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L’hypnotique danse macabre des élites et dirigeants de l’UE

By 2 février 2016mai 13th, 2020Lève-toi !
L’hypnotique danse macabre des élites et dirigeants de l’UE
PUBLIÉ PAR ROSALY LE 2 FÉVRIER 2016

derviche
Derviches tourneurs

Le totalitarisme culturel de l’ère postmoderne a accompli l’impossible : changer la nature profonde de l’homme.

« Mais … où étaient donc les hommes allemands ? »

Suite à un article d’Alexander Maistrovoy, (auteur d’Agony of Hercules or a Farewell to Democracy (Notes of a Stranger)*) relatif aux évènements de Cologne, la nuit de la Saint -Sylvestre, l’éditeur d’un journal russe lui posa une question naturelle, mais oh combien déprimante.

Perplexe, il lui demanda : « Mais … où étaient donc les hommes allemands ? »

Excellente question ! Ce fut aussi ma première réaction.

En effet, pour ceux qui grandirent dans la Russie soviétique comme Alexander Maistrovoy, il aurait été inconcevable que des jeunes hommes ivres puissent publiquement se moquer et harceler des femmes lors de la nuit de la Saint- Sylvestre, dans le centre de Moscou ou de Saint- Pétersbourg. S’ils avaient osé, ils n’auraient pas survécu à la fin de la nuit : ils seraient devenus des « martyrs » en route vers leurs 72 vierges …

« Les codes éthiques, génétiquement ancrés en nous, nous auraient commandé d’intervenir au secours de ces femmes, notamment, lors de situations où le nombre d’hommes adultes normaux dépasse celui des violeurs. D’autant plus que les violeurs n’étaient pas des terroristes armés, des cyborgs ou des aliens, mais juste des « hooligans » musulmans. »

Comme cela s’avéra en Allemagne, en Suède, en Autriche et ailleurs, ces codes éthiques furent irrémédiablement enfreints. Un grand nombre d’hommes, dont les policiers, ayant entendu les cris et les pleurs des femmes, ayant vu les agressions sexuelles et tentatives de viols qui se déroulaient sous leurs yeux, ne firent rien pour secourir les victimes. Dans quelques cas très rares, les femmes furent défendues par des migrants d’Europe de l’Est et des pays du Tiers monde.

Mais il ne s’agit là, que de la première question, issue d’une longue liste.

Face à l’ampleur des attaques sexuelles, nous aurions pu nous attendre à ce que les femmes journalistes, les politiques ou les membres d’associations féministes, exprimassent leur colère avec fureur, car il existe un instinct, inhérent à chaque femme, qui la pousse à venir en aide à un enfant en danger ou à protéger une femme d’un abus, d’un viol ou d’un harcèlement.

Hélas, une fois encore, les codes génétiques ne fonctionnèrent pas.

Nous avons entendu Henriette Reker, la Maire de Cologne, déclarer qu’il existe toujours une possibilité de maintenir une certaine distance, « plus longue qu’une longueur de bras » pour se protéger contre les assauts d’inconnus.

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Claudia Roth du Parti des Verts, accusa une « foule organisée » appelant sur internet à la chasse des non Blancs !

Une douzaine de femmes journalistes occultèrent la vérité, car les violeurs étaient des « réfugiés ».

Voici le témoignage d’une journaliste allemande sur le silence imposé aux médias par le Pouvoir :

« Les journalistes de la chaîne allemande WDR ont été chargés de produire des rapports positifs sur la question des réfugiés ».

Depuis son entretien à la radio néerlandaise et ses allégations sur l’orientation pro-réfugiés de la chaïne WDR, Claudia Zimmermann a déclaré qu’elle craignait pour son emploi.

« Nous avons tous caché les faits»

Les programmes doivent soutenir la politique du gouvernement Merkel. Selon Claudia Zimmermann, ce n’est pas surprenant.

« Nous sommes un radiodiffuseur public, nous sommes payés avec l’argent des impôts et cela signifie que nous diffusons la voix du gouvernement et non celle de l’opposition. » (Source RP Online : Wir haben doch alle die Tatsachen verschwiegen)

Autre aveu sur l’occultation volontaire de l’origine des délinquants dans les médias, celui de Jean Quatremer, de Libération, spécialiste de l’Union Européenne dans les médias. Il est le porte-voix d’un fédéralisme européen basé sur la disparition des nations qui définit l’identité européenne comme « dangereuse ».

