L’église épiscopale All Saints de Pasadena, en Californie, conformément à la tendance croissante des églises du monde entier à abandonner complètement le christianisme tout en se faisant appeler «églises», a placé des idéologies controversées au cœur de sa chaire. Comme l’illustre un récent service dirigé par des jeunes et supervisé par le pasteur Michael Kinman, l’église propose aux enfants de monter en chaire pour approuver ouvertement les droits des LGBTQ et l’avortement avant le prochain mois de la fierté.
L’utilisation de la plate-forme sacrée de l’église pour propager ces vues est moins un départ alarmant qu’un démasquage d’une apostasie en cours au sein de la dénomination épiscopale. L’église devrait être un sanctuaire pour nourrir les jeunes esprits dans la vérité des Écritures, mais ce changement démontre une déviation flagrante de ce mandat.
En effet, les paroles de Jésus portent une pertinence particulière à ce scénario : « Quiconque fait pécher l’un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux qu’il ait une grande meule attachée autour de son cou et qu’il soit noyé dans les profondeurs. de la mer » ( Matthieu 18:6 ). À la lumière des paroles de Jésus, les actions de l’église All Saints révèlent un faux pas important et les parents de ces enfants devraient avoir honte.
Loin d’être une anomalie, la situation à l’église All Saints illustre la trajectoire actuelle de la dénomination épiscopale, où les tendances culturelles laïques prennent de plus en plus le pas sur la sagesse biblique. Cette apostasie démontre la crise spirituelle à laquelle est confrontée non seulement la dénomination épiscopale, mais aussi l’Église professante universelle au sens large, alors qu’elle choisit de donner la priorité à la conformité culturelle plutôt qu’à la fidélité aux Écritures.