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Père UBU m’demande: « Alors faut plus respirer ? » Alors j’lui ai dit: « Au contraire »! Et j’lui ai envoyé la réponse de Grumberg: La solution toute trouvée ! Mais bon sang, mais c’est bien sûr ,comme disait l’autre… Le réchauffement climatique provoque une augmentation de la fréquence des épisodes d’ozone troposphérique, entraînant des problèmes respiratoires, ce n’est pas un secret. Autrement dit, pour protéger la planète, il faut que nous respirions beaucoup, ce qui polluera beaucoup plus, ce qui provoquera des difficultés respiratoires et nous forcera à moins respirer, ce qui fera baisser la pollution. C.Q.F.D

By 23 décembre 2023Lève-toi !
PUBLIÉ PAR JEAN-PATRICK GRUMBERG LE 21 DÉCEMBRE 2023

Une étude récente, financée par le gouvernement britannique et menée par des scientifiques du Center for Ecology and Hydrology, affirme que la respiration humaine contribue aux émissions de gaz à effet de serre.

Publiée dans PLOS One, cette étude évaluée par des pairs porte sur les émissions de méthane et d’oxyde nitreux libérées par la respiration humaine, qui, selon elle, sont nocives pour l’environnement et contribuent au réchauffement de la planète. Rentez votre souffle, ça se complique…

L’étude britannique invite à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions provenant de l’homme sont négligeables. Les chercheurs suggèrent que, bien que les émissions individuelles soient relativement faibles, l’effet cumulé de la respiration de plus de sept milliards d’êtres humains pourrait devenir significatif pour l’environnement dans son ensemble, en particulier lorsque des facteurs supplémentaires tels que les vagues de chaleur ou la pollution sont pris en considération.

Des études antérieures ont montré que l’élevage et la riziculture sont les principales sources d’émissions de méthane, dont l’effet est plus important que celui du dioxyde de carbone ; toutefois, en ce qui concerne l’homme, le CO2 contribue encore davantage au changement climatique que l’air expiré.

Je suppose qu’au point où ils en sont, les prochaines études suggéreront que les individus devraient être contraints de cesser de respirer. En attendant, la préservation de la santé des forêts et des océans, ainsi que l’adoption “d’habitudes durables”, contribueront à contrebalancer les émissions produites par l’homme, disent les scientifiques.

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L’espèce humaine doit donc commencer à considérer la respiration comme un ennemi. Il est essentiel que l’homme prenne conscience de son impact sur l’environnement quand il respire, et qu’il trouve des moyens de le minimiser.

Puisqu’il ne fait aucun doute que l’humanité a un impact préjudiciable sur la Terre quand elle respire ; elle doit faire un effort pour être respectueuse de l’environnement dans ses choix de style de vie.

La solution toute trouvée !

Le réchauffement climatique provoque une augmentation de la fréquence des épisodes d’ozone troposphérique, entraînant des problèmes respiratoires, ce n’est pas un secret. Autrement dit, pour protéger la planète, il faut que nous respirions beaucoup, ce qui polluera beaucoup plus, ce qui provoquera des difficultés respiratoires et nous forcera à moins respirer, ce qui fera baisser la pollution.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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