Vendredi 15 janvier, « 28 minutes » sur Arte revenait sur l’actualité et abordait la délicate question du traitement médiatique des agressions de masses à Cologne où les médias ont tu le lien, pourtant évident, entre ces agressions sexuelles et les clandestins qui étaient majoritairement impliqués.

« Un silence coupable ? », interroge Arte. Jean Quatremer, convaincu de son bon droit, avoue ingénu que la presse française, dont lui-même, « cache en permanence l’origine ethnique » des étrangers.

« Je me rappelle d’un article, un truc absolument extraordinaire sur une affaire de tournante en banlieue parisienne. Tous les noms avaient été changés, ce que l’on fait régulièrement, parce qu’on ne sait pas encore les identités. C’étaient tous des Alain, des Frédéric, des Marcel, des Maurice, sauf qu’en réalité c’était des Mohammed, des Ahmed, etc. », rapporte-t-il.

Il soulignait la tendance de la presse « bien-pensante» des bobos parisiens à masquer l’origine des délinquants lorsqu’ils sont étrangers.

« On cache, mais nous-mêmes [la presse française] en permanence, c’est un élément [l’origine ethnique] qu’on ne donne pas », confesse-t-il le plus tranquillement du monde.

Par peur de « discriminer », mais aussi pour pouvoir continuer à vanter leur modèle de société ouverte, nos journalistes préfèrent occulter ou trafiquer les faits et tout le monde, dans ce petit milieu, trouve cela très honorable.

Tout le monde, à commencer par Quatremer, l’homme qui en mars 2015 voulait établir un « cordon sanitaire » médiatique autour du FN, premier parti de France.

Et ils ne cessent de donner des leçons de journalisme au monde entier et fustigent les « manipulations » médiatiques d’internet, de la Russie ou ailleurs…

Sur le plateau d’Arte, l’écrivain et éditeur Charles Dantzig n’a d’ailleurs pas été ému par l’aveu que Quatremer et ses collègues mentent au lecteur. « On ne le donne pas pour éviter au populisme de se réveiller », a-t-il commenté, sûr de son bon droit. Comprendre : tout ce qui va à l’encontre de la vision journalistique du monde est à masquer de peur que l’exposé de la simple vérité ne « réveille » les électeurs.

Mais s’il y a risque qu’ils se réveillent, n’est-ce pas qu’on les avait préalablement endormis ? » (Source : OJIM Observatoire des journalistes et de l’information médiatique)

Et les féministes ? 

Nous n’avons pas entendu leurs protestations, ni en Suède, ni en Norvège, ni en Angleterre d’ailleurs, où des milliers de jeunes filles furent traitées comme de la « viande blanche » par des gangs musulmans pakistanais dans une indifférence de glace et un silence de mort …

Les autorités, la police, les médias officiels et les féministes, craignant d’être taxés de racistes et de xénophobes, préférèrent occulter l’horreur et sacrifier petites filles et jeunes filles britanniques de souche à l’appétit sexuel des ogres musulmans, ces nouveaux citoyens britanniques dont la contribution à la Grande Bretagne est culturellement si riche et si appréciée par gouvernement Cameron.

Par contre, nous entendîmes un marmonnement subtil, comme celui de l’experte Irmgard Kopetzky, qui déclara que la violence sexuelle existe chez les gens de toutes les origines ethniques. Elle oublia toutefois de mentionner que chez les musulmans, le viol des femmes est ancré dans leurs si belles et raffinées traditions, et que celui des non musulmanes est le devoir de tout pieux musulman.

« Les chiffres montrent que la majorité des gens, accusés d’attaques sexuelles en Allemagne, ne viennent pas de l’immigration » osa cette experte.

Ce seraient donc les Allemands de souche les principaux responsables de ces attaques sexuelles ? Jusqu’où ira la bassesse de ces traîtres à leur propres citoyens pour défendre ce mythe de l’immigré angélique, paré de toutes les vertus et de l’Européen diabolique, père de tous les vices ?

Obsédé par la recherche d’excuses, Andrea den Boer, de l’université de Kent, voit les racines du problème dans la modification du ratio des sexes parmi la population de jeunes adultes : 114 garçons pour 100 filles. Vraiment ?

