L’engouement pour l’homme plus que pour D.ieu
L’engouement pour l’homme, pour qui veut voir, il y a déjà là un signe évident, car n’est-il pas écrit en Luc 6.26 :
« Malheur, lorsque tous les hommes diront du bien de vous, car c’est ainsi qu’agissaient leurs pères à l’égard des faux prophètes ! », alors que l’on constate à quel point le vrai ministère de prophète est généralement, si pas toujours, mal reçu, marginalisé, combattu, voire tué. Et en dehors de la pierre et du poignard, il y a les pierres et les poignards de la langue. Efficacité éprouvée en ces temps de toutes lâchetés.
Lisons Matthieu 23.25 à 28 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu’au-dedans ils sont pleins de rapine et d’intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l’intérieur de la coupe et du plat, afin que l’extérieur aussi devienne net. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au-dehors, et qui, au-dedans, sont pleins d’ossements de morts et de toute espèce d’impuretés. Vous-mêmes au-dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au-dedans, vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité ».
Songeons à l’exécution de Jo’hanan HaMatbil, Jean le Baptiste, prophète de situation qui s’oppose à l’adultère du roi et qui en périt. Nous avons peu de messages prophétiques de Jean le Baptiste (une seule annonce prophétique en fait, voyez en Matthieu 3.16 et 17), mais nous avons surtout le témoignage d’une clameur d’appel à la repentance qui doit précéder la venue de l’Agneau de D.ieu (relisons tout le chapitre 3 de Matthieu, 16 versets d’exhortation ardente, en citant au passage celle d’un « collègue » de jadis, Esaïe, et seulement 2 versets d’annonce prophétique).
Où est le message premier du prophète ici ? Et voilà la raison pour laquelle Jean sera déclaré comme étant le plus grand des prophètes, non pour sa prophétie, mais pour son vécu de positionnement qui est prophétique, c’est-à-dire de l’office du prophète, ici une voix qui crie dans le désert un appel à la repentance avant le départ du Saint ministère de Yeshoua.
Voyez en pages 94, 95 et 96 le témoignage de l’une de mes interventions comme prophète au cœur même d’une rencontre de pasteurs en France.
Nul doute que cette intervention – qui s’avéra pourtant pertinente – engendra une hostilité qui, à l’occasion d’accusations volontairement non vérifiées comme il se devait, déboucha ensuite pour moi et mon épouse présente sur une séance horrible de tribunal ecclésiastique déchaîné et farouche. ¾ Accusé, levez-vous, taisez-vous…, vous êtes coupable. Dans le même temps ces joyeux compères préparèrent avec haine et vrai sadisme une mise en scène publique d’une méchanceté savamment distillée (aucune exagération !) en vue de nous déshonorer, de déshonorer mon appel. Jamais je n’aurais osé imaginer une telle violence, une telle mauvaise foi, une telle cruauté gratuite de la part « d’hommes de D.ieu ».
L’un d’eux périt peu de temps après. J’écrivis à l’un d’entre eux, président de Fédération, avec deux anciens de notre œuvre (des témoins de moralité) un long courrier descriptif des circonstances concernant les accusations relâchées contre moi. Ce courrier qui démontrait mon innocence de façon évidente venait corriger très clairement et de façon détaillée le fait que l’on ne m’avait pas permis de m’expliquer, de dire un seul mot, me jugeant et me condamnant, sans autre, d’office.
Cet « homme de D.ieu », président de Fédération, me répondit tout simplement :
¾ Il faut toujours que vous ayez raison. Vous êtes coupable !
Une humiliation savamment orchestrée pour blesser, humilier, détruire. Et sans exagération, tuer, liquider.
Le monde évangélique franco-français est vraiment trop petit que pour citer des noms sans créer le découragement chez bien des chrétiens. Et puis, comme je l’ai toujours préconisé, on peut et doit toujours s’attendre à une repentance. Au final, la justice revient à D.ieu. J’ai vu, hélas ! D.ieu juger ce genre d’injustice, et souvent de façon tragique. Je le rapporte ici en guise d’avertissement à ce petit peuple des marécages de la médisance et, pire, de la calomnie.
