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UNE SOEUR NOUS ECRIT EN REPONSE AU MESSAGE TRANSMIS PAR CATHERINE

UNE SOEUR NOUS ECRIT EN REPONSE AU MESSAGE TRANSMIS PAR CATHERINE

Bonjour frère Haïm,
Que la paix, la joie et la puissance du Seigneur Jésus-Christ soient toujours avec vous, votre famille et tous ceux qui servent notre Père avec vous.
Ce songe ressemble étrangement à celui que j’ai eu au début de l’année 2014, alors que j’étais dans le Nord en mission pour le Seigneur.
Le songe :
Je marchais dans la rue par une belle journée de printemps ou début d’automne (c’est ce qui m’a semblé à cause du temps qu’il faisait, pas trop chaud, ni trop froid, très agréable, juste un petit gilet pour quelques personnes). J’étais accompagné de collègues et dans la rue je vais assister à différentes scènes d’une vie normale. Des gens prenant un verre à la terrasse d’un café, d’autres marchant, d’autres riants, un cortège de mariage‎, une journée normale, dans une ville normale qui profite d’un temps très agréable, tout semblait agréable et bon. Soudain, je vais être attirée par quelque chose qui vient de l’océan. Étrangement, j’étais dans le nord de la France, Paris ou Lille, mais je pouvais voir d’où j’étais les côtés du Sud, et je voyais ce que moi j’ai appelé un feu liquide parce que je n’ai aucun autre mot pour mieux expliquer ce truc. Un feu liquide, épais glissait vers la terre. il montait de la mer et consumait lentement tout sur son chemin, je le voyais ravager tout dans le sud, pas un seul centimètre de terre n’était épargné, tout était englouti, absolument tout : végétaux, animaux, humains, immeubles, il ne restait plus rien, c’était incroyable. Je me suis mise à hurler à tout le monde de regarder ce qui était entrain d’arriver en vain, personne ne m’ecoutait. Et cette chose arrivait si vite, elle avait détruit tout jusqu’à disons Lyon pendant que je hurlais. Et lorsqu’enfin les gens ont vu ce truc, il était déjà aux portes de la ville. c’était la panique générale tout le monde courrait pour trouver refuge dans un très grand immeuble, moi aussi en continuant à hurler « c’est la fin des temps ». Nous étions tous saisis de terreur. Une terreur inimaginable. Une fois dans cette immeuble, je me suis calmée et souvenue que je ne devais pas avoir peur car le Seigneur était avec moi. La mort ne m’effrayait pas. Alors je me suis mise à redescendre de l’immeuble pour retourner dans le chaos du dehors en chantant des louanges, en descendant de l’immeuble où les gens affluaient de toute part, ceux qui montaient me prenaient pour une folle et je vais constater que deux ou trois autres personnes faisaient comme moi. Elles aussi louaient le Seigneur en redescendant. Et sans nous connaître, nous changions le même chant. Nous allions sauver un maximum d’âme avant la fin. Car c’était la fin et tout allait très vite, comme sans bruit. Et ce qui va me frapper et que le Seigneur me fera remarquer c’est que nous n’etions même pas une poignée, pas même le nombre de doigts d’une main et aussi, comme notre soeur, ce rappel du verset qui dit que ce sera comme au temps de Noah
Que le Seigneur nous donne d’être sage comme les vierges sages au nom du Seigneur Jésus-Christ.
LO

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Lève-toi ! / Etz Be-Tzion
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