Hallucinant, l’arnaque électorale recommence aux États-Unis, la fraude en direct, ils ne se cachent plus du tout, les employés des bureaux de vote ne laissent pas les républicains voter. [Vidéo], et en exclusivité Daily veracity nous rapporte l’existence de » fermes de robots » démocrates MASSIVES [Vidéo]. Publié le 5.11.2022 Les employés des bureaux de vote ne laissent pas les républicains voter : « Vous pouvez voter Démocrates, mais pas Républicains. » Hallucinant. L’arnaque électorale recommence aux USA EXCLUSIF Daily veracity nous rapporte que des » fermes de robots » démocrates MASSIVES révélées influençant les élections, la guerre et les tensions raciales – 51 343 790 000 impressions sur les médias sociaux depuis 2019 – Ils se préparent pour novembre et 2024 #BlueCrew #DemCast – DailyVeracity. Leurs employés sont un mélange d’anciens membres du personnel de la Maison Blanche, d’agents démocrates, de journalistes et de militants sociaux. L’une de leurs co-créatrices de contenu, Mindy Schwartz, a travaillé à la Maison Blanche pour le Conseil national de sécurité. Une autre de leurs employés, Joanne Marie Oyer, travaille pour la Fondation Obama. C’est l’esprit de ruche des démocrates. DemCast est une organisation à but non lucratif qui utilise les médias sociaux pour pousser les récits de gauche en ligne à travers des dizaines de milliers de comptes sur Twitter, Facebook et Instagram. Avec une estimation de plus de 50 milliards d’impressions depuis seulement 2019 – DemCast vise à manipuler l’opinion publique autour des sujets de la COVID, de la guerre avec la Russie, du 6 janvier, et même à influencer les élections locales à travers l’ensemble des 50 États. Leurs employés sont un mélange d’anciens membres du personnel de la Maison Blanche, d’agents démocrates, de journalistes et de militants sociaux. L’une de leurs co-créatrices de contenu, Mindy Schwartz, a travaillé à la Maison Blanche pour le Conseil national de sécurité. Une autre de leurs employés, Joanne Marie Oyer, travaille pour la Fondation Obama. La page « Notre plan » de leur site web décrit leur fonctionnement en quatre points simples :
Dans une vidéo non répertoriée publiée sur la chaîne YouTube de DemCast, la cofondatrice et directrice de la stratégie de DemCast, Lori Coleman, détaille une fonction majeure de la stratégie de DemCast – l’utilisation de milliers de salons de discussion privés pour amplifier artificiellement les messages sur la plate-forme, recueillant des millions d’impressions, amplifiant artificiellement le contenu pour influencer l’opinion publique. Regardez ci-dessous Dans une autre vidéo YouTube non répertoriée, postée sur la page YouTube de DemCast, Lori Coleman enseigne aux particuliers comment utiliser Speechifai pour générer automatiquement du contenu sur Twitter. Lori met l’accent sur la nécessité de paraître « authentique », tout en expliquant le processus d’utilisation de la fonction « Essayez de créer votre propre message » sur la plateforme Speechifai. Speechifai permet aux organisations de générer une pléthore de messages personnalisables, tout en offrant une option de mix & match avec un hashtag associé, ce qui garantit que lorsque des milliers de personnes publient des messages sur les médias sociaux, ils semblent authentiques pour l’utilisateur normal – plutôt que générés automatiquement. DemCast a déployé son organisation dans les 50 États des États-Unis et a fait preuve d’une influence massive sur les questions sociales, en manipulant les commentaires de gauche pour les faire paraître considérablement plus importants qu’ils ne le seraient autrement. Rencontrez Nick Knudsen, directeur exécutif de DemCast. Nick Knudsen est un militant basé à Portland, titulaire d’une maîtrise en politique et d’une expérience de 15 ans dans la gestion d’organismes à but non lucratif. Dans la première vidéo d’introduction de DemCast postée sur leur chaîne YouTube, Knudsen explique la mission de DemCast, tout en faisant allusion aux objectifs futurs de l’organisation. « Bots, fermes à trolls, désinformation, journalisme de type « click-bait », la mort des médias locaux : bienvenue au 21e siècle… » La suite à lire ici Jonathan Greenblatt, PDG de l’ADL (La Ligue “Anti-Diffamation”) parle de sa réunion avec Elon Musk concernant la modération de contenus sur Twitter Greenblatt : “En réalité, comme j’en ai parlé dans votre émission plein de fois, l’ADL s’est alarmé du niveau toxique d’antisémitisme… et pour Twitter, je vais être clair : Je pense que le discours de haine est un des prix à payer de la liberté d’expression. Mais il y a une différence entre l’incitation et les menaces. Dc je ne parle pas des théories du complot qui sont sans conséquences, mais de déclarations comme celles que les Juifs ont inventées l’Holocauste, ou que nous voulons tuer les enfants non-Juifs, ou qu’Israël a commis un génocide et assassine des gens de façon gratuite, et d’autres allégations, tout ça, c’est vraiment problématique Joe et cela a des conséquences dans la vie réelle. Donc, alors que nous étions inquiets, et je me suis exprimé dans cette émission sur la manière dont Elon devrait gérer la plate-forme, j’ai désormais eu plusieurs conversations avec lui. Il a tenu une audience, pas seulement avec moi, mais j’ai ramené d’autres leaders d’organisations venant de la coalition « Stop Hate for Profit » (« Stoppons la haine par profit ») (sic), et les actions parlent plus que les mots. Mais j’ai été encouragé par ce que j’ai entendu cette semaine.” Journaliste : “Donc qu’à t-il dit ?” Greenblatt : “J’y viens. Nous sommes tous venus ensembles et il (Musk) nous a dit : Premièrement, je ne vais pas remettre sur la plate-forme ceux qui ont été exclus tant que nous n’aurons pas un processus clair et transparent. De plus, je ne le ferai pas jusqu’à que les résultats des élections (de mi-mandat) soient certifiés. Deuxièmement, il s’est engagé à maintenir les efforts d’intégrité des élections afin que la désinformation ne prévale pas sur la plate-forme durant les élections. Et pour finir, il s’est réengagé à créer un “comité de modération de contenus” et nous a proposé d’en faire partie. Donc comme je l’ai dit, c’est juste la pointe de l’iceberg, j’ai encore beaucoup d’inquiétudes, mais j’ai été encouragé de le voir tenir la réunion, être présent, d’avoir écouté attentivement. Il était très concentré durant toute la conversation. Et il a fait ce qu’il a dit qu’il ferait. C’est bien plus que ce que j’ai vu venant de Zuckerberg ou d’autres PDG de réseaux sociaux. Je suis heureux que Elon l’ait fait. La source : |