Cet « homme de D.ieu », dont j’ai parlé plus haut et qui devait périr vite ensuite, avait été aussi pris devant un parterre de ses collaborateurs dans un scenario de mensonges des plus épouvantables. Mais ce qui me tétanisa ce jour-là, c’est le silence de tous ses collaborateurs. Rien, pas un mot. On protège « la maison ». Rendez-vous donc au tribunal de Christ, Messieurs !
Pour ma part, si je fais un tour d’horizon approximatif de mes prophéties, en près de quarante années, j’ai dû donner une trentaine de prophéties adressées ici et là au corps, une trentaine dans le cadre de notre œuvre et sans doute un peu plus de quarante prophéties (dont certaines vérifiées dans la suite comme s’étant accomplies) à des individus.
En presque quarante ans, cela fait un total approximatif (car je n’ai jamais eu l’esprit du « tableau de chasse », ce honteux infantilisme) d’une centaine de prophéties. Cent en quarante ans, cela fait une moyenne de 2,5 prophéties par an.
Du point de vue de son caractère, qui lui était d’ailleurs reproché tant on craignait sa rigueur et sa droiture, j’ai connu UN VRAI PROPHÈTE qui fut aussi un ami. Il s’appelait Arthur Katz.
Un homme que les amateurs de friandises dites charismatiques – et qui ne sont qu’offrandes aux coussinets de bien des « pasteurs » ou chrétiens tièdes – redoutaient de voir venir. A cette époque, dans les années 90, personne, à part un ou peut-être deux groupes très marginaux, n’invitait Katz en France, alors qu’il y était bien connu pourtant. C’est ce qu’il m’avait confié lui-même.
À Jérusalem, le fait de prononcer son nom devant un « pasteur », haut responsable de mission, me fit voir un déchaînement de cris et fureurs noires qui me laissèrent franchement interdit.
Depuis la mort de Katz, par contre, tant de monde s’empare de ses écrits, le cite. Cela fait un peu penser à la Libération en 1944/45, lorsqu’après le passage des Alliés combattants et libérant une zone d’Europe, il surgissait alors comme par enchantement toute sorte de héros, de résistants « de la dernière heure » …, quand tout était joué et qu’il n’y avait plus aucun risque à résister.
Je ne me souviens d’aucune des prophéties qu’a pu relâcher Art Katz de son vivant ; il n’en parlait même pas. Et pourtant Katz était éminemment PROPHÈTE ramenant constamment tout à D.ieu, son standard.
De par son positionnement face à tant de choses mondaines, complaisantes, déviantes, impures, hypocrites, non bibliques, aimant, lui, D.ieu plus que tout !
Son opposition était proverbiale du fait de pratiques de louange, musiques, vêtements, tenues, de vedettariats à peine camouflés, de business des ventes de CD, et autres, toutes choses si imprégnées de l’esprit du monde. Son indignation était légendaire et INÉBRANLABLE.
Il lui arriva de refuser de prêcher dans un rassemblement car la présence de D.ieu y était bafouée ou pire, fabriquée artificieusement par une louange charnelle de spectacle bruyant. J’ai vécu la même situation un jour en Afrique, refusant de demeurer dans un moment de louange où l’on adorait en fait les charmes clinquants d’une sono gigantesque et coûteuse bien plus que D.ieu.
Lorsque Katz parcourait les rues de Jérusalem, il était convaincu, au vu du vécu des hommes, que l’Écriture sainte qui annonçait encore un jugement de D.ieu avec des destructions majeures, par exemple pour la moitié de la ville, etc. (Za. 14.2 : « Je rassemblerai toutes les nations pour qu’elles attaquent Jérusalem ; la ville sera prise, les maisons seront pillées, et les femmes violées ; la moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas exterminé de la ville ».) était hélas incontournable.
Véritable prophète, il donnait un avis (d’ailleurs simplement biblique puisqu’à base de prophétique issu du Tana’h !) à ce sujet, et la plus grande part des responsables d’églises bien connus dans la ville de Jérusalem refusaient le message et le stigmatisaient sévèrement, voire avec une véhémence de mépris et de colère.
