure ecclésiale qui élève les dirigeants humains au niveau de l’infaillibilité. Lorsqu’une Église remplace l’autorité des Écritures par les décrets d’un pape, elle ouvre la porte à toutes sortes d’enseignements et de pratiques hérétiques. L’Église catholique romaine est, pour emprunter une expression d’Andy Stanley, détachée de l’ancre de la Parole de Dieu, ballottée d’avant en arrière par les vagues des tendances culturelles et du raisonnement humain.
L’approbation par l’Église catholique romaine des bénédictions pour les couples de même sexe n’est pas seulement une erreur théologique. Il s’agit d’un acte volontaire et audacieux de rébellion contre Dieu qui démontre ce qui se produit lorsqu’une Église abandonne l’autorité de l’Écriture et suit le chemin séduisant de la raison humaine. Si cette institution échoue sur le mariage et la sexualité, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle échoue sur toutes les autres doctrines morales, y compris l’avortement, sur lequel elle s’est historiquement tenue fermement. Après tout, pourquoi pas ? Si le pape peut changer d’avis sur une chose, qu’est-ce qui empêchera un autre pape de changer d’avis sur autre chose ? L’Église catholique romaine, dans sa forme actuelle, s’oppose directement à la vérité de l’Évangile et ses enseignements doivent être rejetés sans équivoque.