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Qui peut encore douter des intentions « judenrein » d’Abbas si l’on considère son discours inouï et écoeurant sur la question de l’esplanade du Temple?

By 20 octobre 2014Etz Be Tzion

Mahmoud Abbas : «C’est notre Al-Aqsa et notre lieu saint, les juifs n’ont pas le droit d’entrer et de le désacraliser »


Mahmoud Abbas : «C’est notre Al-Aqsa et notre lieu saint, les juifs n’ont pas le droit d’entrer et de le désacraliser »

Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, a appelé vendredi ses compatriotes à empêcher l’accès à la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem aux israéliens et à utiliser « tous les moyens » pour protéger le site.

Ces déclarations surviennent quelques jours après des heurts entre policiers israéliens et des palestiniens protestant contre la venue de fidèles juifs sur le site, vénéré à la fois par les juifs et les musulmans.

« Il n’est pas suffisant de dire que des colons sont venus, ils doivent être empêchés d’entrer sur le site par tous les moyens« , a affirmé M. Abbas lors d’une conférence de presse à Ramallah, en Cisjordanie.

Mahmoud Abbas, ex-terroriste, n’hésite pas à refaire l’histoire de Jérusalem en prétendant que la mosquée Al-Aqsa est un lieu saint de l’Islam alors que jusqu’en 1967, date de la libération de Jérusalem par l’armée israélienne, la mosquée Al Aqsa était en ruine et totalement délaissée par les musulmans qui vivaient à Jérusalem…

« C’est notre Al-Aqsa et notre lieu saint, ils n’ont pas le droit d’entrer et de le désacraliser », a-t-il ajouté, soulignant que défendre Al-Aqsa signifiait défendre Jérusalem, dont les palestiniens entendent faire la capitale de l’Etat auquel ils aspirent.

« Jérusalem est le bijou de la couronne et la capitale éternelle de l’Etat de Palestine. Sans elle, il n’y aura pas d’Etat », a-t-il dit, ajoutant: « Il est important que les Palestiniens soient unis afin de protéger Jérusalem« .

Plus tôt vendredi, des centaines de Palestiniens ont défilé à Gaza à l’appel du mouvement islamiste Hamas contre ce qu’ils dénoncent comme des agressions israéliennes contre Al-Aqsa.

Les manifestants ont brûlé le drapeau israélien dans la rue lors de ce rassemblement après la prière du vendredi, auquel se sont joints les sympathisants d’autres organisations comme le Jihad islamique.

Ismail Radwan, un dirigeant du Hamas, organisation islamiste radicale qui contrôle de fait la bande de Gaza, a appelé « notre peuple à Jérusalem et en Cisjordanie à défendre Al-Aqsa ».

A l’occasion de la fête juive de Souccot, la police avait autorisé lundi des groupes de fidèles juifs à se rendre sur l’esplanade, à certaines heures et sous stricte surveillance. La venue des pèlerins juifs a déclenché la colère de certains fidèles musulmans et des heurts ont éclaté sur l’esplanade entre les policiers et des jeunes Palestiniens, repoussés et enfermés dans l’enceinte de la mosquée.

Rappelons que l’esplanade des mosquées abrite le fameux Dôme du Rocher qui est construit sur des vestiges du Temple de Jérusalem, haut lieu du judaïsme.

Le Rocher de la fondation est la pierre d’assise du Saint des Saints des Temples de Jérusalem. Lieu le plus saint du judaïsme vers lequel sont orientées les prières, il est identifié par le Midrash au site de la ligature d’Isaac et est considéré comme le point de jonction spirituelle entre les cieux et la terre.