En Chine, en Arménie en Azerbaïdjan, il y aussi plus de garçons que de filles. De pareilles attaques se sont-elles produites à Beijing, Erevan ou Baku ? Pourquoi, lors des révolutions en Roumanie, en Ukraine, en Géorgie et en Moldavie, n’y a-t-il pas eu a déplorer d’agressions sexuelles et des viols lors des manifestations, comme ce fut le cas au Caire, place Tahrir ?

Plus la boîte de Pandore s’ouvre, plus le nombre de questions s’accroit. Et quid des politiciens ? Lequel d’entre eux, de droite ou de gauche, eut l’honnêteté de décrire ce qui s’était réellement passé ? Pas un seul !

Le premier ministre suédois, S. Löfven, déclara à Davos :

« Le harcèlement sexuel n’est pas automatiquement lié à la migration et à l’immigration ». Mais sur quelle planète mensonge vit-il ?

Selon un rapport établi par le Conseil national suédois de prévention du crime (BRA) il y a 20 ans, les taux les plus élevés de condamnations pour viols et violences sexuelles concernaient des individus nés en Afrique du Nord et en Irak.

C’était il y a vingt ans. Depuis, rien n’a changé et son pays se distingue par le taux de viols le plus élévé d’Europe, commis à 90 % par des musulmans. La Suède se classe même, au niveau mondial, en deuxième position après l’Afrique du Sud. Mais cet utopiste persiste dans le déni de la réalité, une façon gentille pour désigner un menteur pervers.

Or, nous parlons ici d’une situation ordinaire, typique dans le monde musulman patriarcal – pour les Irakiens, Afghans ou Somaliens – où une femme non musulmane n’est rien d’autre qu’un objet sexuel, une proie naturelle facile, une pute.

En Egypte, des femmes coptes sont constamment harcelées, voire enlevées, violées, forcées à se convertir à l’idéologie islamo-nazie, quand elles ne sont pas massacrées car chrétiennes. Le simple fait de porter une croix autour du cou peut signer votre arrêt de mort, dans certains quartiers.

Au Pakistan, le sort des femmes chrétiennes n’est guère plus enviable.

Récemment, dans ce pays musulman fanatique, une jeune chrétienne a été tuée, ses deux amies blessées, pour avoir repoussé les avances de jeunes musulmans ivres appartenant à l’élite de Lahore. Ces derniers déclarèrent pour justifier leurs crimes :

« Les filles chrétiennes ne sont là que pour une chose : le plaisir de l’homme musulman ! »

jeune chretienne pk

La jeune Kiran fut tuée au Pakistan car chrétienne. Elle était là pour satisfaire les besoins sexuels de l’homme musulman. Mais en Europe, nous avons connu une variante lors de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne et ailleurs : les femmes allemandes étaient là juste pour satisfaire le désir sexuel des réfugiés musulmans, conformément aux versets coraniques, autorisant les musulmans à prendre les femmes mécréantes comme esclaves sexuelles. (4:3; 4:24; 23:1-6; 33:50)

Combien de temps avant que les musulmans, accueillis en Europe et aux USA, commencent à tuer les femmes et les jeunes filles qui oseront leur résister ?

La guerre civile au Liban éclata suite aux viols de masse des femmes chrétiennes par les réfugiés palestiniens. Qu’adviendra-t-il des femmes européennes, habituées à choisir leur tenue vestimentaire et qui ne bénéficient d’aucune protection ?

Si des « réfugiés » non musulmans osaient agir de même dans les pays musulmans – Algérie, Irak, Afghanistan et Somalie – avec des filles musulmanes, ils seraient brûlés vif.

Il existe des lois répressives strictes de vengeance clanique et personne n’oserait harceler une femme d’un autre clan ou tribu sans attirer sur lui un châtiment cruel.

Hélas, les femmes européennes ne sont pas protégées par leurs familles, ni même par l’Etat, ce dernier se rangeant du côté du violeur. C’est pour cela qu’elles sont condamnées à subir ces ultimes outrages.

Pourquoi les politiciens occidentaux sont-ils paralysés par la peur ? Pourquoi seuls les leaders de l’Europe de l’Est, comme Milos Zeman et Bohuslav Sobotka, Président et premier ministre de la république tchèque, Robert Fico, premier ministre slovaque et Viktor Orban, premier ministre hongrois, osent dire la vérité ?

