Si vous avez passé du temps à prêter attention aux affres de la mort de l’anglicanisme libéral, il ne devrait pas être surprenant que sa dernière idée brillante pour arrêter l’hémorragie consiste non seulement à ignorer les Écritures, mais à leur faire intentionnellement un pied de nez.
Rencontrez Cherry Vann, le nouvel archevêque de l’Église du Pays de Galles.
Elle apporte des références progressistes impeccables à une cathédrale déjà vide. Elle est ouvertement lesbienne, fière de vivre en couple et possède un chien. Car apparemment, la seule façon de ressusciter une institution mourante est de redoubler d’efforts pour la maintenir en vie.
Revoyez cela avec moi un instant. Imaginez un patient en phase terminale de délabrement chronique, les poumons remplis de liquide, le cœur qui s’emballe, les machines émettant des bips lugubres tandis que les chiffres stagnent. Un médecin qualifié pourrait recommander un traitement radical, une intervention chirurgicale, ou au moins l’élimination des toxines responsables des dommages.
Mais l’Église du Pays de Galles ? Non, elle est bien trop éclairée pour une telle sagesse traditionnelle. Sa recette pour un renouveau ? Injecter le poison théologique même qui a causé sa disparition…
