La scolarité est une spirale très rapide, qui peut se transformer très rapidement en un cercle vicieux, si les apprentissages de base (lecture, nombres et calcul) ne sont pas solidement acquis, en temps et en heure. Le système est ainsi construit, qui si on rate les premières marches, on finit très vite par dégringoler ! Le cerveau des enfants est programmé pour intégrer les apprentissages cognitifs, intellectuels, au même titre qu’il est programmé pour accéder à la marche, savoir faire du vélo… Il en est ainsi de l’espèce humaine.
Donc, quand un enfant manifeste des difficultés face aux apprentissages basiques (kita alef ou même avant) c’est qu’un problème émotionnel, corrélé à un stress, empêche le programme apprendre de fonctionner correctement.
Il bugge !
Alors cherchons ce bugg, débuggons, et l’enfant pourra découvrir les joies d’apprendre et être en phase avec ce que l’on attend de lui.
En fait, il s’agit d’une fausse croyance cachée, que le cerveau encore immature a mis en place lors d’une expérience compliquée, douloureuse aux yeux de l’enfant, même si nous, adultes, ne voyons pas en quoi c’est si douloureux (car notre cerveau est mûr…).
En ce qui concerne les difficultés précoces d’apprentissages, les fausses croyances incriminées sont les suivantes :
« Plus je grandis, moins Papa et Maman m’aiment, puisqu’ils me grondent souvent. Plus je grandis, moins je reçois de mots d’amour. Alors que les tout-petits, on les aime, ça se voit !’ »
Nous, adultes, nous savons que cette conclusion est fausse, mais l’enfant, lui, l’ignore.
Il va donc tout faire pour rester petit, car son besoin vital, c’est recevoir de l’amour.
Et comme on le lui a répété maintes fois :
« Tu es grand maintenant, tu vas apprendre à lire, à écrire, à compter ».
Alors il ne veut surtout pas réussir à lire et à compter.
« Il veut rester le bébé qu’on aime et qu’on cajole ».
Et c’est ainsi que son cerveau de survie compte lui sauver la vie : ne pas apprendre pour rester petit !
C’est fou, c’est simple, mais c’est comme ça !
Une fois cette croyance identifiée et corrigée (via un processus très court), apprendre ne présente plus un danger pour l’enfant et il peut aborder en toute sérénité les apprentissages, en deux ou trois séances.
Par contre, si l’on ne fait rien, c’est le cauchemar scolaire assuré !
Comment ça marche ? Grâce à une technique très fiable aux résultats prouvés, nous recherchons donc ce bug, ce problème émotionnel bloquant le cerveau. C’est aujourd’hui très simple de faire ce magnifique cadeau de la réussite à un enfant. Certes, cela coûte de l’argent, quelques séances (entre 2 et 4 si l’on veut aboutir à un résultat.) Mais combien de soucis, de stress, de tensions familiales, de cours particuliers, de mal-être de l’enfant, d’avenir professionnel obscurci évités !
Alors, parents, à vous de choisir :
Quelle scolarité, quelle enfance, quel avenir voulez-vous offrir à vos enfants ?
Laurence Bernheim