Katz restait ferme malgré le rejet et nous en fûmes témoins car, venu en Israël en vue d’une ixième tentative de discussion avec des « leaders » de Jérusalem, il passa chez nous et nous demanda de le soutenir dans la prière afin que cela débouche sur du VRAI soumis aux Écritures évidentes. Il revint chez nous attristé, mais sans colère, triste car dans l’échec, et, je le vois encore, assis dans notre salon. Il mima alors le geste du bâton d’autorité planté devant lui en disant :
¾ Ils refusent toujours le ministère de prophète qui ne les conforte pas (à bon compte) …
Katz, avec un caractère d’acier et une rigueur éprouvée en YESHOUA, CHRIST, MASHIA’H. Il manifestait la première chose que doit démontrer le prophète, le vrai prophète : ÊTRE UN VEILLEUR REDOUTABLE des valeurs de D.ieu, de Ses Écritures, toutes !
A ce sujet, le livre FONDEMENTS APOSTOLIQUES, que j’avais promis à Arthur de faire traduire et puis publier, est un travail de facture éminemment prophétique… qui ne contient, je crois, pas de prophéties d’Art Katz…
J’ajoute que recevant Arthur chez nous à Jérusalem, nous pouvions vérifier que ce frère était un homme habité de bonté et de grande humanité. Comment oublier cet homme au caractère entier, assis sur notre canapé et entourant affectueusement nos fils de ses bras ? Katz était grand et simple, là aussi ! Comment oublier la dernière lettre qu’il nous écrivit, alors aux portes de la mort, nous disant regretter de ne pouvoir nous serrer encore dans ses bras… ? Quelque temps après, dans un avion entre l’Europe et Israël, mon épouse ressentit subitement, et d’une manière surnaturelle, qu’il était en train de mourir et qu’il priait pour nous, nous remettant entre les mains de D.ieu. Elle en fut émue aux larmes. Deux jours après, nous apprenions son décès.
Voici les deux pôles du vrai prophète : sensibilité, amour inconditionnel pour son Créateur, et rigueur indéfectible, au risque assumé de ne pas être aimé par ses contemporains.
Ne retrouvons-nous pas là deux aspects propres au divin ?
Amour (‘Hessed, à l’image d’Avraham) et sévérité, rigueur (Gvoura, à l’image d’Itz’hak) en équilibre, en osmose (et le mot est faible bien entendu).
Et là aussi, au risque de ne pas être aimé si l’on est prophète de D.ieu, ou aimé seulement pour les bontés supposées tomber du ciel comme friandises… sans fin si l’on est faux prophète, sans quoi D.ieu sera boudé au fond des cœurs….
Car – et beaucoup n’en veulent évidemment pas – l’Amour reprend et, s’il le faut punit, corrige. L’amour fustige, reprend, nous poursuit dans nos retranchements et prophétise en vue de ramener à la sainteté de D.ieu, au vouloir de D.ieu.
Relisez le livre de Job. A la fin de ce terrible périple, Job, resté fidèle malgré d’épouvantables épreuves, réalise qu’il avait à apprendre une leçon « couronne » de sagesse, en réalisant que toute sa religion d’homme juste et droit devait s’effacer devant D.ieu et Sa toute-puissance, toute omniscience, omniprésence, d’une capacité universelle.
Immense leçon pour Job et pour nous tous, spécialement en ces temps de Coronavirus où D.ieu a permis que le diable répande une peste en plein cœur d’un grand rassemblement à Mulhouse.
Sans son épreuve, Job se serait installé durablement dans sa propre justice. D.ieu, en permettant la destruction de tous ses moyens, lui a rendu le plus grand des services. D.ieu l’a fait grandir. Comprenons-nous cela ?
Une des choses malheureuses et récriminantes entendues ces jours derniers, prononcée par le pasteur Samuel Peterschmitt fut :
« Les prophètes, Pfuit, pas un seul n’a vu venir ou annoncer ce qui est advenu ! »
Certes, bien des faux prophètes auront bricolé je ne sais quelle révélation sur le tas au moment où ce Coronavirus s’est répandu de façon très visible (vous vous souvenez des résistants de la dernière heure, quand tout était joué ?).
