Skip to main content

Le séminaire Fuller envisage de céder à l’anarchie sexuelle en autorisant les relations homosexuelles sur le campus. Une autre institution chrétienne semble sur le point d’abandonner le Christ en faveur de l’anarchie sexuelle. Le Fuller Theological Seminary – une école qui, fondée par Charles Fuller en 1947, croyait réellement à l’inerrance et à l’autorité des Écritures – envisage maintenant de réviser ses normes sexuelles qui autoriseraient les relations homosexuelles sur le campus, selon un projet obtenu par la Presse associée.

By 18 juin 2024APOSTASIE
Séminaire Fuller

Eh bien, que savez-vous : une autre institution chrétienne semble sur le point d’abandonner le Christ en faveur de l’anarchie sexuelle. Le Fuller Theological Seminary – une école qui, fondée par Charles Fuller en 1947, croyait réellement à l’inerrance et à l’autorité des Écritures – envisage maintenant de réviser ses normes sexuelles qui autoriseraient les relations homosexuelles sur le campus, selon un projet obtenu par le Presse associée.

Les changements proposés, datés du 3 avril, révèlent un changement tragique dans les priorités. Le document, selon l’AP, reconnaît « les chrétiens et les églises réfléchis qui ont des interprétations différentes » de la sexualité humaine, suggérant que les étudiants devraient vivre selon les valeurs de leurs communautés chrétiennes respectives. Cependant, le projet maintient pour l’instant les normes sexuelles traditionnelles pour les administrateurs, les administrateurs, les professeurs et le personnel, qui doivent se conformer à la définition de Fuller du mariage comme étant entre un homme et une femme.

Les normes sexuelles actuelles disponibles sur le site Web de Fuller stipulent que tout le monde, « étudiants, professeurs, administrateurs/gestionnaires, personnel et administrateurs », doit « s’abstenir de ce qu’il considère comme des pratiques sexuelles non bibliques ».

Cet effort pour s’adapter à l’anarchie sexuelle n’est pas surprenant dans le climat actuel, où même les dirigeants et les institutions soi-disant chrétiens sont prompts à capituler face aux pressions sociétales. AP rapporte que le président du séminaire, David Goatley, a nommé un groupe de travail chargé de revoir les normes sexuelles de l’école, à la suite du licenciement de l’administratrice principale Ruth Schmidt pour avoir refusé de signer les normes existantes du séminaire.

Le cas de Schmidt est emblématique du problème plus vaste qui se pose. S’identifiant comme homosexuelle, Schmidt a été renvoyée pour son incapacité à se conformer à la position biblique de Fuller sur le mariage. Pourtant, si ces nouvelles normes sont adoptées, les étudiants comme Schmidt n’auront plus à craindre la discipline ou l’expulsion en raison de leur vie sexuelle aberrante. Selon elle, « cela va changer leur vie ». Il va sans dire que de tels changements ne feraient qu’éroder davantage l’engagement du séminaire envers la vérité biblique.

Ce changement est bien sûr présenté comme une évolution vers « l’inclusivité » et la « diversité » par les gauchistes. Mais ne nous laissons pas tromper par ce langage fade. Ce à quoi nous assistons n’est qu’un autre exemple d’une institution chrétienne cédant aux exigences du monde. En donnant la priorité au « dialogue » et à la « diversité théologique », Fuller sape les fondements mêmes de son existence.

Le séminaire a défendu ses délibérations, selon l’AP, affirmant que les projets de révisions ont été créés uniquement à des fins de discussion et de réflexion. Aucune proposition n’a été soumise au vote et on ne sait toujours pas quand ni si le conseil d’administration examinera ces changements. Pourtant, le simple fait que de telles révisions soient envisagées témoigne de l’état d’impuissance de l’évangélisme moderne.

Les critiques, dont le professeur à la retraite John Hawthorne, selon le rapport, s’attendent à des réactions négatives importantes de la part des chrétiens conservateurs. Il met en garde contre la « tempête » qui s’ensuivrait si Fuller procédait à ces révisions. Et à juste titre : comment un séminaire qui autrefois s’en tenait fermement aux principes bibliques peut-il aujourd’hui justifier un écart aussi flagrant par rapport à la vérité ? En fin de compte, c’est un rejet de Sola Scriptura. Une fois cette fondation disparue, tout le reste est libre.

Le cas de Fuller n’est pas unique. Cela fait partie d’une tendance plus large selon laquelle les écoles, les églises et les dirigeants chrétiens abandonnent leurs convictions pour apaiser un monde qui célèbre le relativisme moral. Des chefs de culte aux pasteurs, la capitulation est généralisée et décourageante.

Jésus, reviens bientôt !

Join the discussion One Comment

  • Priss dit :

    Merci beaucoup Haïm pour cet article.
    C’est impensable qu’une école chrétienne depuis tant d’années veuille abandonner ses valeurs et ses convictions en tombant le relativisme du monde.
    Nous voyons à quel point le combat est rude pour garder nos enfants à l’abri d’une éducation saine et biblique.
    Prions pour que des personnes se lèvent afin qu’ils ne se découragent pas et que cette école garde ses valeurs et ses convictions

Leave a Reply

Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
Translate »