Haim
GUERRE EN ISRAËL, Jérusalem, 24/10/23 – Haim Goel
OPÉRATION SUS AU RABSCHAKE Ésaïe 36, dont le thème est – RAPPEL – L’INTIMIDATION et Ésaïe 37: l’esprit de victoire est en marche…
N.B. : Notre combat est spirituel avant tout.
HAIM COMMUNIQUE :
« Approchez, nations, pour entendre ! Peuples, soyez attentifs ! Que la terre écoute, elle et ce qui la remplit, le monde et tout ce qu’il produit ! Car la colère de l’Éternel va fondre sur toutes les nations, et sa fureur sur toute leur armée : Il les voue à l’extermination, Il les livre au carnage… »
Reçu cette nuit Esaïe 34 comme un avertissement à proclamer à tous les chefs des nations et les peuples:
Concernant Israël et ses souffrances indicibles : « Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu’on y ajoute vient du malin ». (Matthieu 5:37)
D.ieu lance un avertissement aux chefs des nations, Biden, Macron, Sunak, Poutine, Xi Jin Ping, Meloni, etc., à chaque chef de nation. Cet appel concerne le chef de la moindre des nations mais aussi leurs populations. Tant parmi vous, nations et peuples, tenez un double langage qui va provoquer la fureur de D.ieu.
Lisez soigneusement et méditez soigneusement ESAIE 34. Edom, dont le jugement a déjà été signalé hier dans mon dernier message, représente un lieu géographique dans le sud de l’actuelle Jordanie mais bien plus encore représente tous ceux qui haïssent D.ieu et – pire encore – ceux qui font semblant d’aimer D.ieu, le bien, Israël, tout en aimant leurs propres ventres.
Esaïe 34 vise Edom et l’esprit, la mentalité sinistre d’Edom (Edom descend d’Esaü qui haïssait son frère élu Yaacov), mais Esaïe 34 vise aussi toutes les nations, et les peuples de la Terre.
Le terme « nations » est utilisé ici à dessein pour désigner le niveau politique et de responsable devant D.ieu, pour désigner les dirigeants des nations qui les conduisent, leur autorité.
Et le terme « peuples » désigne ici tous les habitants de ces nations, jusqu’au plus petit d’entre eux. TOUS SONT RESPONSABLES DEVANT D.IEU, dirigeants et peuples ! Le discours du « oui, mais » des tièdes va être la clé d’un départ de jugements terribles. Le seul moyen de traverser ? Humble et vrai. VRAI !
Israël peuple de D.ieu, dont le fils le plus illustre vous a donné, nations et peuples, le salut et les bases d’une civilisation incomparablement bénie – si vous acceptez de vous en souvenir – d’une civilisation judéo-chrétienne dont le peuple racine, Israël est le fondement. Vous avez souvent malmené votre héritage, mais les plus saints de vos fils ont sauvé souvent l’honneur…
L’heure est grave, nations chrétiennes ou non. Que votre oui soit oui et non un « oui, mais… ». Pour les nations non touchées par l’Evangile bi-millénaire car elles le refusent, le persécutent ouvertement, le sort est clair. Pour les nations dites chrétiennes ou « chrétiennes de nom, jouisseuses et hypocrites » et qui s’expriment en double face en ces jours atroces pour Israël (pourtant rempart occidental de démocratie, dit-on ?!?) le sort sera pire encore car leur hypocrisie monte dans les narines de l’Éternel en ce moment même.
Frères et sœurs des nations, envoyez cet appel aux dirigeants de votre nation. Envoyez-le tel quel (copie autorisée) en message individuel ou en groupe et avec les moyens les plus directs, par mail ou lettre, ou en face à face si l’occasion vous en est donnée. Ne pas le faire parce qu’en vous domine le « oui, mais… » vous définira aux yeux de D.ieu !
Chefs des nations, lisez encore Mathieu 25 versets 31 et suite…Clair ? Clair !