Et que l’on rejette leur bricolage est sain. C’est d’ailleurs l’occasion de vérifier que leurs messages sont du bricolage, de la fausse prophétie à rebours. Mais pour autant, mépriser tout le prophétique à cette occasion est révéler déjà une vision d’église qui ignore ou exclut le ministère de prophète. Un infantilisme de plus, qui révèle quoi ? Qui révèle le cœur d’un serviteur quelque peu autosuffisant. Et ceci n’invalide absolument pas le devoir de compassion qui lui est dû dans les circonstances actuelles afférentes au Covid-19.
Permettez-moi donc, et dans le cadre de ce livre c’est tout à fait pertinent, de vous transmettre ici une prophétie relâchée le 30 novembre 2017 et qui clairement, nettement, a averti l’Église et le Monde de ce qui est survenu avec le Covid-19.
Qui à l’époque a pris cela avec attention et qui, ayant lu ce qui suit, déplore dans le contexte du Covid-19 qui visite la planète le fait de n’en avoir pas tenu compte ? Et qui, acceptant son erreur, diffuse cela aujourd’hui ? Cela qui pourrait encore parler en profondeur pour comprendre le pourquoi de la terrible et dramatique situation survenue dans une église d’Alsace. Situation avec une vingtaine de morts survenues qui devrait aider tout le corps immobilisé en ses structures à saisir qu’il y a là un message divin à décrypter… de toute urgence. Un message pour Mulhouse, mais bien au-delà pour tout le corps de Christ. Qui, quoi, pourra trouver le courage de discerner le message pourtant LIMPIDE pour qui veut vraiment voir et entendre ?
Seul l’esprit des prophètes authentiques le pourra, mais écoute-t-on plus aujourd’hui les prophètes qu’hier et qu’avant-hier ?
Jérusalem, le 30 novembre 2017
Prophétie de Haïm Goël lors d’un culte de Shabbat.
« Ma douceur et Ma bonté, dit le Seigneur, sont de loin meilleures que tous les exploits des hommes. J’en veux à Mon peuple qui aujourd’hui cherche sans cesse à vivre des exploits et qui méprise de Me connaître pour ce que Je suis. Sur la croix de Golgotha, Mon Fils, dit le Seigneur, n’a en rien cherché à être spectaculaire.
Il a été la victime d’un des spectacles les plus odieux.
Mais ce qu’Il a révélé sur cette croix, ici à Jérusalem, c’est Mon amour, c’est Ma douceur, c’est Ma bonté, en lieu et place de tout l’orgueil du monde, de tout l’orgueil religieux, de tout l’orgueil impérial de Rome, de l’orgueil religieux de certains de Ses frères juifs de l’époque.
Et Mon peuple aujourd’hui est revêtu du même orgueil, du même désir d’être impérial, d’être dans le succès. Mon peuple recherche ce qui paraît, ce qui impressionne, mais Mon peuple M’ignore pour ce que Je suis, tel que Je suis.
Je te demande, dit le Seigneur, Église, de Me chercher pour ce que Je suis, loin des trompettes, loin des tambours, loin des apparences, loin de tout ce qui brille, et qui apparemment se dit de Moi.
Je t’en veux, Église, dit le Seigneur, tu ne Me cherches plus, tu ne sais plus qui Je suis.
Je t’en veux, Église, et bientôt, comme Je vais confondre ce monde avide d’argent, avide de Plaisir, avide d’orgueil, de succès, de faux semblant, Je vais aussi te confondre, Église.
Mais Je ménage et Je protège cette Église douce et humble qui ne ménage pas ses efforts pour amener autrui à la connaissance du salut de la part de Celui qui a manifesté le plus grand des amours, la plus grande des douceurs, sans rechercher aucunement à paraître spectaculaire.
Il est dit dans l’Écriture, dans Mon Écriture, dit le Seigneur, “qu’Il n’a pas cherché comme une proie à arracher d’être l’égal de D.ieu”, alors qu’Il est D.ieu.
Merci Seigneur pour ce chemin (je ne prophétise plus maintenant).
