Ne laissons pas les fausses informations et la propagande occulter les faits. J’ai rédigé cette tribune qui expose la réalité de la frappe israélienne à Gaza et dénonce les manipulations médiatiques qui encouragent le Hamas à continuer ses tactiques inhumaines. Simon Weinberg.
TRIBUNE – Tsahal, la vérité et la manipulation médiatique : Une frappe chirurgicale déformée par les médias internationaux La guerre des mots a toujours accompagné les conflits armés, mais rarement a-t-on vu une telle distorsion de la réalité qu’à propos de la frappe israélienne contre un centre de commandement du Hamas, installé dans une salle de prière de l’école al-Taba’een à Gaza.
Ce qui aurait dû être rapporté comme une opération militaire ciblée, respectant les protocoles internationaux et visant des terroristes responsables d’innombrables attaques contre des civils israéliens, a été transformé en un récit de massacre sans fondement par les médias du monde entier.
Le 9 août, Tsahal a mené une attaque précise contre un centre de commandement actif du Hamas et du Jihad Islamique Palestinien, situé au cœur du quartier de Daraj, à Gaza. Cette opération, soigneusement planifiée et exécutée, visait des cibles militaires connues, intégrées cyniquement par le Hamas à des infrastructures civiles, en l’occurrence, une salle de prière au sein d’une école. Le résultat immédiat a été l’élimination de 20 hauts responsables du Hamas, parmi lesquels figuraient des commandants de compagnie et des chefs de département, tous des figures clés dans la machine de guerre terroriste dirigée contre Israël.
La déformation des faits : une manipulation orchestrée
Au lieu de reconnaître la précision et la légitimité de cette frappe, une partie de la communauté internationale s’est empressée de condamner Israël, s’appuyant sur des informations erronées diffusées par des sources douteuses. Le ministère de la Santé du Hamas, sans perdre de temps, a affirmé que 100 Palestiniens avaient été tués dans cette frappe, une allégation relayée sans vérification par l’AFP, avant de se propager comme une traînée de poudre dans les titres des journaux du monde entier. Cependant, les preuves apportées par Tsahal, y compris des images aériennes, ont rapidement démontré l’inexactitude de ces chiffres.
En effet, après l’opération, le Hamas a été contraint de revoir son bilan à la baisse, affirmant finalement que 40 personnes avaient été tuées. Mais la réalité est encore différente : parmi ces 40 victimes, 20 ont été identifiées comme étant des terroristes du Hamas et du Jihad Islamique, abattus lors de l’attaque. Une preuve supplémentaire que Tsahal a déployé des efforts considérables pour minimiser les risques pour les civils, y compris en utilisant des armes précises et en maintenant une surveillance aérienne constante.
Un silence complice qui encourage le terrorisme.
Le fait que la communauté internationale, y compris certains gouvernements et organes de presse, se soit précipitée pour condamner Israël sans attendre les faits complets, témoigne d’une dangereuse partialité. En agissant ainsi, ils jouent le jeu du Hamas, une organisation terroriste qui utilise systématiquement des civils comme boucliers humains, sachant pertinemment que toute perte de vie civile sera utilisée pour galvaniser l’opinion publique contre Israël.
Ces réactions immédiates, dénuées de toute vérification, non seulement discréditent les sources d’information mais aussi encouragent indirectement le Hamas à poursuivre ses tactiques inhumaines. Chaque fois que la presse ou un gouvernement condamne Israël sur la base de fausses informations, ils renforcent le Hamas dans sa conviction que sa stratégie de terreur paie sur le front médiatique.
Une question de responsabilité internationale
Les médias et les dirigeants mondiaux ont une responsabilité énorme dans le façonnage de l’opinion publique. Lorsqu’ils choisissent de diffuser sans discernement des informations fournies par des sources terroristes, ils deviennent complices, même involontairement, des crimes de guerre du Hamas. Le 7 octobre, les mêmes terroristes qui aujourd’hui sont présentés comme des « victimes » ont brutalement assassiné 1 200 personnes en Israël.
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Mise à jour : L’armée israélienne (Tsahal) a fourni de nouveaux détails sur la frappe menée contre une école dans la ville de Gaza, contestant vivement le bilan avancé par les autorités palestiniennes. Selon les renseignements de Tsahal, au moins 20 terroristes et commandants de haut rang étaient présents sur le site au moment de la frappe. L’armée affirme avoir ciblé un centre de commandement actif du Hamas et du Jihad Islamique Palestinien, installé dans une salle de prière de l’école al-Taba’een, dans le quartier de Daraj à Gaza. Tsahal réfute catégoriquement les affirmations selon lesquelles plus de 100 Palestiniens auraient péri dans cette attaque. Dans un communiqué, l’armée déclare : « Selon un examen préliminaire, les chiffres publiés par le bureau des médias du gouvernement à Gaza – qui agit comme un bras médiatique du Hamas – sont exagérés et ne correspondent pas aux informations dont dispose Tsahal, aux munitions précises utilisées et à l’exactitude de la frappe. »
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Pourtant , après les allégations du Hamas affirmant qu’une frappe israélienne aurait tué « 100 innocents qui priaient », Tsahal publiait des images aériennes montrant l’école et la mosquée prétendument touchées, qui semblent intactes. Selon l’armée israélienne, les armes utilisées contre les terroristes n’auraient pas pu provoquer de tels dégâts. Conclusion: En condamnant aveuglément Israël, sans prendre le temps de vérifier les faits, les médias et les dirigeants internationaux ne font que renforcer les tactiques inhumaines du Hamas. Il est essentiel que la vérité soit rétablie et que les véritables responsables de la souffrance à Gaza soient nommés et condamnés. Israël ne cible pas les civils, il cible ceux qui menacent sa survie. Ignorer cela, c’est trahir la justice et la vérité.
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Le Hamas revoit son bilan à la baisse : de 100 morts à 40. Face aux preuves apportées par Tsahal, ce nombre devrait encore baisser de moitié. Tsahal a déjà identifié 19 terroristes du Hamas et du Jihad Islamique éliminés lors de cette frappe.
