Le professeur Didier Raoult élevé à la dignité de Commandeur dans l’Ordre national du Lion par Macky Sall le président du Sénégal.
Nul n’est prophète en son pays, alors que l’OMS vient de dire que l’ivermectine, comme la chloroquine en sont temps sont inutiles et qu’il ne faut pas les utiliser dans les cas de Covid, au Sénégal on décore Raoult.
« Le Président Macky Sall a reçu ce matin le Professeur Didier Raoult. Le médecin français, spécialiste des maladies infectieuses est en mission au Sénégal dans le cadre de sa collaboration avec ses partenaires. Dans le contexte de lutte contre la Covid-19, leurs travaux portent sur l’évolution des variants et les mesures de protection. Le professeur Raoult a été élevé à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion par le Président Macky Sall à l’occasion de cette audience. Une décoration qu’il reçoit avec beaucoup de fierté », informe la Présidence.
Il est à noter les chiffres ci-dessous.
Sur ce premier graphique le nombre de cas qui ne dépasse pas les 300 par jour au plus haut du dernier pic.
Ci-dessous, le nombre de décès quotidien qui ne dépasse pas 12 morts par jour au plus fort du dernier pic épidémique.
Le Sénégal n’a pas beaucoup de moyens financiers et ne croule pas sous les dollars.
Alors ils soignent avec des remèdes peu coûteux et appliquent le protocole Raoult.
Cela ne sauve pas dans tous les cas, puisqu’il y a des morts, environ 3 % des gens infectés décèdent au Sénégal.
Je vous laisse faire le calcul avec les chiffres français (officiels) pour faire vous-même la comparaison.
Charles SANNAT
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Source Sene.news ici
Le président du Sénégal est plus sage que le nôtre apparemment. Les grands trusts pharmaceutiques n’ont que peu d’intérêts financiers à persuader les pays africains de la nécessité d’un vaccin. Faudra-t-il s’expatrier en Afrique pour fuir le passeport vaccinal obligatoire ? Merci Seigneur, Tu nous garderas partout où nous serons selon Psaumes 91:3 « Car c’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, De la peste et de ses ravages ».
Amen ! Et ceci me fais me souvenir d’un temps passé sur une île entre le Zaire et la CFA, il y a bien des années. Ce que j’ai vécu dans ce lieu (à majorité chrétienne), lieu sans route, sans électricité, sans rien, était un Eden habité par les humains les plus beaux jamais vus. A l’époque j’ai songé que cette île pouvait un jour devenir un lieu de refuge idéal…Au terme de mon séjour (un séminaire pour pasteurs), les habitants du village m’accompagnèrent longtemps en pirogue sur le fleuve, m’exprimant leur affection au travers de cris, d’appels à revenir, de chants qui couraient sur l’eau de façon saisissante. J’ai failli en pleurer…Les pagailleurs me remontèrent sur Bangui. Mon coeur était resté sur l’île et y bat jusqu’à ce jour.