Merci pour ce chemin (étroit) qui disparaît pour tant et tant de chrétiens aujourd’hui, qui sont entrés sur le chemin large et spacieux qui mène au succès des hommes et méconnaissent le chemin étroit et resserré.
Celui que Tu m’as montré il y a bientôt quarante ans dans une vision, et auquel j’ai adhéré tout de suite, car j’ai su que c’était le seul chemin qui menait au salut. »
Haïm Goël. (Prophétie diffusée dès novembre 2017.
Clair, net, un avertissement qu’il vient quelque chose de radical et d’imminent).
Un deuxième avertissement prophétique : la vision de l’ange noir.
En novembre 2019 (au moment où se déclenchait et progressait le Coronavirus en Chine à Wuhan, alors que cela n’était pas encore connu chez nous en Europe), réuni avec quelques frères et sœurs au Refuge en France, j’ai été saisi d’un malaise si profond, si solennel, par un trouble, une oppression plus qu’urgente à considérer, une perception de quelque chose de lourd et solennel qui commençait à planer, à se répandre comme un sombre nuage, comme un fléau, dans le ciel spirituel. Je l’ai signalé à mes frères et sœurs réunis.
J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait de quelque chose de local, habitué au combat spirituel dans cette région. Mais j’ai très vite été convaincu que non et que cela allait bien au-delà et que c’était planétaire.
Du fait de la pression quasi insupportable ressentie, j’ai convié les frères et sœurs présents à prier avec moi. Étaient présents les frères Samuel, Fabio et la sœur Priscilla, tous membres de l’assemblée de Ballaigues en Suisse, ainsi que moi-même et mon épouse.
Et c’est là que me fut donnée cette vision étonnante d’un ange noir.
Je vous invite à retourner voir les vidéos de mes messages de l’époque et du suivi, car mon trouble a été tellement considérable que j’y suis revenu plusieurs fois. Certes, le Coronavirus n’y a pas été annoncé en clair, mais il était évident que quelque chose de solennel était annoncé. Si j’enchaîne la prophétie de 2017 à la vision de l’ange noir il devient impossible de dire que D.ieu n’a pas averti.
Vidéos à visionner sur le site www.leve-toi.com autour du thème lancinant et solennel de la vision de l’ange noir reçue en réunion de prière d’équipe au Refuge, en France au moment du départ de ce Coronavirus à Wuhan en Chine, à un moment, rappel, où tous ignoraient ou plus tard minimisaient ce départ de Coronavirus en Chine et ce qu’il allait engendrer… L’information plus largement prise en compte allait seulement commencer à parvenir en Europe peu après. Il n’y a aucun hasard à voir là, à mon sens. Pour notre part nous l’ignorions complètement.
La vision de l’ange noir – Haïm Goël – Shabbat 23/11/2019 – Le Refuge
L’ange noir… et la joie du Seigneur est ma force – Haïm Goël – Shabbat 30/11/2019 – Le Refuge
Covid-19. La vision de l’ange noir reçue le 23/11/2019 et le test de notre foi. – Haïm Goël (21-03-2020)
Le Shabbat 28 mars 2020 j’ai relâché un autre message prophétique à mon avis crucial :
Covid-19, qu’est-ce que les yeux de mon cœur ont vu ? – Haïm Goël
https://youtu.be/ysauPVo4BnQ
Commencez à écouter à partir de 6’40 et persévérez car, après la première prophétie, il en vient une autre sous forme racontée d’un songe reçu une nuit avant.
Voici le tout, transcrit aimablement par une chère sœur. Veuillez donc excuser le langage parlé rapporté tel quel, avec de menues adaptations qui n’en altèrent en rien le sens.
COVID-19 : Qu’est-ce que les yeux de mon Cœur ont vu ? Haïm Goël – Shabbat 28/03/2020
« Sois en paix Mon peuple, sois tranquille Mon peuple ; car, comme il est dit dans ma Parole, on verra encore celui qui Te sert et celui qui ne Te sert pas. C’est Moi qui séparerai le bon du méchant ; c’est Moi qui séparerai les brebis d’avec les boucs. C’est Moi qui observe la terre entière, et si Ma protection va sur ceux qui M’aiment, c’est Moi qui vais juger les méchants.
