C’est l’homme providentiel, le « superdoué » sorti de nulle part, inconnu il y a deux ans et qui a réussi à fonder un parti « En Marche » et à devenir, probablement, le futur président de la République Française…
Voilà ce qu’on entend dans tous les médias (télévision, presse, magazine people, etc.)
Bien entendu tout cela est faux, c’est du pipeau !
Emmanuel Macron a été programmé et mis sur orbite par une caste parfaitement organisée et dans l’unique but de la servir loyalement, comme nous le constateront, hélas, à nos dépends !
Inutile de rappeler tous ceux qui le soutiennent depuis son entrée en politique auprès de François Hollande, ils font partie de son carnet d’adresses à l’époque de la banque Rothschild.
Je ne parle pas des ralliements politiques, qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre, il ne s’agit là que d’opportunistes, mais des parrainages financiers autrement plus sérieux…et plus dangereux :
- Patrick Drahi (le troisième milliardaire français, SFR-Numéricâble, L’Express, Libération, BFM-TV, BFM-Business et RMC)) et,
- Pierre Bergé (Milliardaire et copropriétaire de L’Observateur et Le Monde) mais aussi,
- Claude Bébéar (AXA et Institut Montaigne – le siège de départ d’En Marche était à l’adresse de l’Institut dirigé par Laurent Bigorgne),
- Bernard Arnault (LVMH, Le Parisien, Les Échos),
- Alexandre Bompard (Darty-FNAC),
- Marc Simoncini (Meetic),
- Vincent Bolloré (Vivendi),
- Henri de Castries (ex-PDG d’AXA),
- Pierre Danon (ex.PDG de Numéricable),
- Henry Hermand (Terra Nova-PS),
- Xavier Niel (Free, L’Observateur, Le Monde, La Vie Catholique, Télérama), sans oublier,
- Pierre Gattaz, patron du MEDEF et, à un degré inférieur,
- Mourad Boudjellal (BD Soleil et président du Toulon-Rugby-Club),
- Jacques Attali, Alain Minc, Mohamed Saou (proche des Frères musulmans de l’UOIF) Bariza Khiari (Institut des Cultures de l’Islam) et des dizaines d’autres.
Cela, c’est la face visible de l’iceberg, mais la face cachée, qu’elle est-elle ?
N’est-il pas question en coulisses de ce nom cité à voix basse : George Soros ? Je préfère ne pas y croire.
Qui est George Soros ?
Fondateur du « Soros Fund Management », il est surnommé « L’homme qui a fait sauter la banque d’Angleterre ».
Il fut à l’origine du mercredi noir, le 16 septembre 1992 : spéculant massivement sur la baisse de la «Livre sterling », il a obligé la monnaie britannique à sortir du système monétaire. Soros a gagné un milliard en une seule nuit.
Une information du Wall Street Journal nous apprenait que Soros avait invité discrètement à dîner dans un restaurant New-Yorkais renommé, début 2010, les « hedge funds » les plus puissants de la planète : Paulson et Co, Pimco, Soros Fund Management, SAC capital Advisors.
Dans quel but : parier sur la dette grecque et sur la baisse de l’Euro. L’objectif à atteindre étant de ramener l’Euro à une parité avec le dollar :
1 Euro = 1 dollar (Ce premier objectif, comme l’on peut le constater aujourd’hui, a été atteint !)
Or, à présent que la crise des « subprimes » est passée, et qu’ils ont amassé quelques milliards, il est nécessaire de découvrir une nouvelle proie, et cette nouvelle proie a été d’abord la Grèce, puis ils ont poursuivi avec l’Irlande, le Portugal, l’Espagne, la Belgique, l’Italie et, aujourd’hui, peut-être la France ?
Bien que figurant parmi les pays les plus solvables au monde, elle se trouvera attaquée sur le marché de la dette internationale.
En spéculant sur les taux d’intérêts, ils obligent le pays à se mettre en austérité pour tenter de s’en sortir.
Pour éviter de couler, il doit entrer en récession économique forcée, réduire ses charges, son budget, le chômage augmente et la consommation s’écroule.
Des dizaines de millions d’habitants doivent se serrer la ceinture, connaître la misère, pour subventionner les gains des spéculateurs.
Déjà lors de l’été 1993, George Soros avait tenté de provoquer un raid identique contre la Banque de France. Elle s’était trouvée devant l’obligation de vider ses réserves pour parer l’attaque et avait été soutenue par la Bundesbank, réussissant ainsi à le repousser.
Actuellement il n’est plus possible à des spéculateurs de vendre une monnaie européenne contre une autre monnaie puisqu’il n’en existe plus qu’une, l’Euro.
Cela c’est la théorie, mais la pratique peut se révéler bien plus dangereuse. Pourquoi ?
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Parce que la zone euro a mis en service une monnaie unique, l’Euro, sans que soit constitué un Etat fédéral possédant une autorité sur les finances de tous les pays de la zone.
Ils auraient dû mettre en place un ministre des finances unique et cela n’a pas été réalisé !
Dès lors, les pays de la zone euro ne peuvent pas mener une politique monétaire adaptée à leurs intérêts.
À cela est venue s’ajouter l’élargissement de la zone euro vers les pays de l’Est.
Autre faille, et de taille, à l’Euro : les dettes souveraines des différents pays qui n’ont jamais été maîtrisées.
Aujourd’hui, les pays membres de l’Union Européenne se trouvent devant des situations identiques à celles de l’Angleterre et de la France en 1993 : sans aucune possibilité d’agir sur leur monnaie car elle est liée par une valeur identique pour tous les pays.
Ensuite, parce qu’il n’existe aucune réglementation de cette finance sauvage. Elle échappe à tout contrôle et est totalement incomprise par les ministres concernés.
George Soros a la puissance d’un dieu. Il peut acculer un pays ou une banque nationale à la faillite. Il a parié des milliards sur l’effondrement de l’Euro.
Emmanuel Macron sera-t-il son complice ?
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