ESAIE 34
Approchez, nations, pour entendre ! Peuples, soyez attentifs ! Que la terre écoute, elle et ce qui la remplit, le monde et tout ce qu’il produit ! Car la colère de l’Éternel va fondre sur toutes les nations, et sa fureur sur toute leur armée : Il les voue à l’extermination, Il les livre au carnage. Leurs morts sont jetés, leurs cadavres exhalent la puanteur, et les montagnes se fondent dans leur sang. Toute l’armée des cieux se dissout ; les cieux sont roulés comme un livre, et toute leur armée tombe, comme tombe la feuille de la vigne, comme tombe celle du figuier. Mon épée s’est enivrée dans les cieux ; voici, elle va descendre sur Édom, sur le peuple que jJai voué à l’extermination, pour le châtier. L’épée de l’Éternel est pleine de sang, couverte de graisse, du sang des agneaux et des boucs, de la graisse des reins des béliers ; car il y a des victimes de l’Éternel à Botsra, et un grand carnage dans le pays d’Édom, les buffles tombent avec eux, et les boeufs avec les taureaux ; la terre s’abreuve de sang, et le sol est imprégné de graisse. Car c’est un jour de vengeance pour l’Éternel, une année de représailles pour la cause de Sion. Les torrents d’Édom seront changés en poix, et sa poussière en soufre ; et sa terre sera comme de la poix qui brûle. Elle ne s’éteindra ni jour ni nuit, la fumée s’en élèvera éternellement ; d’âge en âge elle sera désolée, à tout jamais personne n’y passera. Le pélican et le hérisson la posséderont, la chouette et le corbeau l’habiteront. On y étendra le cordeau de la désolation, et le niveau de la destruction. Il n’y aura plus de grands pour proclamer un roi, tous ses princes seront anéantis. Les épines croîtront dans ses palais, les ronces et les chardons dans ses forteresses. Ce sera la demeure des chacals, le repaire des autruches ; les animaux du désert y rencontreront les chiens sauvages, et les boucs s’y appelleront les uns les autres ; là le spectre de la nuit aura sa demeure, et trouvera son lieu de repos ; là le serpent fera son nid, déposera ses oeufs, les couvera, et recueillera ses petits à son ombre ; là se rassembleront tous les vautours. Consultez le livre de l’Éternel, et lisez ! Aucun d’eux ne fera défaut, ni l’un ni l’autre ne manqueront ; car sa bouche l’a ordonné. C’est son esprit qui les rassemblera. Il a jeté pour eux le sort, et sa main leur a partagé cette terre au cordeau, ils la posséderont toujours, ils l’habiteront d’âge en âge.
ELISHEVA COMMUNIQUE
Cher Haïm,
Cette nuit, n’arrivant pas à dormir, j’ai ouvert mon ordinateur pour prendre des nouvelles de la situation sur i24news.
J’ai lu que le ‘Hamas avait refusé de libérer les 50 otages qu’il avait accepté de rendre. Il exige en échange du carburant et davantage d’aide humanitaire. Un chantage odieux !
On imagine la déception et la crainte des familles, ainsi que la colère du gouvernement et de l’État-major israélien.
Ils ont néanmoins libéré deux dames très âgées, dont les maris sont toujours captifs à Gaza.
J’ai prié pour la libération des otages, mais aussi et surtout pour qu’Israël n’écoute plus les voix des puissances alliées au-delà de ce qui est nécessaire et entre maintenant sans plus attendre dans Gaza pour faire ce qu’il faut y faire. Qu’il ait la victoire sur ses ennemis.
J’ai immédiatement reçu le chant suivant : Béni soit le Seigneur, Lui qui nous porte, car Il est le D.ieu des délivrances. Que D.ieu se lève et à l’instant, Ses ennemis sont en déroute. Du cœur des justes monte un chant, le cri joyeux de la victoire ! Oh, Seigneur !
J’ai aussi reçu le Psaume 18, que j’ai proclamé avec force et conviction, car l’heure n’est pas de s’appuyer sur les hommes, qu’ils soient américains ou autres, mais sur l’Éternel des Armées !
Elishéva
Psaumes 18
Au chef des chantres. Du serviteur de l’Éternel, de David, qui adressa à l’Éternel les paroles de ce cantique, lorsque l’Éternel l’eut délivré de la main de tous ses ennemis et de la main de Saül. Il dit: (18:2) Je t’aime, ô Éternel, ma force!
Éternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur! Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri! Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite!
Je m’écrie: Loué soit l’Éternel! Et je suis délivré de mes ennemis.
Les liens de la mort m’avaient environné, Et les torrents de la destruction m’avaient épouvanté;
Les liens du sépulcre m’avaient entouré, Les filets de la mort m’avaient surpris.
Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Éternel, J’ai crié à mon Dieu; De son palais, il a entendu ma voix, Et mon cri est parvenu devant lui à ses oreilles.
La terre fut ébranlée et trembla, Les fondements des montagnes frémirent, Et ils furent ébranlés, parce qu’il était irrité.
Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa bouche: Il en jaillissait des charbons embrasés.
Il abaissa les cieux, et il descendit: Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds.
Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent.
Il faisait des ténèbres sa retraite, sa tente autour de lui, Il était enveloppé des eaux obscures et de sombres nuages.
De la splendeur qui le précédait s’échappaient les nuées, Lançant de la grêle et des charbons de feu.
L’Éternel tonna dans les cieux, Le Très Haut fit retentir sa voix, Avec la grêle et les charbons de feu.
Il lança ses flèches et dispersa mes ennemis, Il multiplia les coups de la foudre et les mit en déroute.
Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel! Par le bruit du souffle de tes narines.
Il étendit sa main d’en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux;
Il me délivra de mon adversaire puissant, De mes ennemis qui étaient plus forts que moi.
Ils m’avaient surpris au jour de ma détresse; Mais l’Éternel fut mon appui.
Il m’a mis au large, Il m’a sauvé, parce qu’il m’aime.
L’Éternel m’a traité selon ma droiture, Il m’a rendu selon la pureté de mes mains;
Car j’ai observé les voies de l’Éternel, Et je n’ai point été coupable envers mon Dieu.
Toutes ses ordonnances ont été devant moi, Et je ne me suis point écarté de ses lois.
J’ai été sans reproche envers lui, Et je me suis tenu en garde contre mon iniquité.
Aussi l’Éternel m’a rendu selon ma droiture, Selon la pureté de mes mains devant ses yeux.
Avec celui qui est bon tu te montres bon, Avec l’homme droit tu agis selon la droiture,
Avec celui qui est pur tu te montres pur, Et avec le pervers tu agis selon sa perversité.
Tu sauves le peuple qui s’humilie, Et tu abaisses les regards hautains.
Oui, tu fais briller ma lumière; L’Éternel, mon Dieu, éclaire mes ténèbres.
Avec toi je me précipite sur une troupe en armes, Avec mon Dieu je franchis une muraille.
Les voies de Dieu sont parfaites, La parole de l’Éternel est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en lui.
Car qui est Dieu, si ce n’est l’Éternel; Et qui est un rocher, si ce n’est notre Dieu?
C’est Dieu qui me ceint de force, Et qui me conduit dans la voie droite.
Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, Et il me place sur mes lieux élevés.
Il exerce mes mains au combat, Et mes bras tendent l’arc d’airain.
Tu me donnes le bouclier de ton salut, Ta droite me soutient, Et je deviens grand par ta bonté.
Tu élargis le chemin sous mes pas, Et mes pieds ne chancellent point.
Je poursuis mes ennemis, je les atteins, Et je ne reviens pas avant de les avoir anéantis.
Je les brise, et ils ne peuvent se relever; Ils tombent sous mes pieds.
Tu me ceins de force pour le combat, Tu fais plier sous moi mes adversaires.
Tu fais tourner le dos à mes ennemis devant moi, Et j’extermine ceux qui me haïssent.
Ils crient, et personne pour les sauver! Ils crient à l’Éternel, et il ne leur répond pas!
Je les broie comme la poussière qu’emporte le vent, Je les foule comme la boue des rues.
Tu me délivres des dissensions du peuple; Tu me mets à la tête des nations; Un peuple que je ne connaissais pas m’est asservi.
Ils m’obéissent au premier ordre, Les fils de l’étranger me flattent;
Les fils de l’étranger sont en défaillance, Ils tremblent hors de leurs forteresses.
Vive l’Éternel, et béni soit mon rocher! Que le Dieu de mon salut soit exalté,
Le Dieu qui est mon vengeur, Qui m’assujettit les peuples,
Qui me délivre de mes ennemis! Tu m’élèves au-dessus de mes adversaires, Tu me sauves de l’homme violent.
C’est pourquoi je te louerai parmi les nations, ô Éternel! Et je chanterai à la gloire de ton nom.
Il accorde de grandes délivrances à son roi, Et il fait miséricorde à son oint, A David, et à sa postérité, pour toujours.
Mon Shalom !
Haïm Goël