Soyez en paix vous qui avec un cœur d’enfant et Me suivez. Écoutez ardemment le message qui va suivre et réjouissez-vous, vous qui avez un cœur d’enfant et qui M’obéissez de bon cœur ; de bon cœur, parce que tout est là ! Et Mon Fils vous l’a rappelé lorsqu’Il a rappelé Ma Loi et qu’Il l’a résumée en “Tu aimeras le Seigneur D.ieu de tout ton cœur, de toute ta force, et ton prochain comme toi-même”.
Je connais ceux qui Me suivent avec leur cœur ; je connais ceux qui ne Me suivent pas avec leur cœur, et Je saurai faire la différence, dit le Seigneur. Soyez en paix, sois en paix Mon peuple, dit le Seigneur, toi qui Me suis d’un bon cœur, simple et vrai. Amen !
J’ai passé une nuit assez difficile, et j’ai eu un rêve, mais je pense que c’était un songe, et quelque chose qui est d’un avertissement de D.ieu qu’il faut que je vous communique.
Alors, qu’est-ce que j’ai vu dans ce rêve ? J’ai d’abord cru que c’était un rêve, ou plutôt un cauchemar, mais en réalité, en me réveillant ce matin et en y réfléchissant, même si ça m’a mis dans un état très difficile, pas agréable du tout, j’ai réalisé que, non, il y avait quelque chose de prophétique, et vous savez qu’il y a une dynamique prophétique dans mes messages, c’est une évidence.
Évidemment, si vous écoutez, par exemple, le message du frère Viaud-Murat qui est un excellent enseignant, sauf que sa vision de l’enlèvement n’est pas la mienne ; mais enfin, bref, ça ce sont des problèmes de doctrine, des points presque secondaires dirons-nous.
Bon, on ne va pas se lancer là-dedans, mais ce sont des messages, je dirais, peut-être au fond de docteur, des messages très posés, très construits, un peu comme ceux de mon fils Nathan ; vous l’avez vu prêcher une fois, c’est extrêmement construit. Il y a d’autres dynamiques pour apporter la Parole, et un prophète ne va pas du tout apporter la Parole comme un bon ancien, un bon pasteur, etc.
Donc, je retombe sur mes pieds avec ce que je voulais dire. Je pense qu’il y a une dimension, un avertissement prophétique, dans le songe que j’ai eu cette nuit.
Quel était ce songe ? Eh bien, à un moment donné, j’étais dans un endroit ; ce n’était pas un endroit particulier. C’était en fait un endroit qui représentait le monde tel qu’il va évoluer peut-être, d’une certaine façon, je ne sais pas.
Il y avait une estrade avec 2 ou 3 marches peut-être, pas une estrade très haute, très élevée, qui pourrait parler peut-être de D.ieu, de Sa gloire. C’était une petite estrade, et c’est un détail qui m’a marqué parce que cela signifie que le personnage que j’ai vu assis sur un trône sur cette estrade n’est pas brillant du tout, et même absolument affreux, et je crois que c’est une vision de l’Antichrist et du diable.
Son estrade n’était pas très élevée, et je pense que c’est important de le signaler d’emblée, même si ce qu’il prépare en ce moment est redoutable – parce qu’il prépare quelque chose, avec la complicité de l’orgueil humain. C’est pourquoi, aujourd’hui, le message que je vais donner est absolument crucial, et j’invite vraiment certains qui vont être concernés à se rendre compte à quel point la rébellion dans leur cœur est à base d’orgueil et les empêche de faire partie de la maison de D.ieu. Ils n’en font pas partie.
Je reviens à mon personnage. Il était sur cette petite estrade, mais était d’une méchanceté ! Alors, je n’ai pas vu une espèce de démon avec toutes sortes de choses horribles. Non, j’ai vu un homme, et cette face d’homme était terrible.
Pourquoi ? Parce qu’il n’y avait pas un atome de bonté, pas un atome d’amour. Il y avait la figure d’un homme qui aurait vécu d’incroyables aventures mauvaises toute sa vie, et qui arrive à la dernière étape de sa capacité à faire le mal (il n’y a évidemment aucun doute à avoir sur l’identité du personnage) ; et ce visage m’a rappelé curieusement d’ailleurs le visage d’un homme que j’ai connu jadis quand j’étais comédien, un homme qui, franc-maçon à Bruxelles, m’avait proposé de devenir franc-maçon.