L’Islam tente de s’approprier ce lieu saint du judaïsme en prétendant que le prophète Mahomet  serait arrivé depuis La Mecque au cours d’un voyage nocturne et d’où il serait monté au paradis en chevauchant sa monture Bouraq. Or Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem qui n’est pas cité une seule fois dans le Coran. Le voyage dont il est question aurait été fait au cours d’un rêve de Mahomet sans que rien ne permet de déterminer dans quelle ville il se serait rendu…

La tradition biblique y situe également le mont Moriah, nom donné au massif montagneux sur lequel Abraham monta avec son fils afin de l’offrir à Dieu en sacrifice, puis sur lequel ensuite Salomon bâtit l’ancien Temple de Jérusalem.

La propagande palestinienne menée par Abbas tente de déjudaïser Jérusalem en prétendant que c’est une ville saint de l’Islam.

Reproduction autorisée avec la mention suivante:

© Moshé Anielewicz pour Europe Israël

Join the discussion 2 Comments

  • DORVEN dit :

    Mensonge sur mensonge … mas Adonaï voit et veille.
    2 questions sont à se poser :

    – Qui sont ceux qu’on appelle dorénavant « les palestiniens » d’aujourd’hui en regard des Ecritures car la Palestine existe depuis longtemps.

    Ex :
    Chouraqui : Shemot/Exode 15.14 4 Les peuples l’entendent : ils s’excitent, un spasme saisit les habitants de Pelèshèt.

    – l’Esplanade (des Mosquées) ? non ! Le Mont du Temple !

    • Haïm Goël dit :

      Les dits « Palestiniens » d’aujourd’hui sont une population composite d’émigrants économiques de la troisième ou quatrième génération venus de tous les pays arabes environnants au cours des plus ou moins cent années écoulées du fait de l’installation juive contemporaine et ouverte à la main d’oeuvre étrangère. Certains des leaders « palestiniens », tel Arafat et d’autres sont nés en Egypte (et sont dès lors égyptiens),… D’autres proviennent pour une part de Bédouins traditionnellement nomades dans tout le Moyen-Orient. Traversant toutes les frontières durant des siècles au gré des transhumances des troupeaux, leur donner une nationalité ? Quelle est la réponse…? (Israël accepte que ceux qui vivent en Israël prennent la nationalité israélienne).
      Reste une présence musulmane plus ancienne composée d’Arabes, de descendants de Juifs islamisés de force du temps de l’occupation musulmane turque et autre. Parmi eux on trouve aussi des personnes aux structures, apparences physiques et aux yeux de couleur bleue qui signalent des ascendants francs assimilés (du fait des croisades et des courts mais suffisants royaumes chrétiens qui en découlèrent). Il faut ajouter à cela tout ce que les diverses occupations ont déposé durant quasi 2000 ans. Voilà pour l’essentiel. Le terme fallacieux de  » peuple palestinien » est apparu tout à fait artificiellement avec Arafat l’Egyptien soutenu par l’URSS et la création de toutes pièces d’un « peuple palestinien » (inféodé à Moscou) car c’était une stratégie dans l’occupation du sol au coeur de la guerre froide avec l’Occident. Bien entendu, Arafat accepta de jouer le jeu… et de le prolonger au nom de son fond de commerce islamique (il était le neveu ou le petit neveu du bien connu Mufti de Jérusalem qui, lui, fraternisa avec Hitler et un projet partagé de génocide juif en Israël, à l’époque nommée erronément Palestine (c’était la guerre de 40-45 et le temps du mandat britannique. Romel s’avançait par le Nord de l’Afrique vers Jérusalem). Erronément, pourquoi ? Palestine vient de Philistie, pays des Philistins. Ceux-ci combattus par David haMelechh disparurent ensuite complètement. C’était un peuple ancien venu de Crête (avant l’entrée d’Israël en terre promise avec Josué) et qui s’était installé notamment dans ce qui est l’actuelle bande de Gaza. Ce sont les Romains qui, après l’ultime révolte juive au temps de Bar Ko’hba dans les années 130 après J-C qui, ayant écrasé cette révolte, nommèrent par dérision tout Israël du nom de Palestine. Et cela resta. A ce moment, rappel, depuis longtemps les philistins avaient disparu de la région.
      Voici pour l’essentiel.
      Shalom
      Haïm

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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