Le turc vient d’être fait langue officielle de l’Union européenne avant tout vote des Etats membres, révèle Marco Giannangeli dans le quotidien britannique The Express.
Les dirigeants européens ne savent plus quoi inventer pour forcer le peuple européen à mourir plus vite.
Le turc est en train de devenir une des langues officielles de l’Union européenne, ce qui rapproche la nation islamique de l’échéance finale d’admission comme pays membre de l’Union européenne – au mépris de la volonté de la majorité de la population.
Pas un seul des 28 Etats membres – qui représentent une population de 508 millions de citoyens – n’a encore voté en faveur de l’admission de la Turquie.
Mais 375 députés européens contre 133 ont adopté l’initiative du président chypriote Nicos Anastasiades, dont une partie du pays a été illégalement annexé et occupé par la Turquie dans l’indifférence générale tandis que le monde se crispe sur le sort de la Judée Samarie.
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Anastasiades a proposé au président tournant hollandais de l’UE d’ajouter le turc à la liste des langues officielles au prétexte, dit-il, d’accélérer la réunion de l’ile : son idée est que les frontières n’existant pas entre pays de l’Union européenne, l’admission de la Turquie fera disparaitre celle qui sépare l’ile en deux depuis sa colonisation par la Turquie.
De toute évidence, Anastasiades ne semble pas comprendre, et avec lui les 375 abrutis de l’Union euroépenne, que Erdogan fera admettre une exception à la libre circulation et maintiendra le mur de séparation qui coupe le nord de Chypre en deux.
Le vote, dont l’aspect technique va alourdir le budget annuel de l’Union européenne de 31 millions d’euros, a rendu les critiques furieux du fait que l’adoption du vote est garanti d’office.
Bien que la Commission européenne doit confirmer sa ratification, toutes les sources confirment que la double pression de Chypre et de la Turquie assurera son approbation.
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