Il ne s’agit pas d’idéologie de gauche ou de droite, il s’agit tout simplement d’une perception normale et saine du monde, basée sur des valeurs européennes authentiques, perception qui fait défaut à nos irresponsables politiques.

Pourquoi ces hommes furent-ils les seuls leaders à proposer une réponse, à la fois adéquate et courageuse, à la réalité de la situation ?

Les raisons sont simples.

Ces petits pays, coincés comme des meules de foin entre les griffes d’anciens empires puissants, ayant survécu au despotisme soviétique, connaissent la valeur de la liberté et de la dignité. Ils furent vaccinés contre les idéologies universalistes.

La république tchèque et la Slovaquie sont les seuls pays qui acceptent les vrais réfugiés : les Chrétiens et les Yézidis d’Irak confrontés à un sort terrible dans leur pays d’origine, et qui refusent des hommes jeunes, agressifs, envahissant l’Europe, attirés par une vie facile et à la recherche de « viande blanche » à consommer.

Que se passe-t-il quand des hommes, des femmes, des politiciens et les élites trahissent leurs filles, leurs femmes, leurs sœurs, leurs mères, leurs enfants, dans le seul but de plaire aux nouveaux arrivants aux instincts basiques et sauvages, prônant le culte du mâle tout puissant ?

La culture postmoderne a détérioré l’instinct de préservation

La réponse est triste : la culture postmoderne a réussi à faire ce qui ne fut pas possible à réaliser, même par la machine de propagande communiste. Elle a détérioré l’instinct de préservation, une réaction naturelle inscrite dans les êtres humains à un niveau génétique ; la capacité de ressentir de la compassion et à protéger une victime – une femme, une jeune fille, un enfant. Une idéologie abstraite a supprimé l’esprit et la raison.

« J’ai quitté l’URSS, explique Alexander Maistrovoy, car je haïssais le totalitarisme soviétique. Je réalise maintenant que le totalitarisme culturel du politiquement correct est de loin beaucoup plus toxique. »

Le régime soviétique avait dicté des règles très dures et établi la censure. Toutefois, les gens restaient des êtres humains normaux. Ils se moquaient des autorités, écrivaient des blagues, tournaient des films satiriques en dépit de la censure et apprirent à lire les journaux entre les lignes.

Le totalitarisme culturel a bien mieux réussi. Il a renforcé une autocensure implacable, transformé les gens en zombies stériles et détruit le sens de la responsabilité et la dignité. Il a changé la nature même de l’homme. Ce fut, en fait, une expérience unique menée sur ses propres citoyens.

Et de terminer par un petit récit métaphorique, qui explique le titre de cet article.

Il y a un petit animal carnivore en Sibérie : l’hermine.

Elle chasse les lapins et les lièvres, beaucoup plus lourds, rapides et forts.

Or elle ne rampe pas, ne se met pas en embuscade et n’attrape pas sa proie en la pourchassant. Elle exécute tout simplement une dance macabre, hypnotique, devant sa proie. Elle se tortille, fait des bonds acrobatiques et des sauts. L’hermine fixe sa proie et s’approche tout doucement d’elle, puis la saisit à la gorge.

Le lapin succombe au choc.

Pourquoi la proie permet-elle à l’hermine de la fixer sans résister ?

Les biologistes se sont penchés sur la question, mais sont incapables à ce jour de résoudre l’énigme de la danse macabre hypnotique de l’hermine.

La vidéo ci-dessous donne un bel aperçu de la danse létale de l’hermine.

Les élites politiques occidentales ont abusé leurs propres peuples par des sauts acrobatiques et des ruses et les ont condamnés à subir le sort funeste de ce malheureux lapin.

Indifférente aux conséquences, l’UE continue à importer des centaines de milliers de musulmans en dépit des avertissements récents du chef d’Europol sur le développement, à un niveau global, et particulièrement en Europe, de camps d’entraînement de jihadistes.

Ces derniers, infiltrés parmi les réfugiés, sont chargés de recruter de futurs soldats mahométans au sein même de ces vagues de « réfugiés », et de préparer un nombre croissant d’attaques similaires à celles perpétrées à Paris le 13 novembre 2015.

Pendant ce temps, la dance macabre hypnotique poursuit sa dynamique de croissance.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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