A l’occasion du début du ramadan, Obama a exprimé ses vœux à la communauté musulmane et affirmé : « Nous continuerons à accueillir les migrants et les réfugiés » avant de lancer une pique à Donald Trump.
Obama ne cite jamais le nom de Donald Trump, mais quand il adresse ses vœux aux musulmans, il n’hésite pas à lui décocher une flèche en affirmant « se tenir fermement du côté des musulmans américains, contre les voix qui essayent de nous diviser ou de limiter nos droits civils et nos libertés religieuses.»
Ces “voix” auxquelles il se réfère sont les différentes déclarations de Donald Trump, notamment sa proposition d’imposer un moratoire temporaire à l’entrée des réfugiés musulmans sur le sol américain, pour s’assurer que des terroristes ne se glissent pas parmi eux, question de sécurité.
« Nous, assure Obama, continuerons à accueillir des migrants et des réfugiés, y compris les musulmans.» [surtout sunnites]
Réitérant sa promesse de sauvegarder les droits civils de tous les Américains, indépendamment de leur religion et de leur origine ethnique, Obama rappelle que trop de musulmans ne pourront observer le Ramadan dans le confort de leurs maisons à cause de la guerre ou ne pourront se permettre de célébrer l’Aïd, cette fête qui conclut la fin du Ramadan, avec leurs enfants.
« Nous, conclut Obama, devons continuer à travailler ensemble pour alléger les souffrances de ces personnes. Cette période sacrée nous rappelle nos devoirs communs pour préserver la dignité de chaque être humain. »
Et il profita de l’occasion pour encenser à nouveau toute la beauté de l’islam et flatter ses frères musulmans.
« Ici aux USA nous sommes bénis avec les communautés musulmanes. » Je me demande si les familles des victimes des attaques terroristes de San Bernardino, de Fort Wood, du 11 septembre 2001 se sentent bénies par les communautés musulmanes.
Il rejoint le credo musulman selon lequel l’islam est une bénédiction pour l’humanité, une conception véridique pour une vie en paix, et son prophète un exemple à suivre.
Obama exprime-t-il la même compassion envers les familles chrétiennes en terre d’islam qui ne peuvent célébrer avec leurs enfants, leurs proches – le plus souvent enlevés, torturés, violés, massacrés par les soldats d’Allah – ni la Noël, ni la fête de Pâques dans leurs maisons, détruites par les hordes barbares islamiques ? Jamais. Pourquoi ?
Loin de lui le moindre sentiment de sympathie à l’égard de ces malheureux. Selon cet éminent défenseur de la « meilleure communauté qui soit», les USA n’auraient donc pas été bénis par les communautés juives et chrétiennes, présentes sur le sol américain depuis des siècles, bien avant les musulmans …
Fidèle à son empathie pour les musulmans, l’Administration Obama renforce une politique qui abandonne les Chrétiens du Moyen- Orient et expose les Américains au jihad.
L’année dernière, 97% des refugiés syriens acceptés aux USA étaient des musulmans sunnites, la même secte à laquelle appartient l’Etat islamique ; moins d’un demi pour cent de réfugiés chrétiens furent accueillis. Du 1er au 23 mai dernier, 499 refugiés syriens furent admis aux USA : parmi eux, zéro réfugié chrétien. 99 % étaient des Sunnites, le pour cent restant fut répertorié tout simplement comme « musulman. »
Or, les musulmans sunnites ne sont pas enlevés, violés, vendus comme esclaves, massacrés, décapités, crucifiés pour avoir refusé de renoncer à leur foi ; leurs mosquées ne sont pas brûlées, ils ne sont pas emprisonnés et tués pour apostasie, blasphème ou prosélytisme. Au contraire, même les Sunnites, qui ne sont pas « affiliés » à l’EI ont commis et continuent à commettre des atrocités à l’encontre des minorités chrétiennes, mois après mois, en terre d’islam et ce bien avant la création de l’EI. Les Chrétiens étaient et demeurent la cible privilégiée des musulmans, qu’il s’agisse de foules musulmanes hystériques, d’individus musulmans, de régimes musulmans théocratiques ou non, de terroristes musulmans en provenance de pays musulmans arabes, africains, asiatiques, etc. et ce pour la seule et même raison : les Chrétiens sont les infidèles. Les doctrines islamiques suscitent tellement de haine et de mépris à l’égard des Chrétiens, que ces derniers devraient, d’un point de vue humanitaire, être prioritaires pour l’obtention du statut de réfugiés, car ils sont les plus persécutés, avec les Yézidis.
Les Chrétiens sont confrontés à un véritable génocide, comme ce fut récemment admis par le Département d’Etat. L’EI force les Chrétiens à renoncer à leur foi en Christ. S’ils refusent, ils deviennent des esclaves, sont violés et tués. Les églises sont profanées ou détruites.
Il y a quelques mois, Barack Obama, qui fut élevé comme un musulman sunnite, décrivit la proposition d’accorder la préférence aux minorités chrétiennes comme « honteuse. »
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
« Ce n’est pas l’Amérique. Ce n’est pas ce que nous sommes. Nous ne soumettons pas notre compassion à des tests religieux. » Oh que oui, Président Hussein Obama !
Aujourd’hui, toutefois, les statistiques démontrent clairement que le programme d’accueil des réfugiés favorise ceux qui prônent ou soutiennent les actes de terrorisme et ignore ceux qui sont directement menacés de génocide.
« L’EI profite du torrent de migrants pour infiltrer des activistes dans le flux », a affirmé James Clapper, directeur national du Renseignement.
Aussi bien l’ONU que les USA savent que les réfugiés sunnites terrorisent les Chrétiens dans les centres d’accueil, mais ils abandonnent les véritables victimes, qui méritent l’asile en Occident, tout en accueillant leurs persécuteurs.
“Sans aucun doute, les Syriens de toutes confessions sont victimes de cette guerre sauvage et souffrent de manière inimaginable. Mais, seuls les Chrétiens et autres minorités religieuses sont les cibles délibérées de persécutions systématiques et de génocide. » – Sénateur Tom Cotton, le 17 mars 2016.
C’est la politique d’accueil des réfugiés mise en place par l’Administration Obama, infiltrée par les Frères musulmans, qui est honteuse, Monsieur le Président, et cette politique n’est pas l’Amérique, ce n’est pas ce que sont les Américains.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
