Par Stefano Gennarini
NEW YORK, 27 décembre (C-Fam). Il faudra peut-être des années pour découvrir tous les dommages infligés à la vie et à la famille par l’administration Biden et l’Union européenne au cours de l’année écoulée. Plusieurs mauvais accords ont été adoptés par les Nations unies. Voici les cinq pires.
1. Un nouveau traité de l’ONU sur la cybercriminalité ouvre la porte à la pédophilie et légalise les sextos d’enfants.
L’Assemblée générale des Nations unies a adopté un nouveau traité international contre la cybercriminalité qui ouvre la porte aux représentations de la pédophilie et légalise certaines formes de pédopornographie longtemps considérées comme illégales. Ce nouveau traité met à mal les normes juridiques que le gouvernement américain a promues au niveau international pour lutter contre la pédophilie depuis plus de trente ans.
2. Le Sommet de l’avenir de l’ONU adopte des accords sur la gouvernance mondiale et la censure.
Les dirigeants mondiaux ont adopté un accord qui établit de nouveaux mécanismes bureaucratiques pour gouverner l’intelligence artificielle et les technologies de l’information, y compris par la censure. Cet accord ouvre également la voie à l’octroi au secrétaire général de l’ONU de pouvoirs d’urgence accrus en cas de crise économique, de guerre ou de catastrophe naturelle.
3. L’OMS adopte des règles de censure en cas de pandémie.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement adopté les règles de contrôle social mises en place par les gouvernements occidentaux lors de la pandémie de grippe aviaire, en particulier la censure des critiques. Ces nouvelles règles, proposées à l’origine par l’administration Biden pour renforcer la coopération et le partage d’informations lors de futures pandémies, reflètent étroitement les politiques de M. Biden lors de la pandémie de COVID-19. Elles confèrent à l’agence internationale de la santé de nouveaux pouvoirs étendus, non seulement pour déclarer et gérer les futures pandémies, mais aussi pour interdire la parole et imposer des passeports de santé numériques.
4. La Hongrie attaque des pays africains courageux qui s’opposent à l’idéologie transgenre.
C’est déjà difficile pour les délégations africaines qui luttent contre l’avortement et l’idéologie du genre d’être attaquées par le gouvernement américain et les puissants pays européens. C’est encore plus difficile lorsqu’il s’agit de pays prétendument pro-famille comme la Hongrie. C’est malheureusement ce qui s’est passé lors de l’Assemblée générale de cet automne. Le gouvernement hongrois, s’exprimant au nom de l’ensemble de l’Union européenne, a réprimandé l’Argentine et les pays africains pour s’être opposés à l’avortement, à l’idéologie du genre et aux initiatives de censure mondiale dans une résolution de l’ONU. La Hongrie a qualifié ces pays de « petit groupe » et a laissé entendre que leurs préoccupations étaient insensées ou de mauvaise foi. Avec de tels amis, qui a besoin d’ennemis ?
5. Le département d’État de M. Biden lance officiellement une campagne mondiale contre les groupes pro-vie/famille.
L’administration Biden a admis son intention d’enquêter, d’intimider et de réduire au silence les opposants à l’avortement et à l’agenda homosexuel/trans dans le monde entier. Le département d’État a publié cette année un rapport intitulé « Equity Action », qui prévoit de lutter contre ce qu’il appelle les « mouvements régressifs de lutte contre les droits de l’homme ». Ce terme générique est un terme technique utilisé pour désigner les organisations pro-vie et pro-famille. Parmi les organisations qualifiées d’anti-droits figurent Family Watch International, ADF International, Heritage Foundation et C-Fam, éditeur du Friday Fax.
À NOTER ÉGALEMENT :
- L’Assemblée générale fait progresser le traité visant à faire de l’erreur de genre un crime contre l’humanité.
L’Assemblée générale a décidé en novembre d’aller de l’avant avec un traité qui pourrait faire de la discrimination sexuelle et du refus de l’avortement un crime contre l’humanité. Le traité devrait être finalisé en 2029.
- L’OMS accorde un statut spécial à un groupe radicalement opposé à l’avortement.
Après un vote serré et de nombreuses critiques de la part des pays en voie de développement, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a accordé un statut spécial au Center for Reproductive Rights (CRR), un groupe juridique basé aux États-Unis qui est farouchement favorable à l’avortement.
Source : https://c-fam.org/friday_fax/le-pire-aux-nations-unies-en-2024/
Toujours plus loin dans l’abject ! Ce que je viens de lire est à vomir. Les jugements du Seigneur ne vont pas tarder. Et ces faits se sont passés en 2024, que sera-ce en 2025 ? Bien pire, je pense. Toutes ces lois iniques vont être appliquées et seront la norme. Nous en serons de plus en plus prisonniers. Mais avec le Seigneur, nous sommes libres, et Il veut encore libérer de nouvelles personnes par le salut en Yeshoua. Merci Seigneur, fais venir beaucoup d’âmes à Toi ! Merci Haïm pour ces informations. Sois béni.