Les racines génocidaires de la cause palestinienne, Barry Shaw
Arafat a tué plus de Juifs après avoir reçu le prix Nobel de la paix qu’auparavant. Et Biden, qui veut le vote arabe, punit publiquement quatre Israéliens, mais pas Mahmoud Abbas qui récompense pourtant les meurtriers arabes. Un regard sur les faits concrets et l’histoire.
Cet article, paru dans Arutz Sheva est signé Barry Shaw et il a été adapté par Catherine Stora
Lorsqu’on examine la rhétorique des pro-palestiniens, lorsqu’on élimine la fraude et les mensonges de leur récit, une chose est claire. Ils détestent tous les Juifs. Mais les arabes palestiniens vont encore plus loin. Eux, ils massacrent les Juifs.
Ils peuvent déguiser cela en une cause prétendument « juste », mais, en fin de compte, tout ce qu’ils ont, c’est cette obsession du meurtre des Juifs. Ils l’ont toujours fait, avant même d’adopter la cause de la « Palestine » pour dissimuler leur antisémitisme sous couvert de nationalisme.
Les Arabes assassinaient des Juifs au Moyen-Orient avant qu’il y ait une cause arabe palestinienne. Ils l’ont fait par cupidité et par jalousie envers les Juifs qui ont construit et réussi quand eux ils échouaient. Au lieu d’apprendre d’eux, ils ont assassiné et pillé.
Des réminiscences de Gaza et de l’AP ? Peu importe combien de milliards vous leur donnez, ils les gaspillent pour assassiner des Juifs.
Un des premiers exemples est le meurtre de Juifs qui cultivaient collectivement leurs terres à Tel Hai, dans le nord de la Galilée, dans la Palestine pré-étatique, qui était alors le district aride d’un Empire ottoman en déclin. Des bandes arabes en maraude ont attaqué à plusieurs reprises la forteresse dans laquelle vivaient les agriculteurs juifs, jusqu’à revenir en plus grand nombre pour tuer et voler tout ce qu’ils pouvaient. Dans la bataille qui a suivi, huit Juifs, dont deux femmes et le héros juif manchot, Joseph Trumpeldor, qui avait combattu aux côtés des Britanniques pour libérer la Palestine des Turcs et des Allemands en 1917, ont été tués. Les Arabes se sont enfuis avec tout ce qu’ils pouvaient. Cette bataille perdue est devenue un jalon symbolique dans le folklore juif. Rien à voir avec la « Palestine » ou la création d’un État. Juste une razzia, un vol violent et meurtrier.
Haj Amin al-Husseini était le mufti de Jérusalem, et atteint d’une haine brûlante envers les Juifs. En 1920, il a transformé ce qui était traditionnellement une fête traditionnelle musulmane joyeuse, Nebi Musa, en un pogrom arabe de masse contre les Juifs de Jérusalem, une ville à majorité juive depuis 1860. Haj Amin al-Husseini a galvanisé les foules musulmanes, leur ordonnant de faire ce que leurs compatriotes arabes avaient fait en Galilée et ailleurs dans la Palestine pré-étatique.
Bien que la vieille ville de Jérusalem fût contrôlée par l’armée britannique, celle-ci n’a rien fait pour empêcher les massacres, les viols et les pillages arabes.
L’année suivante, les arabes étaient incités à des émeutes à Jaffa. Selon les rapports de l’époque, des arabes armés de gourdins, de couteaux, d’épées et de quelques pistolets sont entrés par effraction dans des maisons juives et ont assassiné leurs habitants, tandis que des femmes les suivaient pour piller. Ils ont attaqué des passants juifs et détruit des maisons et des magasins juifs. Ils ont battu et tué des Juifs dans leurs maisons, y compris des enfants, et dans certains cas ont ouvert le crâne des victimes – mais les Juifs ont riposté.
En 1929, les émeutes arabes s’étaient étendues à Hévron, une ville où la présence juive était continue depuis l’époque d’Abraham. Soixante-neuf Juifs ont été tués [cf Albert Londres] sous le prétexte que les Juifs envisageaient de prendre le contrôle du Mont du Temple à Jérusalem. Ce mensonge est récurrent, mais il fonctionne toujours comme un déclencheur pour les dirigeants arabes qui détestent les Juifs.
Haj Amin al-Husseini a fui Jérusalem après que les Britanniques ont émis un mandat d’arrêt contre lui. Il s’est rendu en Irak et s’est infiltré parmi les dirigeants islamiques tombés sous le contrôle des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Utilisant leur influence, al-Husseini a commençé à attiser le sentiment musulman contre les Juifs de Bagdad qui vivaient dans la paix et la prospérité depuis des siècles jusqu’au 1er juin 1941, date à laquelle, lors d’une fête juive, les musulmans irakiens furent incités à se retourner violemment contre les Juifs. Armés d’épées et de gourdins, ils assassinèrent et violèrent les quartiers juifs. Ce pogrom s’appelle le Farhoud.
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