J’avais ressenti un froid glacial chez cet homme, et cela m’avait conduit, dans une espèce de mouvement de rejet, à refuser radicalement sa proposition. Je vais vous donner un secret. Je vais peut-être vous choquer, mais il y avait quelque chose au fond de moi-même… Vous savez, nous disons toujours : “Il y a quelque chose au fond de nous-mêmes qui…” Mais, qu’est-ce que c’est-ce au fond de nous-mêmes qui fait que nous refusons quand même certaines choses, même quand nous sommes païens ?
Eh bien, je vais vous le dire. Le secret c’est que – et c’est ce qui m’a fait paraître absolument idiot et complètement fou, débile, aux yeux de mes collègues du monde du théâtre (lors de ma conversion) et de tout ce que j’ai connu après – c’est qu’il y avait au fond de moi un cœur d’enfant.
Écoutez-moi bien, s’il vous plaît.
Seuls ceux qui ont un cœur d’enfant trouvent D.ieu ; les autres ne Le trouvent pas. Alors, c’est quoi, avoir un cœur d’enfant ?
Je reviens à ma vision, et je m’excuse de revenir d’abord sur l’histoire du cœur d’enfant, mais en réalité je réalise que, même lorsque j’ai été sauvé, j’ai été sauvé de pièges terribles. Alors bien sûr, c’est D.ieu qui m’a sauvé, mais la chose a été rendue d’autant plus possible qu’il y avait quelque part chez moi un cœur d’enfant.
Pour croire dans ce D.ieu d’amour, il faut un cœur d’enfant. Et je vais peut-être vous choquer, mais ça ne fait rien. Yeshoua a dit : « Si vous ne devenez comme des enfants, vous ne pourrez pas entrer dans le royaume de D.ieu », donc dans les tabernacles de D.ieu, y compris ceux de Ses mystères. Et si Yeshoua l’a dit, c’est parce que Lui-même a vécu sur cette terre avec un cœur d’enfant, une innocence édénique retrouvée pour nous humains, jamais perdue pout Lui. Il dira : “Je ne fais rien d’autre que ce que je vois faire par mon Père”. Comprenons nous vraiment toute la simple et profonde beauté de ces choses ?
J’ai entendu tout à l’heure un jeune homme me dire :
¾ Je me rends compte que je mets beaucoup de choses à la place des choses de D.ieu, et c’est ça mon problème.
Non ! Tu n’as jamais mis les choses de D.ieu en premier ! Tu n’as pas un cœur d’enfant. Si tu avais un cœur d’enfant, tu te précipiterais pour faire plaisir à ton D.ieu. Quand mon fils Isaac, tout petit, me voyait revenir d’Afrique avec mon gros sac – il avait cinq ans – il se précipitait jusqu’au bout de l’allée ; il prenait mon sac, il le traînait derrière lui. Je lui disais :
¾ Mais, Isaac, c’est de la folie, tu ne peux pas porter ce sac !
Il me disait :
¾ Si Papa, je veux faire plaisir à mon papa !
C’est tellement simple ! Alors je reviens à ma vision. Vous voyez, moi je fonctionne d’une manière… je mêle prédication et vision. Mais ce n’est pas fini avec cette vision.
Et cet homme avait un visage d’acier, d’une dureté venue de son orgueil, d’une rébellion absolue contre D.ieu ; et ceci concerne certains parmi nous ce matin. Toute votre vie est basée sur la rébellion et n’a jamais été basée sur autre chose ; et votre cœur d’enfant, vous l’avez tué, vous l’avez fait mourir, parce que vous avez mis à la place la rébellion ; la rébellion vient du diable, et vous vous êtes gargarisés de votre rébellion. Ce matin, c’est peut-être l’occasion pour vous d’enfin retrouver un petit bout de cœur d’enfant afin de le faire vivre et d’aimer D.ieu et votre prochain comme vous-mêmes.